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Teen-movie, récit initiatique, film d'anticipation : Kevin Macdonald brasse les genres, non sans quelques maladresses. Mais la grâce des comédies emporte tout.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) Kevin Macdonald joue adroitement sur deux tableaux, décrivant une campagne idyllique peu à peu souillée par la cruauté dans une atmosphère proche de "28 jours plus tard" et dressant le portrait sensible et sans pathos d'une jeunesse bafouée mais ne perdant jamais espoir.
Intelligent, mature, beau et cruel, le film confronte sans détour les plaisirs simples de la vie aux scènes effroyables de la guerre. Et au milieu de ce chaos coule une romance.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Beaucoup de thèmes passionnants ne sont que survolés et Kevin MacDonald a bien du mal à s’approprier l’histoire, restent quelques très très belles séquences.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Trop d’ambition sans doute pour sa mise en scène qui peine à gérer tant d’enjeux à la fois. En résulte un sentiment de surrégime, doublé d’un sérieux problème de rythme. Mais la jeune Saoirse Ronan parvient toutefois à tirer son épingle du jeu.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Kevin McDonald fait une incursion dans le cinéma apocalyptique. Pas franchement convaincante. Sa mise en scène ambiance "paradis perdu", contemplative, naturaliste et surtout très naïve, semble en contradiction avec le contexte de fond de conflit nucléaire.
(...) le mélange des genres dénature le portrait d'une adolescence peroxydée prise dans la tourmente d'une guerre mondiale fictive. (...) jamais on ne ressent la moindre inclinaison pour les héros (...). On ne retiendra que les paysages dont la bucolique mouillée donne envie de voyager hors de la salle de cinéma projetant le film.
On retombe vite dans un shaker à la Danny Boyle et à la morale franchement rebutante : la méchante blonde va enfin apprendre l’amour et le respect des autres. Ça valait bien une bonne guerre.
Assis sur une contradiction aussi énorme, "How I Live Now" trébuche sur ce problème d’échelle en pensant qu’il n’est pas anormal de faire fondre le monde entier dans un désastre nucléaire pour y forger la rédemption d’une seule adolescente, enfin débarrassée de ses manies de chipie. Une multitudes de vies sacrifiées pour une vie sauvée : l’équation semble tout de même outrageusement déséquilibrée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Kevin Macdonald, que l'on a connu plus rigoureux et plus inspiré, n'a pas les moyens de ses ambitions. Du coup, il contourne toutes les scènes à faire, compensant le spectaculaire par l'intimisme.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
La Croix
Le réalisateur signe une œuvre poignante et captivante.
Le Monde
Teen-movie, récit initiatique, film d'anticipation : Kevin Macdonald brasse les genres, non sans quelques maladresses. Mais la grâce des comédies emporte tout.
Mad Movies
(...) Kevin Macdonald joue adroitement sur deux tableaux, décrivant une campagne idyllique peu à peu souillée par la cruauté dans une atmosphère proche de "28 jours plus tard" et dressant le portrait sensible et sans pathos d'une jeunesse bafouée mais ne perdant jamais espoir.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
aVoir-aLire.com
Intelligent, mature, beau et cruel, le film confronte sans détour les plaisirs simples de la vie aux scènes effroyables de la guerre. Et au milieu de ce chaos coule une romance.
CinemaTeaser
Un film plus qu’honorable, aux intentions honnêtes et à l’exécution solide.
Ecran Large
Beaucoup de thèmes passionnants ne sont que survolés et Kevin MacDonald a bien du mal à s’approprier l’histoire, restent quelques très très belles séquences.
Franceinfo Culture
Réaliste et sans esbroufe, "How I Live Now" n’a rien d’une œuvre remarquable mais reste un film honnête à plus d’un titre.
Les Fiches du Cinéma
Si l'atmosphère apocalyptique est réussie, intrigante et haletante, le récit accorde une trop grande part à une histoire d'amour qui ne convainc pas.
Première
(...) le résultat est inférieur à la somme des parties, la succession de fulgurances ne produit pas l'impact attendu.
TéléCinéObs
Trop d’ambition sans doute pour sa mise en scène qui peine à gérer tant d’enjeux à la fois. En résulte un sentiment de surrégime, doublé d’un sérieux problème de rythme. Mais la jeune Saoirse Ronan parvient toutefois à tirer son épingle du jeu.
Le Figaroscope
Un scénario qui mêle maladroitement romance juvénile et apocalypse.
Le Journal du Dimanche
Kevin McDonald fait une incursion dans le cinéma apocalyptique. Pas franchement convaincante. Sa mise en scène ambiance "paradis perdu", contemplative, naturaliste et surtout très naïve, semble en contradiction avec le contexte de fond de conflit nucléaire.
Positif
(...) le mélange des genres dénature le portrait d'une adolescence peroxydée prise dans la tourmente d'une guerre mondiale fictive. (...) jamais on ne ressent la moindre inclinaison pour les héros (...). On ne retiendra que les paysages dont la bucolique mouillée donne envie de voyager hors de la salle de cinéma projetant le film.
Cahiers du Cinéma
On retombe vite dans un shaker à la Danny Boyle et à la morale franchement rebutante : la méchante blonde va enfin apprendre l’amour et le respect des autres. Ça valait bien une bonne guerre.
Critikat.com
Assis sur une contradiction aussi énorme, "How I Live Now" trébuche sur ce problème d’échelle en pensant qu’il n’est pas anormal de faire fondre le monde entier dans un désastre nucléaire pour y forger la rédemption d’une seule adolescente, enfin débarrassée de ses manies de chipie. Une multitudes de vies sacrifiées pour une vie sauvée : l’équation semble tout de même outrageusement déséquilibrée.
Les Inrockuptibles
Un Teen-movie futuriste qui recopie la recette d’Hunger Games : pâle et académique.
TF1 News
Kevin Macdonald, que l'on a connu plus rigoureux et plus inspiré, n'a pas les moyens de ses ambitions. Du coup, il contourne toutes les scènes à faire, compensant le spectaculaire par l'intimisme.
Télérama
Amour pubère et réalisme post-11 Septembre font mauvais ménage dans ce film étonnamment idiot de Kevin Macdonald ("Le Dernier Roi d'Ecosse").