Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Ultime volet de la trilogie de l'Amour (“Head-on”), la Mort (“De l'autre côté”) et le Diable. Fatih Akin peint une fresque historique, digne d'un David Lean, portée par Tahar Rahim.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Parisien
par Alain Grasset
Sur le fond, l'histoire (...) est forte et poignante, mais la réalisation pèche un peu par manque de liant entre les séquences, sans doute parce que le réalisateur n'a pas l'habitude des grosses productions.
Première
par Gérard Delorme
Surchargé par ses bonnes intentions, "The Cut" peine à décoller.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Frédéric Mercier
Il y a deux films dans "The Cut". Le premier est une coproduction internationale sur le génocide arménien sans grand souffle. [Le] deuxième film est nettement plus intéressant où l'on retrouve le réalisateur de "Head On" et "De l'autre côté". Le grand film collectif se transforme en aventure humaine.
Télérama
par Pierre Murat
Tout est documenté, précis, intelligent, inattaquable. Fatih Akin célèbre avec une touchante sincérité la fraternité entre les êtres (...) Son talent reste évident. Mais, comme paralysé par l'ampleur de sa tâche, il a laissé fuir l'émotion qui n'éclate que par moments, intenses mais brefs
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une vaste fresque, un projet ambitieux, mais qui se résout en une épopée au souffle court, lourde et surjouée.
Le Monde
par Noémie Luciani
(...) "The Cut" articule laborieusement les étapes, et semble faire taire une seconde fois son personnage privé de la parole à la suite d'une blessure, avec une bande-son trop présente.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un film sur la bonne cause qui rate ses ambitions.
Positif
par Pierre Eisenreich
La mise en scène de "The Cut" souffre d'une réelle absence de point de vue historique. (...) On est bien loin du bouleversant "12 Years a Slave" et de sa dénonciation d'une autre barbarie.
Sud Ouest
par Sophie Avon
À quoi tient que le film ne décolle jamais et peine à montrer la souffrance d'un peuple incarné par ce beau jeune homme au nom de ville sainte ? Plus sûrement le poids d'une histoire si tragique qu'elle semble avoir coupé les ailes à un cinéaste qui a mis sept ans à réaliser son projet.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Programmatique, sans passion, le résultat oscille entre leçon d’histoire faiblarde sur le génocide et fresque romanesque essoufflée
Critikat.com
par Benoît Smith
L’académisme de plomb de "The Cut" véhicule quelque chose de plus grave qu’un florilège de maladresses d’exécution : il trahit un affreux manque de sincérité dans les intentions du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le cinéaste allemand livre une épopée classique souvent lourde dans son rythme, son émotion dictée, son interprétation affectée, trop appuyée dans le rendu des atmosphères, le travail sur les lumières et les décors.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Dans "The Cut", tout sonne aussi artificiel, prévisible et contrefait que dans un pudding hollywoodien des années 50.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Les Fiches du Cinéma
Ultime volet de la trilogie de l'Amour (“Head-on”), la Mort (“De l'autre côté”) et le Diable. Fatih Akin peint une fresque historique, digne d'un David Lean, portée par Tahar Rahim.
Le Parisien
Sur le fond, l'histoire (...) est forte et poignante, mais la réalisation pèche un peu par manque de liant entre les séquences, sans doute parce que le réalisateur n'a pas l'habitude des grosses productions.
Première
Surchargé par ses bonnes intentions, "The Cut" peine à décoller.
Transfuge
Il y a deux films dans "The Cut". Le premier est une coproduction internationale sur le génocide arménien sans grand souffle. [Le] deuxième film est nettement plus intéressant où l'on retrouve le réalisateur de "Head On" et "De l'autre côté". Le grand film collectif se transforme en aventure humaine.
Télérama
Tout est documenté, précis, intelligent, inattaquable. Fatih Akin célèbre avec une touchante sincérité la fraternité entre les êtres (...) Son talent reste évident. Mais, comme paralysé par l'ampleur de sa tâche, il a laissé fuir l'émotion qui n'éclate que par moments, intenses mais brefs
Le Dauphiné Libéré
Une vaste fresque, un projet ambitieux, mais qui se résout en une épopée au souffle court, lourde et surjouée.
Le Monde
(...) "The Cut" articule laborieusement les étapes, et semble faire taire une seconde fois son personnage privé de la parole à la suite d'une blessure, avec une bande-son trop présente.
Ouest France
Un film sur la bonne cause qui rate ses ambitions.
Positif
La mise en scène de "The Cut" souffre d'une réelle absence de point de vue historique. (...) On est bien loin du bouleversant "12 Years a Slave" et de sa dénonciation d'une autre barbarie.
Sud Ouest
À quoi tient que le film ne décolle jamais et peine à montrer la souffrance d'un peuple incarné par ce beau jeune homme au nom de ville sainte ? Plus sûrement le poids d'une histoire si tragique qu'elle semble avoir coupé les ailes à un cinéaste qui a mis sept ans à réaliser son projet.
Cahiers du Cinéma
Programmatique, sans passion, le résultat oscille entre leçon d’histoire faiblarde sur le génocide et fresque romanesque essoufflée
Critikat.com
L’académisme de plomb de "The Cut" véhicule quelque chose de plus grave qu’un florilège de maladresses d’exécution : il trahit un affreux manque de sincérité dans les intentions du cinéaste.
La Croix
Le cinéaste allemand livre une épopée classique souvent lourde dans son rythme, son émotion dictée, son interprétation affectée, trop appuyée dans le rendu des atmosphères, le travail sur les lumières et les décors.
Les Inrockuptibles
Dans "The Cut", tout sonne aussi artificiel, prévisible et contrefait que dans un pudding hollywoodien des années 50.