Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Le Parisien
par Alain Grasset
Excellent polar (...) Un citoyen frappé par la « dureté du mur anti-immigration » érigé à la frontière Etats-Unis - Mexique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce beau polar sur fond de pardon et de rédemption tire le meilleur parti de paysages gorgés de soleil pour opposer Forest Whitaker à Harvey Keitel. On se laisse emporter dans cette belle histoire tragique…
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La construction du film est remarquable. Bouchareb filme magnifiquement ce polar tout en sensibilité, en beauté et riche de sens. "La Voie de l'ennemi" vaut le coup d’être prise.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Rachid Bouchareb joue à fond la noirceur dans ce polar à l'ambiance quasi philosophique et au rythme contemplatif, magnifié par la beauté brutale des paysages désertiques de western.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Si on vous montrait "La voie de l'ennemi" (...) on parie que vous jureriez le réalisateur américain. Pourtant, c'est à l'auteur d' "Indigènes" et de "Hors-la-loi" qu'on doit cette forte tragédie, qui a le souffle puissant des classiques du cinéma américain.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Paris Match
par La rédaction
En une seule et puissante scène, l'actrice de "Requiem for a Dream" parvient à nous ébranler, preuve que le film fonctionne sur la longueur et qu'il parvient à provoquer une vraie empathie pour ce héros pourtant si loin de nous.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Critikat.com
par Pierre-Édouard Peillon
Au pays du western, Rachid Bouchareb est devenu plus cowboy que polémiste. Et c’est peut-être tant mieux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les hiatus sont encore accentués par une mise en scène qui se laisser piéger par les mouvements et les lieux communs du cinéma américain (...). Rachid Bouchareb parvient pourtant à communiquer un peu de cet étonnement qui saisit tout explorateur de bonne foi.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Julien Marest
Desservi par un scénario qui s'éparpille, “La Voie de l'ennemi” brasse les influences sans égaler jamais la sombre alchimie des grands films noirs.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Bruno Icher
Bouchareb se réapproprie les codes du genre, s’accordant quelques pas de côté réussis dont le portrait d’un shérif (Harvey Keitel, un peu fatigué) caricatural de rectitude moraliste mais submergé par un humanisme dont il ne s’imaginait pas capable.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un scénario un peu trop balisé (...). Mais il y a Forest Whitaker, Harvey Keitel et Brenda Blethyn. Et les décors grandioses du Nouveau-Mexique.
Positif
par Pierre Eisenreich
Avec ce couple d'acteurs exceptionnels et surtout cette réécriture des personnages, le réalisateur tenait déjà un vrai film. La mise en scène montre cette lucidité, épousant un style dont le découpage donne le temps à la naissance des émotions. La seule faute de goût intervient dans la bande originale, trop grandiloquente (...)
Première
par Gérard Delorme
Potentiellement sensible, le sujet est traité avec l'objectivité nécessaire, jusqu'à une conclusion fatale qui tend à montrer que l'humain finit toujours par l'emporter sur le religieux, pour le meilleur et pour le pire.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Si Rachid Bouchareb ("Indigènes") filme icônes et paysages américains (Whitaker, égal à lui-même, transpire la classe) avec une gourmandise de fan plutôt touchante, sa mise en scène manque singulièrement de relief et surtout de légèreté pour digérer les hectolitres de pathos qui recouvrent la moindre virgule de scénario.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Cécile Mury
Une Amérique de contreplaqué et d'espaces vides, quasi désertiques, que le cinéaste montre sobrement, sans jamais céder aux pièges de l'exotisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Bouchareb a réalisé une oeuvre soignée, mais limitée par ses propres qualités académiques.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
En dépit de ses cadres larges, des images magnifiques de ce drame et la présence de comédiens au jeu éprouvé, Rachid Bouchareb s’enlise dans un manichéisme qui est son péché mignon et plombe, par moments (...) une intrigue déséquilibrée par des invraisemblances et des situations téléphonées.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
Excellent polar (...) Un citoyen frappé par la « dureté du mur anti-immigration » érigé à la frontière Etats-Unis - Mexique.
20 Minutes
Ce beau polar sur fond de pardon et de rédemption tire le meilleur parti de paysages gorgés de soleil pour opposer Forest Whitaker à Harvey Keitel. On se laisse emporter dans cette belle histoire tragique…
Franceinfo Culture
La construction du film est remarquable. Bouchareb filme magnifiquement ce polar tout en sensibilité, en beauté et riche de sens. "La Voie de l'ennemi" vaut le coup d’être prise.
Le Journal du Dimanche
Rachid Bouchareb joue à fond la noirceur dans ce polar à l'ambiance quasi philosophique et au rythme contemplatif, magnifié par la beauté brutale des paysages désertiques de western.
Le Point
Si on vous montrait "La voie de l'ennemi" (...) on parie que vous jureriez le réalisateur américain. Pourtant, c'est à l'auteur d' "Indigènes" et de "Hors-la-loi" qu'on doit cette forte tragédie, qui a le souffle puissant des classiques du cinéma américain.
Paris Match
En une seule et puissante scène, l'actrice de "Requiem for a Dream" parvient à nous ébranler, preuve que le film fonctionne sur la longueur et qu'il parvient à provoquer une vraie empathie pour ce héros pourtant si loin de nous.
Critikat.com
Au pays du western, Rachid Bouchareb est devenu plus cowboy que polémiste. Et c’est peut-être tant mieux.
Le Monde
Les hiatus sont encore accentués par une mise en scène qui se laisser piéger par les mouvements et les lieux communs du cinéma américain (...). Rachid Bouchareb parvient pourtant à communiquer un peu de cet étonnement qui saisit tout explorateur de bonne foi.
Les Fiches du Cinéma
Desservi par un scénario qui s'éparpille, “La Voie de l'ennemi” brasse les influences sans égaler jamais la sombre alchimie des grands films noirs.
Libération
Bouchareb se réapproprie les codes du genre, s’accordant quelques pas de côté réussis dont le portrait d’un shérif (Harvey Keitel, un peu fatigué) caricatural de rectitude moraliste mais submergé par un humanisme dont il ne s’imaginait pas capable.
Ouest France
Un scénario un peu trop balisé (...). Mais il y a Forest Whitaker, Harvey Keitel et Brenda Blethyn. Et les décors grandioses du Nouveau-Mexique.
Positif
Avec ce couple d'acteurs exceptionnels et surtout cette réécriture des personnages, le réalisateur tenait déjà un vrai film. La mise en scène montre cette lucidité, épousant un style dont le découpage donne le temps à la naissance des émotions. La seule faute de goût intervient dans la bande originale, trop grandiloquente (...)
Première
Potentiellement sensible, le sujet est traité avec l'objectivité nécessaire, jusqu'à une conclusion fatale qui tend à montrer que l'humain finit toujours par l'emporter sur le religieux, pour le meilleur et pour le pire.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Si Rachid Bouchareb ("Indigènes") filme icônes et paysages américains (Whitaker, égal à lui-même, transpire la classe) avec une gourmandise de fan plutôt touchante, sa mise en scène manque singulièrement de relief et surtout de légèreté pour digérer les hectolitres de pathos qui recouvrent la moindre virgule de scénario.
Télérama
Une Amérique de contreplaqué et d'espaces vides, quasi désertiques, que le cinéaste montre sobrement, sans jamais céder aux pièges de l'exotisme.
aVoir-aLire.com
Bouchareb a réalisé une oeuvre soignée, mais limitée par ses propres qualités académiques.
La Croix
En dépit de ses cadres larges, des images magnifiques de ce drame et la présence de comédiens au jeu éprouvé, Rachid Bouchareb s’enlise dans un manichéisme qui est son péché mignon et plombe, par moments (...) une intrigue déséquilibrée par des invraisemblances et des situations téléphonées.