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    Welcome to New York
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    Nicolas N.
    Nicolas N.

    30 abonnés 772 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 décembre 2024
    Welcome to New York raconte la chute d’un homme politique français, inspiré de Dominique Strauss-Kahn, incarné par Gérard Depardieu. Le film s’efforce de dépeindre son plongeon dans le scandale sexuel, mais échoue à rendre l’histoire captivante. Malgré la présence imposante de Depardieu, son interprétation manque de profondeur, ce qui rend le personnage difficile à croire. Le film oscille entre clichés et maladresses, notamment dans son traitement de la sexualité et de la politique, ce qui le rend souvent superficiel. La mise en scène, bien que ambitieuse, ne parvient pas à sauver un scénario trop faible. En fin de compte, l’œuvre manque de nuance et ne réussit pas à émouvoir. Note : 1,5/5.
    GERARD BENICHOU
    GERARD BENICHOU

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 mars 2024
    La roue tourne de mon petit Depardieu maintenant c'est toi qui est dans la tourmente ça t'apprendra. J'espère que tu retireras la leçon. On ne tire pas sur une ambulance. Tu as profité de l'affaire DSK pour faire un film et l'enfoncer encore plus aujourd'hui c'est toi qui paye bien fait ! N'allait pas voir ce film, c'est complètement ridicule. Ça n'a rien à voir avec l'affaire DSK. De plus c'est très mal joué. peut-être que maintenant un acteur serait bien inspiré de jouer l'affaire de Part-Dieu pourquoi pas ce serait injuste. Retour des choses.
    Marie Helene B
    Marie Helene B

    6 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 février 2024
    Bon! Par ou commencer? Les scénes de sexe sont ridicules, mais je suppose que le metteur en scéne ne pouvait pas peindre le détraqué sexuel autrement…… peut être même était ce pire dans la vie réelle! Sinon, les autres scénes sont interessantes: la mécanique froide et rigide de la justice américaine est bien rendue. Les scénes avec l’épouse sont passionantes. Quand l’ambition maladive rencontre l’intelligence dévoyée…….
    Michael3004
    Michael3004

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 avril 2023
    Welcome to NY, film que voulais voir depuis "l'affaire" mais pour lequel je voulais d'abord laisser retomber tout le poids des médias, de la justice, des années avant de voir le film. Voila qui est fait.
    En ce qui concerne le film, je pense que la notion de Navet est bien bien loin de la réalité cinématographique ET de la réalité de "l'affaire" ayant conduis au désir d'en faire 1 film.
    Le personnage principal, est ici décrit comme un malade en dépendance sexuelle et completement dénué de toute autre intelligence. Quand les faits tombent, il réagit tout comme un enfant qui ne comprend rien au monde des adultes et à la gravité de ce qui lui est reproché.
    Pour le reste, Depardieu est archi nul et, mis à part les mains qu'il ballade en quasi permanence sur l'intimité des actrices, on vout bien qu'il n'est pas dans un peudo role et qu'il n'a aucun plaisir à jouet.
    Bref, une dépense d'argent supplémentaire pour quelque chose qui ne mérite EN RIEN le nom de film. Et dire que j'ai ga hé 3€99 pour...ce vide absolu !
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 708 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 mars 2021
    En dehors de quelques femmes nues et mal fagotées Welcome to New York a essayé de dépeindre Dominic Strauss Khan comme un mangeur de femmes soufflant et pédant et je trouve cela particulièrement stupide. Il n'y a aucun élément du suivi intriguant de l'affaire juridique, il n'y a aucun aperçu de la raison pour laquelle M. Khan a besoin de rire lorsqu'il touche maladroitement une femme comme un gamin sauvage de quinze ans. Je ne vois rien qui puisse s'approcher du portrait de l'homme appelé le séducteur un homme qui aurait eu les plus belles du monde à ses pieds. Ce film est vraiment une représentation terrible des événements qui se sont réellement produits. Le jeu des acteurs est froid et sans vie. Pourtant si le réalisateur Abel Ferrara avait pris son temps avec ce scénario il aurait pu avoir un réel potentiel. Car la raison principale pour laquelle un tel film serait fait est de faire la lumière sur les événements qui se sont produits dans la vie réelle ou du moins de donner une ressemblance. Mais je ne crois vraiment pas que cela ait été le cas avec ce film...
    Caine78
    Caine78

    6 798 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 mai 2019
    Cela faisait longtemps que je lui tournais autour sans me décider : il devait sans doute y avoir une raison... Franchement, ce film n'est pas loin d'être abject. Au vu du sujet, on aurait pourtant pu espérer une œuvre ambiguë, complexe, cherchant à explorer la face cachée de cette sordide affaire, ayant entraîné la chute d'un acteur majeur de la politique mondiale. Mais non : si le début intrigue, on comprend rapidement qu'une seule chose intéresse Abel Ferrara : se payer Dominique Strauss-Kahn, de la façon la plus racoleuse, la plus médiocre qui soit. Ce dernier n'a pourtant même pas le courage d'assumer sa mesquinerie, se cachant derrière « une histoire inspirée de faits réels » uniquement pour ne pas être attaqué en justice. Encore le film serait bon, pourquoi pas : il ne l'est jamais. Si les (trop) longues scènes de sexe sont heureusement (et logiquement) concentrées dans les premières minutes, « Welcome to New York » ne connaît pas pour autant de regain d'intérêt par la suite, se contentant de décrire le parcours du protagoniste de son arrestation à son passage en prison puis sous liberté surveillée avant sa relaxe, de façon très linéaire, didactique, sans la moindre originalité ni personnalité, le réalisateur torchant la forme avec un rare mépris, la pauvreté de l'image comme de la technique apparaissant comme une énième marque de dédain pour le spectateur. On a bien droit à une poignée d'images « authentiques », quelques « déambulations dialoguées » d'un Gérard Depardieu convaincant, la dernière scène sachant, enfin, créer un léger trouble, quelques doutes sur la personnalité de Devereaux, mais c'est tellement peu, pour ne pas dire presque rien au vu de l'indescriptible vide, du coup de pub pathétique d'un cinéaste en très grande perte de vitesse ces dernières années, avec pour seule motivation de faire parler, de choquer, se contrefoutant d'offrir un titre digne de ce nom, l'absence de suggestion, la volonté de présenter d'emblée son personnage coupable et monstrueux lui faisant perdre tout intérêt. Indigne de l'important cinéaste qu'a pu être Ferrara dans les 90's.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    704 abonnés 3 055 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mars 2019
    En s’emparant de l’affaire DSK, Abel Ferrara navigue dans les eaux troubles de l’actualité brûlante dont il tire un brûlot audacieux mais outrancier, sans que cette outrance ne serve la monstruosité ici thématisée. La mise en place de l’intrigue fonctionne à merveille, construit lentement son piège. Là où les femmes tombent en quelques secondes, le monstre, lui, a besoin de temps. Et c’est ce temps que Ferrara capte par sa caméra fiévreuse et pourtant précise, comme émanant d’une pulsion. Le monstre prend des formes diverses, de plus en plus démesurées : d’abord un homme, un corps et ses addictions ; puis tout un système se révèle infecté. Les non-dits accumulés éclatent enfin au grand jour dans la cellule conjugale perçue comme un piège qui aurait toujours été là. Le sexe comme émancipation face à la femme tyrannique et toute-puissante, force sourde, muette, irréprochable : l’outrance sert à dénoncer l’horreur latente, jusqu’alors tapie dans l’ombre. C’est très fort. Quel était le besoin, par conséquent, d’exacerber le propos par des accusations qui, aussi fondées puissent-elles être – là n’est pas la question –, tombent de manière gratuite dans la bouche d’acteurs subitement changés en figures théâtrales ? Shakespeare semble se rejouer sous nos yeux, dans le brouillage des langues qui traduit davantage encore le clivage du couple. Le théâtre n’est pas un mal, mais se conjugue plutôt mal avec l’ambition première d’un film saisi dans le mouvement réaliste du déchirement. Welcome to New York porte sur la liberté que l’on exerce au détriment d’autrui et à des fins émancipatrices – le monstre castré reprend ses droits et ravive la fougue passée de sa jeunesse lors de ses ébats – mais s’avère incapable de prendre suffisamment de recul, donc de liberté, par rapport au sujet dont on ignore tant, et dont le film dit trop, au risque de tomber dans la provocation gratuite et malvenue.
    Ricco92
    Ricco92

    231 abonnés 2 156 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 mars 2019
    Rarement un film d’Abel Ferrara n’aura autant fait parler de lui, d’autant plus pour un film sorti directement en VOD. Hélas, si le film a fait autant de bruit, ce n’est pas pour ses qualités cinématographiques mais pour son sujet : l’affaire du Sofitel de New York ! Ainsi, même s’il ne reprend pas les noms des personnages (Dominique Strauss-Kahn devient Devereaux et Anne Sinclair se prénomme désormais Simone) et qu’il fait discuter le couple la plupart du temps en anglais et non en français (peut-être à cause du choix de Jacqueline Bisset qui est britannique bien qu’elle soit totalement bilingue et qu’elle ait des origines françaises), le cinéaste reprend point par point le déroulement de l’affaire sans réel intérêt artistique, le long métrage ayant des allures de film fauché plus qu’autre chose : le seul aspect novateur semble être la mini-interview de Gérard Depardieu sans grand intérêt qui précède le film (qui est d’autant plus cocasse vu d’aujourd’hui quand on sait que l’acteur lui-même a été accusé d’agression sexuelle quatre après). Le résultat semble donc parfois un peu long. Pour ce qui est des personnages, le film reprend juste les images péjoratives que possédaient les détracteurs des protagonistes réels : Devereaux n’est réduit qu’au statut d’obsédé sexuel et Simone à celui de femme carriériste qui est la personne qui voulait réellement faire de son mari le futur Président de la République (lui ne le désirant pas tant que ça). Si ce personnage semble servir un peu de caution à celui de Devereaux dans la seconde partie (celui-ci étant réduit au statut de jouet pour elle), les accusations d’antisémitisme qui ont été portées à l’époque sont juste ridicules : le seul élément pouvant suggérer l’origine religieuse des personnages est une phrase de Depardieu où il dit qu’il a de la chance de ne pas être chrétien (sans aucune autre indication de son appartenance religieuse). De même, certaines critiques le faisant passer pour un film quasiment pornographique sont assez peu fondées : les scènes de sexe sont relativement sages mais il semblait impossible de n’en montrer aucune avec un sujet pareil. Il est inutile de porter de fausses accusations sur un film qui n’est déjà pas terrible. Le résultat semble donc avoir été plus ou moins fait dans un but mercantile (le projet ayant été lancé peu de temps après le déclenchement de l’affaire DSK). On aurait pu espérer de la part du cinéaste une œuvre plus intéressante artistiquement parlant qui ne se réduirait pas juste à son aspect scandaleux. Espérons qu’il ne lui vienne pas l’idée d’adapter un jour l’affaire Roman Polanski (qui est évoquée au détour d’une phrase) avec le même type d’optique.
    ronny1
    ronny1

    40 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 janvier 2019
    Gérard Depardieu est un acteur géant qu’Abel Ferrara utilise comme un instrument dans « Welcome to New York ». Et le géant déborde, comme souvent, réduisant la pauvre Jacqueline Bisset au rôle de « compagne » braillarde, dans le mauvais sens du terme. Le film commence dans une exposition complaisante à caractère porno soft des « exploits » sexuels de celui qui était déjà président de la France sans avoir besoin de faire campagne. Puis, au lendemain de l’orgie sexuelle, suivi d’un triolisme avec deux callgirls (l’une est la sublime Natasha Romanova) dans un numéro saphique pour exciter la bête, ce grand malade (c’est cliniquement comme ça que ça se définit) saute sur un thon afro américain assez immettable pour toute personne normalement constituée. La suite, glaciale, mécanique et éprouvante de l’arrestation à la libération sous caution, fait réfléchir qu’en France tout cela ne peut pas arriver. Le « savez vous qui je suis » suffit à couvrir des turpitudes qui duraient depuis des années et que tous les réseaux internet connaissaient (vague allusion d’une tentative de viol dans un flash back d’une interview sans explication sur qui a fait pression sur la fille pour qu’elle ne porte pas plainte, mais dont la réponse se trouvait sur la toile). Oui mais voilà c’est New York, USA. Et donc arrestation il y a. Cette partie, est la plus dense, est la plus intéressante du film. Par la suite, l’opposition du « présumé » coupable et de son épouse permet au premier de monopoliser l’écran. Le film se termine sans une once de connaissance supplémentaire par rapport à ce que tout le monde connaît. Certaines questions n’ont jamais été posées. Cette affaire était-elle un piège ? Si oui qui en a profité ? Le président de République Française ? Mais lequel ? Qui est vraiment le prévenu ? On peut penser ce que l’on veut de DSK, moi, que du mal, mais c’est un remarquable financier (une crapule quoi), un homme intelligent, élégant, cultivé avec beaucoup d’allure et de charme, qui plaisait aux femmes. Pas sur que le Devereaux du film réponde à un seul de ces critères. La lamentable scène du déjeuner avec sa fille et son boy friend, agrémenté d’une considération d’une grossièreté stupéfiante de crasse quant à la bouillabaisse est une salissure calomnieuse. Enfin, cerise sur le pudding, une regrettable phrase mensongère à caractère antisémite, qu’Anne Sinclair ne méritait surement pas. Et dire qu’il rêvait de pouvoir sauver le monde de la pauvreté...
    mx13
    mx13

    249 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 juin 2018
    Un nouveau film d’Albel Ferrera bourré de scènes qui se dégoûtent elles mêmes, et qui créent une ambiance morose et surréalistes, alors que celles ci sont dans un contexte biographique. Ce qui crée un exercice de style très intéressant. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 3/5
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 19 mai 2018
    Bon, ce n'est pas le pire film que j'ai vu étant donné que j'ai tenu la fin sans problèmes.
    Mais ... c'était vraiment horrible.

    Depardieu en roue libre qui se montre à poil sans problèmes. Au-delà du personnage, on a l'impression que Gérard n'est pas vraiment là non plus, qu'il ne joue pas réellement mais qu'il y a vraiment un problème de blase ou de lassitude. Il n'a vraiment pas l'air dedans, même dans ses scènes de dialogues.

    La première partie du film n'est qu'une succession d'orgies, pas si provocantes que ça au final ( ce qui aurait pu "sauver" le film si on peut dire, d'un point de vue audiences). Le film va rapidement tourner en rond jusqu'à la bouillie que sera le "viol" sur la femme de chambre (en vrai c'est extrêmement mal filmé à ce moment là, on laisse planer le doute dans un but qui m'échappe).

    Tout le reste du film ne sera concentré que sur "l'après-procès", l'avenir de cet homme politique qui a fait la bêtise de trop, de la réputation de sa femme/enfants, et de sa relation avec eux, mais surtout avec lui-même. On a cette étrange impression que le Gégé se parle tout seul, même lorsqu'il dialogue avec sa femme, ou avec qui que ce soit dailleurs. Cela explique la colère froide de la mère Devreaux qui effectivement doit bien en avoir marre s'il agit comme ça depuis un moment.

    Au final, ça fait un énorme bruit et ça prend beaucoup de temps pour pas grand chose : un homme qui n'est pas super bien dans sa peau, et qui n'aime pas réellement ce qu'il fait, qui a un style de vie insolite et qui un jour fait une bêtise. Une histoire très banale et ultra-classique, qui aurait pu être magnifiée avec d'autres angles, un autre arc narratif, et une autre psychologie de personnage.
    A. Ferrara a réussi un coup de maitre par contre : arriver à signer un film 100% mélo-psycho-bobo français. Et arriver à faire ça en étant américain, c'est un exploit, j'imagine...
    benitoberlon
    benitoberlon

    59 abonnés 971 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 décembre 2017
    Par où commencer?n'y allons pas par 4 chemins, ce film est une bouse...dès les premières minutes, on sent la catastrophe arriver.Jeu d'acteurs catastrophique, scènes d'une longueur interminable, doublage ignobles, récupération médiatique, bref, tout est à gerber, sans intérêt, et met même par moment mal à l'aise...on nous présente des faits, scènes d'orgies et de viols, qui s’enchaîne sans rien derrière, aucune réflexion, rien de rien! Un film à charge (à juste titre ou non, là n'est pas le propos).
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 août 2017
    Cet excellent film, remarquablement interprété, apporte toute la cohérence nécessaire pour comprendre le déroulement d'une affaire complexe qui a surpris bien des français. Malheureusement, le scénario n'apporte pas de réponse quant à l'identité de ceux qui sont à l'origine du piège dans lequel est tombé le héros.
    Nicolas V
    Nicolas V

    92 abonnés 1 283 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 juin 2017
    Relatant l'affaire de directeur du fond monétaire international, ou se dernier fut arrêté et jugé a new york pour tentative de viol, Ferrara réalise encore une fois une oeuvre sulfureuse.

    Mais loin de ses talentueux "prince de new york", ou "Bad lieutenant", Welcome to New York a plus l'aspect d'un mauvais documentaire sur le libertinage bourgeois dans le milieux de la finance. Un portrait cru et sexuel que dresse le réalisateur sans se soucier de la moindre mise en scène. Ou les dialogues semblent etre improvisés tant ils sont mauvais et creux. D'ailleurs le doublage français est horrible.

    Welcome to New York est une suite de scène de sexe avec notre Gégé très hot ( sarcasme quand tu nous tiens ) suivi de dialogues à deux dans différentes pièces sans rebondissements ni le moindre souci artistique.

    Vu le sujet maladroit, on ne peut pas dire que ce fut une déception mais Abel Ferrara nous avait présenté la faiblesse humaine de meilleure manière.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    297 abonnés 3 152 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 décembre 2016
    Je ne sais quoi penser de ce Welcome To New York !!! A la fois fascinant et scandaleux, je reste mitigé... Bon déjà il faut zapper la 1ère demi heure qui n'est que prétexte à montrer des scènes d'orgies sexuelles et c'est insupportable. De plus Depardieu est comme, à son habitude, ''too much'' et ses cris bestiaux pendant qu'il fornique m'ont gêné et agacé. Il joue mal, en fait des caisses et ça m'a dérangé. En contrepartie la deuxième partie du film est nettement plus intéressante et je n'ai pas réussi à arrêter. Au final je dois avouer que j'ai bien aimé même si ça m'écorche la bouche. Intéressant mais horripilant !
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