Avis sur Des gens qui s'embrassent

"Des gens qui s'embrassent" mérite-t-il seulement qu'on en parle ?
C'est en effet une véritable catastrophe que Danièle Thompson nous propose là avec cette comédie si on peut décemment l'appeler ainsi !
Est-ce possible d'en arriver à ce point ?
"Le code a changé" qui n'était pas désagréable était à côté un chef-d'œuvre...
Certes, on peut aimer regarder des films légers qui ne prennent pas la tête mais encore faut-il qu'ils soient drôles, bien réalisés et un minimum intelligents pour y trouver un soupçon de plaisir et que ce soit ainsi du cinéma à véritablement parler !
Ici, on aura du mal à citer tous les défauts car il n'y a que cela à commencer par un scénario indigent et téléphoné à l'avance qui nous baigne dans un luxe tape à l'œil parmi des ambiances kitschissimes dont on n'a rien à faire...
Les situations sont lourdes et grossières pleines de clichés bien gras en veux-tu en voilà, avec des répliques stupides sorties de la bouche de comédiens bien mal inspirés (mais bien... payés !) se ridiculisant eux-mêmes et se demandant ce qu'ils font là tout comme les pigeons de spectateurs qui sont tout simplement arnaqués malgré eux comme ce n'est pas permis !
Inintéressant, pathétique et d'un mauvais goût rarement égalé !
Difficile de faire pire !

Résumé: une multitude de personnages brouillons s'agitent avec tous les clichés nombrilistes et désuets du milieu bourgeois parisien. On se prend à regretter les films de Pierre Richard.
Bref, nanar de plus pour Miss Thomson ! De toutes façons, quoi qu'elle fasse, elle est sûre d'avoir son canapé rouge ainsi que la bénédiction de quelques médias bienveillants qui encensent ses films sans les avoir vus. Pourquoi s'en priver ?
Sur 11 personnes (j'ai compté), cinq ont quitté la salle.
En somme...."Des gens qui détestent et qui partent"... me parait plus adapté !

(...) Pas de scénario, une mise en scène plus que bancale, des acteurs complètement à côté de leurs pompes : Danièle Thompson s’est plantée en beauté. Un conseil : ne restez pas jusqu’à la fin, il ne se passe strictement rien d’intéressant, ni de palpitant. Une petite idée : si vous avez écrit un scénario et que vous cherchez un réalisateur, vous pouvez toujours écrire à Danièle Thompson… (Ça ne pourra pas être pire de toute façon).

Il faut commencer à songer à la retraite et laisser la place à des jeunes qui ne soient pas "fils ou fille de".... ce pseudo-réals rive gauche continuent avec leurs recettes indigestes, complétement coupés du monde, à produire des (télé)films sans aucun intérêt !

Mon dieu que les comédiens jouent mal dans ce film (à quelques rares exceptions) et comme leurs personnages sont antipathiques ! Quel dommage, sur le papier il y avait tout pour passer un bon moment. Danielle Thompson a réalisé déjà de très bons films sur ce thème inépuisable de la famille mais là tout sonne faux, on ne croit pas ni aux personnages ni aux situations. Heureusement Clara Ponsot et Lou de Laâge apportent un peu de glamour mais c'est bien tout. Kad et Monica Belluci ont rarement été aussi mauvais, Max Boublil n'a ni le charisme ni le charme que nécessite son personnage. On s'ennuie beaucoup et on est affligé par certaines scènes censées être drôles. Bref : un film à éviter...

Alors là, le cinéma français va vraiment mal. Le N-A-V-E-T absolu de cette année 2013. Comment Danièle Thompson a pu tomber si bas.
C'est atterrant du début à la fin et au niveau des acteurs il n'y en a pas un pour relever le niveau de l'autre.
Kad Merad, on se demande ce qu'il fout dans ce film tellement il est à côté de la plaque dans son rôle de crooner. Monica Bellucci, qui se croit maline en lâchant de temps en temps une phrase en italien est affligeante. Eric Elmosnino, qui d'habitude me surprend, est grotesque.
Et que dire des dialogues ? Qu'ils sont absolument consternants.
Chers cinéphiles, fuyez cette chose qui aurait mieux fait d'être classée au rang de rebut. Même la télé n'en voudrait pas, c'est vous dire...

petite comédie romanticomique avec un casting de choix mais qui m'a laissé sur ma faim
des situations attendues
l'intérêt est la découverte de jeunes talents

Cette réalisation de Danièle Thompson nous offre une comédie sympathique, agréablement rythmée et soutenue par une très belle musique. Le scénario, osé et assez sophistiqué, nous conte les démêlés d'une famille juive ; les références au Talmud nous fournissant des scènes aux dialogues de qualité.
Un autre attrait de ce film réside dans la qualité de ses interprètes : Eric Elmosnino (Zef) nous offre un remarquable jeu d'acteur et Kad Merad (Roni) nous fait du Kad, plutôt séduisant en crooner.
Le coté romantique de cette comédie est assuré par la jolie et talentueuse Lou de Laâge (Noga la violoncelliste) et Max Boublil (Sam) qui réalise, lui aussi, une belle prestation. A noter également de jolis seconds rôles pour Monica Bellucci et Valérie Bonneton, ainsi qu'une belle composition d'Ivry Gitlis dans le rôle du grand père.

La toute première séquence de "Des gens qui s'embrassent" (un générique-concert plutôt élégant) ne laisse pas présager la platitude révoltante qui va suivre pendant 1h40. Car le scénario qu'ont pondu les Thompson (mère et fils) est absolument spoiler: suite sur Plog Magazine, les Critiques des Ours (lien ci-contre)

Des gens qui s'embrassent est une comédie française plutôt divertissante, un casting vraiment satisfaisant. Entre retrouvailles, disputes, réconciliations, amour et haine : rien ne va plus pour cette grande famille attachante. Des situations cocasses drôles avec de magnifiques paysages ( St Tropez ). On n'en demander pas plus dans cette comédie. Pas si désagréable que sa finalement.

Je suis en train d'écrire cette critique pendant que je regarde le film
J'en suis a peu près a 1 heure du film et je vais vous donner mon avis : ce film est nul ! , autant j'avais beaucoup aimé fauteuil d'orchestre du même auteur et réalisateur autant ce film est inintéressant , scénario : 0 acteur : 0 , réalisation : 0 j'avais hâte de le voir même près avoir lu les
crltiques assassines , mais finalement elles avaient raison

Honte aux critiques, et celui du Figaro qui l'a classé "Navet de la semaine" il devrait être condamné a en mangez toute la semaine.
Bien sur ce n'est pas le film pour intellectuel Bobo Parisien ou on s'enmerde a qui peut mieux, ce n'est qu'un film Francais de divertissement bien utile dans cette France d'avril ou le moral est dans les chaussettes.
Les seuls critiques valables, les Cochons de payant dans cette salle pleine du mercredi apres-midi ont beaucoup ri, apprécié, applaudit, c'est ce qu'ils attendaient, de bons acteurs qui jouent leur rôle; Monica Bellucci en ravissante idiote, Gad et Elmosino en fréres ennemis qui s'adorent, trois ravissante jeunettes dans leur rôle, Ivry Giltis en acteur inattendu, bref un bon moment a passer pour oublier ses ennuis, c'est un bon film familial MMe Thomson and Co, redonnez nous en des souvenir du Maxim's d'il y a 20 ans, Merci

Le film chorale familial est un exercice difficile en soit. Il y en a pourtant (quelques uns) de très bons et surtout de (beaucoup) moins bons. Ce nouveau film de Danièle Thompson se situe nettement dans la seconde catégorie. Jusqu'ici elle s'en était toujours plus ou moins bien sorti depuis La bûche (puis Décalage horaire, Fauteuil d'orchestre, Le code a changé). Là, c'est donc un beau ratage. Mise en scène absente, scénario inepte...

Un sous-navet !
Comment est-ce possible qu'on laisse Danielle Thompson sortir un scénario que n'oserait commettre aucun étudiant en 1ère année de cinéma... Avec des dialogues qui respirent la niaiserie à tous les étages! TOUT EST MAUVAIS DANS CE FILM : le casting incongru ( excepté la jeune fille qui se marie - la fille de Kad Merad). Max Bloubil si mal utilisé à contre-emploi : ravageur ! Le pire choix de casting va à Eric Elmosnino qui était si convaincant dans d'autres films (Gainsbourg, etc.) Mais que pouvait-il faire face à un scénario qui le force à demander à sa femme d'aller lui chercher une sandwich au pastrami pour entraîner sa mort et faire rebondir l'intrigue par la même occasion ?
Quand on a des acteurs de cette trempe et de ce renom, on leur doit un film décent, un minimum "travaillé" où leur talent pourra s'épanouir; mais peut-être au fond que la seule raison d'exister de ce projet n'est que l'argent; tout n'est plus alors qu'une question de gros chèque pour payer des arriérés d'impôt ou sa villa secondaire sur le dos des spectateurs...

En sortant de la salle, en colère comme je le suis rarement, je me suis dit que c'était -de loin- le plus mauvais film français vu cette année (et j'en vois !). On est en avril mais je suis certain qu'il sera encore en tête de liste à Noël.

Ce film n'est rien. Pas même le film de trop pour Daniel Thompson qui est maintenant une "old lady" laissant malheureusement son fils aux commandes scénaristiques. Le cinéma français est comme une rente que lui aurait laissé son père... L'on aimerait tellement que sa propre progéniture ait l'âme de feu monsieur Oury mais au lieu de cela, il ne reste qu'un énième film sur une famille juive (avec la dichotomie sociologique des grandes heures : les athées (parvenus forcément !) d'un côté, et les intellos (pratiquants forcément !) de l'autre. Mieux vaut aller voir du côté de la "Rue Mandar" pour trouver un long-métrage qui tiennent à peu près debout de ce côté-là.

Le plus triste, c'est que le battage médiatique aura sûrement raison du bon sens des spectateurs. Les premières semaines sont cruciales pour le succès d'un film en salle. Et je n'ai vu aucun commentateur télévisuel critiquer ce film et le placer à sa juste valeur, c'est-à-dire au rang des navets. Le bouche-à-oreille aura-t-il le temps de corriger ces aberrations? J'en doute...

2 questions s'imposent : 1) Qui pourrait empêcher la famille Thompson de sévir à nouveau ? 2) Après une telle Bérézina cinématographique, quel sera le producteur assez fou pour leur faire confiance ?
Eut égard aux services rendus du père Oury et à quelques films de Thomson qui se tenaient encore, nul doute que la grande famille du cinéma passera sûrement l'éponge. Mais combien de réalisateurs qui ont des choses à dire et un propos cinématographique à partager, ne pourront le faire faute de financement? Bien sûr, les vases communicants n'existent pas, toutefois on se prend à rêver à tous les films intéressants que l'on aurait pu produire en lieu et place de cette catastrophe.

Le film "Tati Danielle" de Chatiliez était donc prémonitoire...

Spécialiste du film-choral à la Française et des observations percutantes sur le mode de vie bourgeois,Danièle Thompson semble totalement sclérosée dans "Des gens qui s'embrassent". En panne d'idées,et complètement à côté de la plaque en ce qui concerne le montage. C'est un tel capharnaüm qu'on a du mal à distinguer les lieux,les dates et les motivations des personnages. Son film ressemble à une comédie à l'italienne,mais c'est en fait une comédie juive ashkénaze avec l'auto-dérision burlesque qui va avec. Ce qu'elle raconte,tant sur la naissance d'un jeune couple interdit que sur la confrontation sociologique des deux frères,sent passablement le réchauffé,et apparaît même très daté. Sa représentation de la bourgeoisie agace royalement. On dirait un monde clos qui s'agite vainement,en ne pensant qu'aux apparences. Un vrai repoussoir. Quant au casting pléthorique,il sonne faux. Quand l'un n'est pas à sa place(Kad Merad),l'autre n'échappe pas au grotesque(Éric Elmosnino),aux minauderies(Monica Bellucci)ou au cabotinage(Max Boublil). Lou de Laage et Clara Ponsot rivalisent de beauté et c'est bien la seule chose à sauver de ce navet prétentieux.