Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Critikat.com
par Vincent Avenel
Une horreur mélancolique, froide, défaitiste, et beaucoup plus personnelle que ce à quoi les films du genre nous ont habitués.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
La mise en scène est un modèle du genre (...). Les effets spéciaux très réussis (...).
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Sous le voile du film (très) horrifique, un réquisitoire implacable et déchirant contre les parents maltraitants.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Philippe Rouyer
Film inclassable, dont les scènes fortes nourrissent un haletant crescendo. Jusqu'au final inoubliable, aussi grotesque que choquant.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Le film reste trop inégal (…) mais lorsque Marina De Van sait s’attarder sur le visage poupin et vidé de sa jeune actrice, elle emporte une émotion amère qui excède amplement le genre où elle s’est mal réfugiée.
Ecran Large
par Simon Riaux
Le film bute sur des difficultés aussi regrettables que la barrière de la langue ou un manque d'audace narrative.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Marina de Van s'aventure dans l'horreur façon "Carrie", de Brian de Palma, pour aborder la maltraitance et l'inceste. On est captivé par l'atmosphère glauque de ce film qui bouleverse par son nihilisme absolu.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) Marina de Van ne connaît d'autre chemin que la fréquentation des extrêmes. Son incursion dans le film d'horreur, portée par une spectaculaire interprétation de préadolescente incarnée par l'Irlandaise Missy Keating, est un vrai travail de cinéma quoique un peu tortueux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Marina de Van s'attaque avec intelligence au fantastique, et signe une œuvre et tragique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Julien Gester
(...) on croirait presque que De Van (...) laisse les interprètes plus âgés jouer si fadement dans un ultime geste de vindicte contre le monde adulte. Elle excelle, en revanche, dans ces scènes de fureur enfantine (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
Si le découpage reste parfaitement fluide, et la photo presque soyeuse, tout nous est livré en vrac, sans autre forme de procès.
Ouest France
par La Rédaction
(...) une série B qui fonctionne pour les amateurs de frissons. A défaut de renouveler le genre.
Paris Match
par Yannick Vely
Dommage que le dernier tiers grand-guignolesque vienne ensanglanter le tableau, même si la puissance du plan final ne finira pas de nous questionner.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
(...) Marina De Van semble plus que jamais chercher le juste équilibre entre respect des codes du cinéma d'horreur et obsessions d'auteur - le film poursuivant la réflexion des deux autres sur la mutation corporelle, le mal, le masochisme. D'où l'impression pas très agréable d'un film claudiquant et clivé, tour à tour prometteur et décevant, prétentieux et académique.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
"Dark touch" était jusqu’alors une série B à l’ambiance implacable et avait tout pour devenir un nouveau jalon du genre. Le film s’achève de façon anecdotique au risque de laisser l’empreinte d’un divertissement futile.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Devant ce vigilante pédophile un peu douteux, on est surtout déçu de comprendre ce qui, sous le narcissisme d’écorché vif, démange vraiment le cinéma de la réalisatrice : la sociologie scabreuse.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
CinemaTeaser
par Julien Munoz
Plus accessible que ses précédents films, le dernier Marina De Van n’en continue pas moins de souffler le chaud et le froid.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Humanité
par Vincent Ostria
Après des films assez personnels, Marina De Van s’essaie au genre horrifique, en s’inspirant vaguement du Carrie de De Palma. Mais ses séquences de télékinésie tombent comme des cheveux sur la soupe et elle s’embourbe en voulant rationaliser son sujet avec une lourde histoire de pédophilie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Après "Dans ma peau" et "Ne te retourne pas", Marina De Van refait le coup du film fantastique d'auteur. Malgré de bonnes idées et une jeune actrice formidable, l'histoire sombre dans le grand guignol.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Première
par Thomas Agnelli
Sans la moindre implication, elle (Marina de Van) exécute donc une série B ni troublante ni viscérale, desservie de surcroît par une interprétation calamiteuse.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Avec cette relecture de "Carrie" réalisée en Irlande, la réalisatrice tente d'instiller une tension horrifique, de privilégier l'atmosphère à l'action. Mais elle raconte cette histoire effroyable avec pléthore d'effets grand-guignolesques, sans célérité ni conviction.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Repassant sur le motif éprouvé de l'enfant malfaisant, ce film choisit l'horreur comme genre pour métaphoriser les dégâts de la maltraitance. Une idée sans doute pertinente, mais dont le risque est d'ajouter l'horreur à l'horreur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Jacques Morice
On a surtout le sentiment que la réalisatrice s'est invitée dans un genre, le film d'horreur, en tentant d'en respecter les codes, mais sans s'y intéresser vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
Une horreur mélancolique, froide, défaitiste, et beaucoup plus personnelle que ce à quoi les films du genre nous ont habitués.
L'Ecran Fantastique
La mise en scène est un modèle du genre (...). Les effets spéciaux très réussis (...).
Les Inrockuptibles
Sous le voile du film (très) horrifique, un réquisitoire implacable et déchirant contre les parents maltraitants.
Positif
Film inclassable, dont les scènes fortes nourrissent un haletant crescendo. Jusqu'au final inoubliable, aussi grotesque que choquant.
Cahiers du Cinéma
Le film reste trop inégal (…) mais lorsque Marina De Van sait s’attarder sur le visage poupin et vidé de sa jeune actrice, elle emporte une émotion amère qui excède amplement le genre où elle s’est mal réfugiée.
Ecran Large
Le film bute sur des difficultés aussi regrettables que la barrière de la langue ou un manque d'audace narrative.
Le Journal du Dimanche
Marina de Van s'aventure dans l'horreur façon "Carrie", de Brian de Palma, pour aborder la maltraitance et l'inceste. On est captivé par l'atmosphère glauque de ce film qui bouleverse par son nihilisme absolu.
Le Parisien
(...) Marina de Van ne connaît d'autre chemin que la fréquentation des extrêmes. Son incursion dans le film d'horreur, portée par une spectaculaire interprétation de préadolescente incarnée par l'Irlandaise Missy Keating, est un vrai travail de cinéma quoique un peu tortueux.
Les Fiches du Cinéma
Marina de Van s'attaque avec intelligence au fantastique, et signe une œuvre et tragique.
Libération
(...) on croirait presque que De Van (...) laisse les interprètes plus âgés jouer si fadement dans un ultime geste de vindicte contre le monde adulte. Elle excelle, en revanche, dans ces scènes de fureur enfantine (...).
Mad Movies
Si le découpage reste parfaitement fluide, et la photo presque soyeuse, tout nous est livré en vrac, sans autre forme de procès.
Ouest France
(...) une série B qui fonctionne pour les amateurs de frissons. A défaut de renouveler le genre.
Paris Match
Dommage que le dernier tiers grand-guignolesque vienne ensanglanter le tableau, même si la puissance du plan final ne finira pas de nous questionner.
TéléCinéObs
(...) Marina De Van semble plus que jamais chercher le juste équilibre entre respect des codes du cinéma d'horreur et obsessions d'auteur - le film poursuivant la réflexion des deux autres sur la mutation corporelle, le mal, le masochisme. D'où l'impression pas très agréable d'un film claudiquant et clivé, tour à tour prometteur et décevant, prétentieux et académique.
aVoir-aLire.com
"Dark touch" était jusqu’alors une série B à l’ambiance implacable et avait tout pour devenir un nouveau jalon du genre. Le film s’achève de façon anecdotique au risque de laisser l’empreinte d’un divertissement futile.
Chronic'art.com
Devant ce vigilante pédophile un peu douteux, on est surtout déçu de comprendre ce qui, sous le narcissisme d’écorché vif, démange vraiment le cinéma de la réalisatrice : la sociologie scabreuse.
CinemaTeaser
Plus accessible que ses précédents films, le dernier Marina De Van n’en continue pas moins de souffler le chaud et le froid.
L'Humanité
Après des films assez personnels, Marina De Van s’essaie au genre horrifique, en s’inspirant vaguement du Carrie de De Palma. Mais ses séquences de télékinésie tombent comme des cheveux sur la soupe et elle s’embourbe en voulant rationaliser son sujet avec une lourde histoire de pédophilie.
Le Figaroscope
Après "Dans ma peau" et "Ne te retourne pas", Marina De Van refait le coup du film fantastique d'auteur. Malgré de bonnes idées et une jeune actrice formidable, l'histoire sombre dans le grand guignol.
Première
Sans la moindre implication, elle (Marina de Van) exécute donc une série B ni troublante ni viscérale, desservie de surcroît par une interprétation calamiteuse.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
Avec cette relecture de "Carrie" réalisée en Irlande, la réalisatrice tente d'instiller une tension horrifique, de privilégier l'atmosphère à l'action. Mais elle raconte cette histoire effroyable avec pléthore d'effets grand-guignolesques, sans célérité ni conviction.
Le Monde
Repassant sur le motif éprouvé de l'enfant malfaisant, ce film choisit l'horreur comme genre pour métaphoriser les dégâts de la maltraitance. Une idée sans doute pertinente, mais dont le risque est d'ajouter l'horreur à l'horreur.
Télérama
On a surtout le sentiment que la réalisatrice s'est invitée dans un genre, le film d'horreur, en tentant d'en respecter les codes, mais sans s'y intéresser vraiment.