Avis : Dark Touch - Page 7

« Dark Touch » ou comment faire du neuf avec du vieux sans même atteindre le niveau d’une série B horrifique ?

Les dialogues sont nullissimes, les acteurs peu convaincants et l’histoire pleine d’incohérences.

Pour le reste, c’est le néant ! Certaines critiques ont comparé ce film à spoiler: « Carrie »
alors qu’il n’arrive même pas à égaler la version ratée de spoiler: Kimberly Peirce (Carrie, la vengeance 2013)
.

Seul intérêt, la musique du film (de Christophe Chassol), je n’irai pas jusqu’à dire qu’elle sauve le film car il en aurait fallu bien plus mais elle est très réussie.

Mais quel dommage! Franchement l'ambiance de départ est bien prenante, les acteurs sont pas mal, mais encore une fois, ça part dans tous les sens, et défie toute logique... pour finir en n'importe nawak!

Mouais. C'est lent, ça crie toutes les 2mn, il ne se passe rien, et la fin laisse à désirer. Si vous avez mieux à voir, passez votre chemin.

Un film qui aurait pu être très bon... C'est dommage car la bande annonce donne envie, l'affiche encore plus, mais au final je suis resté sur ma faim. Les spoiler: scènes de morts
sont super bien tournées, un peu à la Carrie, mais pendant tout le film j'ai attendu l'horreur que je voulais voir. Je n'ai strictement rien compris à la fin, mais je m'attendais à une fin vraiment impressionnante, pour au final tomber sur un spoiler: dîner quelque peut glauque.


Missy Keating joue excellemment bien comme la majorité des acteurs, et c'est dommage pour un film tel.

Enfin bon comme je l'ai déjà dit, il ne se passe presque rien pendant le film. On a surtout noté avec une amie la présence de scènes que je trouve inutiles, c'est dommage.

Si par hasard ils voudraient faire un remake, je n'ai qu'une seule chose à dire: plus d'horreur!

un film "d'horreur" assez decevant dans l'ensemble , le scenario est complique a suivre on ne connait pas vraiment le passe de la petite Neve et ce film est un remake a la Cassie qui revele une petite fille ayant des pouvoirs de telekinesie et des pouvoirs hypnotisants sur les autres ... Enfin pour les films d'horreur il ne restera pas danss les anales

Film d'une nullité et d'un ennui homérique. Aucun fond à cette pseudo histoire qui a du être écrite sur un bout de table entre la poire et le fromage.

Ce film est juste extra il es fait tropp peur moi et mon amie nous sommes aller au cinema et on la regarder !

Film fort intéressant qui se démarque nettement des films d'épouvante classiques quoique le suspense est présent, les phénomènes paranormaux également, sans oublier les effets spéciaux. Mais derrière tout ça, il y a un fond que je ne vais pas révéler. L'interprétation est formidable. Missy Keating, l'adolescente est géniale et les autres acteurs également très bons.

Une belle surprise que ce film qui ne paie pas de mine au premier abord (on s'approche de Carrie, d'Esther…) mais qui est bien plus profond que ne le laisse supposer le pitch. La jeune actrice est une révélation tant elle inspire à la fois la pitié et la crainte. La mise en scène est léchée et la réalisation appliquée.

Des formes régulières, souples arrondis d'un accoudoir, angle droit d'un meuble, arabesque sinusoïdale d'un motif, dégradé pastel d'une texture, c'est à dire l'expression mathématique simple et conforme de la petite bourgeoisie entre assez vite en conflit esthétique avec l'expression chaotique primordiale et authentique, avec l'impossible irrégularité d'une forêt dynamique.
Le cinéma est l'art de l'illusion, on peut alors s'engager sur la voie d'une continuité narrative falsifiée ou dénoncer l'illusion par le biais de l'outil de la création cinématographique. Ce film semble opter pour une démarche hybride. Le mutisme de la protagoniste, des franches coupures dans des fondus au noir brutaux, l'exhibition indécente d'ellipses fulgurantes, des points de rupture monstrueux entre la cause et l'effet donnent au film sa dimension perturbatrice. L'organisation des signifiants visuels et auditifs ne rencontre pas un signifié car l'histoire oscille instable entre des velléités parentales étroites et bornées et un dépassement de la condition filmique pour atteindre la catharsis du jeune être délivré du mensonge. Personne ne croit plus à l'histoire racontée, le sens ou plutôt l'entendement dans ce genre de cauchemar éveillé est suspendu, seule la jeune protagoniste et ses amis semblent être prêts à démonter les supercheries du complot parental, de l'escroquerie familiale : un monde adulte borné dans l'étroite caverne de désirs puérils. Car si un voile couvre le réel d'incertitudes autour des faits, des dates, du jour ou de la nuit, le viol d'une jeune âme délicate et les grossières pratiques parentales pour obtenir les deniers de leur vouloir est indéniable malgré l'hypocrisie dissimulatrice des conventions sociales. Une stridence hurlée sonore ponctue la souffrance enfantine qui ne se résout pas à jouer une comédie humaine artificielle en s'appuyant sur la destruction symbolique de l'édifice étatique (l'école), sur la négation des valeurs familiales et le rejet de l'artifice sexuel.
Une mise en abîme cinématographique participe à ce déniaisement spectatoriel, c'est le passage du documentaire animalier. Le documentaire, mode opératoire réaliste d'une machine à produire des illusions n'est plus ici qu'un vague substrat sonore auprès d'une spectatrice tournée vers la seule véritable fenêtre possible : celle de son intériorité violée.
La pauvreté des dialogues parentaux, la misère linguistique du monde adulte, l'atrophie de la substance verbale (quelques énoncés primitifs au présent le plus souvent de l'impératif) est à ce titre exemplaire. La scène finale donnera enfin la parole à l'enfant qui se réapproprie le langage parental pour enfin nourrir le verbe d'une véritable puissance en nous offrant un passage sur les méthodes d'éducation éloquent!
C'est dans le calme lucide de la plus pure angoisse que l'enfant doit apprendre au monde adulte à désapprendre en désarticulant l'organisation rationnelle d'une substance visuelle et sonore de la plus pure émotion, quintessence vierge de l'imagination.

Dark touch m'a laissé une petite impression de déjà vu comme dans le film "Carrie". (Ah ! ce goût amer qu'est la vengeance ! )
Rien de bien original dans l'écriture, de bons acteurs et une bonne réalisation en font tout de même un film que j'ai trouvé agréable à regarder.

Un AKIRA-like dans un registre horrifique profitant d'une superbe ambiance et du jeu d'acteur exceptionnel de Missy Keating. S'en est meme effrayant d'imaginer ce qui doit se passer pendant un cours de training d'acteur pour obtenir de tels résultats sur une actrice de cet age.
Pas la peine de demander à tout prix le pourquoi du comment, le comment du pourquoi,le qui quand ou, un justificatif de domicile et le dernier avis d'imposition de la réalisatrice pour apprécier le film. La qualité de ce qu'on a sous les yeux se suffit à elle meme.

Amateurs d'épouvante & d'horreur... Passez votre chemin !

Un scénario plat, dont l'on connait toutes les ficelles au bout de 20 minutes + des scènes d'horreurs inexistantes + une longueur monumentale a en faire pâlir un coureur de marathon: ce film a trouvé la recette parfaite pour créer l'incarnation même de ce que l'on appelle communément "un navet".

Seuls les bâillements répétitifs de vos voisins vous permettront de rester éveillé durant cette très longue heure et demi.

Allez vous boire une bière entre amis, faites un bowling ou achetez-vous un happy meal, mais ne perdez ni votre temps ni votre argent avec Dark Touch.

Un film d'horreur? Ah bon? Plus ennuyeux tu meurs. A éviter vraiment c est une perte de temps, il ne se passe absolument rien et c est tiré d'un longueur. Regardez the conjuring celui la en vaut la peine!! On comprend que cela parle de maltraitance mais franchement pas d intérêt dans ce contexte... Cela reste mon avis mais franchement j ai été vraiment déçue.