Manifestement, un Alien « Danièle Thompsonnesque » a pondu dans Riddley Scott. Où alors il a un frère jumeau (Bi-Scott) qui usurpe son identité pour lui faire des crasses. En tous cas, au niveau « crasse », ce minable téléfilm est à peu près du niveau de l’insignifiant « Blood Ties » de (feu) Guillaume Canet. Des scènes inutiles (comme la 1ère où Fassbinder régale buccalement Peinée-salopée- Crouze après lui avoir demandé de ne surtout pas se laver), des scènes sans liens, qui nuisent parois à la compréhension de ce que Ride-laid biscotte appelle un « Film ». C’est creux, c’est plat, c’est lent, c’est mou, parfois dégeux, parfois violent, souvent ennuyeux et donc sans intérêt. Dernière précision : si Camée-ronne-diaze (qui ressemble à « Sheila » sans Dring-go), n’arrête pas la chie-rure-gie est-ce tes tiques, dans 20 piges, elle ressemblera à Régine (et sans selles) !!! Ce film ne mérite qu’une chose : Le Mépris envers un ex-excellent réalisateur devenu sans doute gâteux à cause de son âge avancé (76 ans). Chez nous, il irait ronfler à l’Académie Française ou au Sénat avec d’autres vieux débris ; Comme ça, il ne se sentirait pas obligé de continuer à faire de telles daubes pour payer ses couches confiance, son déambulateur, sa baignoire à porte, son monte-escalier, son dentier, son fauteuil percé électrique, et sa convention obsèques ! Adieu trop vieux monsieur qui nous avait tant fait rêver il y a 35 ans avec « Alien » !