Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le sixième film de Pascal Bonitzer (...) est son film le plus rond, le plus tenu, le plus riche sans doute aussi – au point qu'on hésite à dire que nous sommes parvenus à démêler tous les fils qui le tissent malgré deux visions.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
par Caroline Vié
Bonitzer fait sortir ses tripes à son acteur qui n'avait pas été aussi bouleversant depuis son rôle d'amoureux éconduit dans "Le Goût des autres" (1999) d'Agnès Jaoui.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Françoise Delbecq
On rit de la confrontation père-fils dans un restaurant japonais. On hurle de rire au saut du lit (...) oui, un film jouissif !
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Christophe Carrière
Un programme chargé, pourtant plein de légèreté, porté par un Jean-Pierre Bacri truculent de bougonnerie, émouvant et profond en cocu blessé ou en chevalier impuissant. Un festival à lui tout seul.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Jean Roy
Une mise en scène fluide permet à cette comédie de prendre son envol. Du monde tel qu'il va, y compris quand il ne va pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Jean-Pierre Bacri est proprement génial dans "Cherchez Hortense", et ses partenaires ne lui cèdent en rien, qu'ils se nomment Isabelle Carré (déjà en tandem avec l'acteur dans "les Sentiments" de Noémie Lvovsky), Claude Rich (le père distraitement indigne), Kristin Scott Thomas (la compagne évanescente) ou Jackie Berroyer (le vieux pote).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Très bonne surprise de cette rentrée, le nouveau film de Pascal Bonitzer (...), coécrit avec Agnès de Sacy, réunit des qualités qui ont parfois tendance à se faire rares dans le cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Cet ultime avatar, qui englobe les précédents, pose [Pascal Bonitzer] en auteur de comédies intellectuelles tortueuses, sortes de farces lacaniennes. (....) Le récit élargit par petites touches son évocation de la faillite névrotique de l'univers bourgeois.
Marianne
par Danièle Heymann
(...) "Cherchez Hortense", le nouveau film du brillant Pascal Bonitzer, dont le moindre défaut est sans doute de se savoir brillant.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Metro
par La rédaction
Sous ses atours intello et bavard et malgré un sujet grave (les sans-papiers), cette comédie quasi Allenienne se révèle particulièrement ludique et charmante. Isabelle Carré, Jean-Pierre Bacri et le facétieux Claude Rich sont irréprochables.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Isabelle Danel
Sous des dehors intellos et bavards, "Cherchez Hortense" cache, comme ses personnages, un réjouissant jeu de piste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Le scénario est une merveille, les dialogues sont épatants et la distribution, aux petits oignons. Entouré, entre autres, de Claude Rich, irrésistible en père indigne, d'Isabelle Carré, épatante en immigrée serbe, et de Jackie Berroyer, dostoïevskien en diable, Jean-Pierre Bacri trouve là un de ses plus beaux rôles.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
Bonitzer multiplie les références littéraires et psychanalytiques, les variations sur le pouvoir et les doubles. Mais un élan inédit anime la mécanique savante : davantage de réalité et, néanmoins, d'idéalisme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Matthieu Bareyre
Bonitzer, choyant une équation narrative un peu molle, dissimule néanmoins sous le rire et une musique impeccable un gros attirail. La comédie aussi a ses tirs de barrage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacome
Comme souvent dans les films de Pascal Bonitzer, les personnages sont bavards et le fond, grave, n'empêche pas un ton ludique. D'où vient alors le sentiment que, cette fois-ci, la mécanique est légèrement grippée ? Peut-être d'une certaine lassitude de retrouver pour la énième fois ce milieu intellonanti plus à l'aise dans le discours que dans l'action.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Florence Colombani
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Une comédie inquiète autour du langage et de ses chausse-trappes. Plutôt mineur, et très relâché dans la forme, mais l'écriture est ciselée, et l'ensemble porté par un casting parfait.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Les situations drolatiques s'enchaînent mais le ton général est clairement à la mélancolie. Les personnages et les acteurs échangent leur fragilité pour révéler par instant une angoisse sans vertige, qui semble naître de l'expérience même d'une réalité qui se vide d'un coup du peu de substance qu'elle était capable de contenir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
Une fois de plus, le cinéma français nous propose une comédie dont le scénario, au lieu d'être bâti comme un solide mur, a tout du château de cartes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Vincent Thabourey
Vous aimez les comédies françaises confortables, parisiennes et gauchisantes? "Cherchez Horense" est le parfait prototype. (...) Écrit en période de sarcozysme triomphant, ce scénario égratigne les tracasseries administratives abusives sans trop de pugnacité.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télé 7 Jours
par Uriel Ceillier
On se délecte du jeu de Claude Rich en père vachard, et d'Isabelle Carré, exquise surprise.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Beaucoup de contrepieds, pas vraiment de vertige, beaucoup d'ironie mais pas franchement de surprise.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Pascal Bonitzer aime conduire de ronronnantes mécaniques de cinéma, belles de carrosserie (...) mais une fois accompli ce tour de manège, quel souvenir, quelle émotion en retient-on?
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
Le sixième film de Pascal Bonitzer (...) est son film le plus rond, le plus tenu, le plus riche sans doute aussi – au point qu'on hésite à dire que nous sommes parvenus à démêler tous les fils qui le tissent malgré deux visions.
20 Minutes
Bonitzer fait sortir ses tripes à son acteur qui n'avait pas été aussi bouleversant depuis son rôle d'amoureux éconduit dans "Le Goût des autres" (1999) d'Agnès Jaoui.
Elle
On rit de la confrontation père-fils dans un restaurant japonais. On hurle de rire au saut du lit (...) oui, un film jouissif !
L'Express
Un programme chargé, pourtant plein de légèreté, porté par un Jean-Pierre Bacri truculent de bougonnerie, émouvant et profond en cocu blessé ou en chevalier impuissant. Un festival à lui tout seul.
L'Humanité
Une mise en scène fluide permet à cette comédie de prendre son envol. Du monde tel qu'il va, y compris quand il ne va pas.
L'Obs
Jean-Pierre Bacri est proprement génial dans "Cherchez Hortense", et ses partenaires ne lui cèdent en rien, qu'ils se nomment Isabelle Carré (déjà en tandem avec l'acteur dans "les Sentiments" de Noémie Lvovsky), Claude Rich (le père distraitement indigne), Kristin Scott Thomas (la compagne évanescente) ou Jackie Berroyer (le vieux pote).
La Croix
Très bonne surprise de cette rentrée, le nouveau film de Pascal Bonitzer (...), coécrit avec Agnès de Sacy, réunit des qualités qui ont parfois tendance à se faire rares dans le cinéma français.
Le Monde
Cet ultime avatar, qui englobe les précédents, pose [Pascal Bonitzer] en auteur de comédies intellectuelles tortueuses, sortes de farces lacaniennes. (....) Le récit élargit par petites touches son évocation de la faillite névrotique de l'univers bourgeois.
Marianne
(...) "Cherchez Hortense", le nouveau film du brillant Pascal Bonitzer, dont le moindre défaut est sans doute de se savoir brillant.
Metro
Sous ses atours intello et bavard et malgré un sujet grave (les sans-papiers), cette comédie quasi Allenienne se révèle particulièrement ludique et charmante. Isabelle Carré, Jean-Pierre Bacri et le facétieux Claude Rich sont irréprochables.
Première
Sous des dehors intellos et bavards, "Cherchez Hortense" cache, comme ses personnages, un réjouissant jeu de piste.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Le scénario est une merveille, les dialogues sont épatants et la distribution, aux petits oignons. Entouré, entre autres, de Claude Rich, irrésistible en père indigne, d'Isabelle Carré, épatante en immigrée serbe, et de Jackie Berroyer, dostoïevskien en diable, Jean-Pierre Bacri trouve là un de ses plus beaux rôles.
Télérama
Bonitzer multiplie les références littéraires et psychanalytiques, les variations sur le pouvoir et les doubles. Mais un élan inédit anime la mécanique savante : davantage de réalité et, néanmoins, d'idéalisme.
Critikat.com
Bonitzer, choyant une équation narrative un peu molle, dissimule néanmoins sous le rire et une musique impeccable un gros attirail. La comédie aussi a ses tirs de barrage.
Le Journal du Dimanche
Comme souvent dans les films de Pascal Bonitzer, les personnages sont bavards et le fond, grave, n'empêche pas un ton ludique. D'où vient alors le sentiment que, cette fois-ci, la mécanique est légèrement grippée ? Peut-être d'une certaine lassitude de retrouver pour la énième fois ce milieu intellonanti plus à l'aise dans le discours que dans l'action.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Une comédie inquiète autour du langage et de ses chausse-trappes. Plutôt mineur, et très relâché dans la forme, mais l'écriture est ciselée, et l'ensemble porté par un casting parfait.
Libération
Les situations drolatiques s'enchaînent mais le ton général est clairement à la mélancolie. Les personnages et les acteurs échangent leur fragilité pour révéler par instant une angoisse sans vertige, qui semble naître de l'expérience même d'une réalité qui se vide d'un coup du peu de substance qu'elle était capable de contenir.
Paris Match
Une fois de plus, le cinéma français nous propose une comédie dont le scénario, au lieu d'être bâti comme un solide mur, a tout du château de cartes.
Positif
Vous aimez les comédies françaises confortables, parisiennes et gauchisantes? "Cherchez Horense" est le parfait prototype. (...) Écrit en période de sarcozysme triomphant, ce scénario égratigne les tracasseries administratives abusives sans trop de pugnacité.
Télé 7 Jours
On se délecte du jeu de Claude Rich en père vachard, et d'Isabelle Carré, exquise surprise.
Cahiers du Cinéma
Beaucoup de contrepieds, pas vraiment de vertige, beaucoup d'ironie mais pas franchement de surprise.
Le Parisien
Pascal Bonitzer aime conduire de ronronnantes mécaniques de cinéma, belles de carrosserie (...) mais une fois accompli ce tour de manège, quel souvenir, quelle émotion en retient-on?