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Une prestation si brillante et si émouvante qu'il ne serait pas surprenant de voir Naomi Watts parmi les nommées à l' Oscar (...) Ce "Diana" reste une belle déclaration d'amour à une femme comme on en fait trop peu.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
(…) ce biopic somptueux a de beaux atouts pour cerner le personnage de l’ancienne Princesse de Galles, réduite à l’essentiel, c’est-à-dire à une femme meurtrie, animée par la banalité des sentiments humains.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Grâce au casting et à la mise en scène inspirée d'Oliver Hirschbiegel, "Diana" ne tombe jamais trop du mauvais côté de la ligne du biopic romanesque mais parvient à distiller un étrange suspens qui tient le spectateur en haleine.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Ce biopic qui relève du téléfilm est interprété par Naomi Watts visiblement éclairée : mimiques, voix,..., le travail de ressemblance est époustouflant.
La critique complète est disponible sur le site Elle
S'éloignant du biopic classique, Hirschbiegel se concentre sur l'amour de Lady D. pour un chirurgien pakistanais. Un débit intriguant, mais qui s'essouffle un peu, malgré la prestation de Naomi Watts.
Un pur mélo dans la tradition du genre qui, malgré un excès de guimauve, met en lumière un visage méconnu de Diana, campée avec sensibilité et sans mimétisme par Naomi Watts.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Si on en veut au réalisateur d'avoir cédé à la mièvrerie dans les cinq dernières minutes, il aura néanmoins réussi à défendre sa thèse, qu'on la partage ou non : celle d'une femme harcelée jusqu'à l'épuisement.
Quand on pense à toutes les parts d’ombre de ce beau personnage de cinéma qu’aurait pu être "Diana", on est consterné par le portrait sans relief qu’on nous en livre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Illustration banale des deux dernières années de la vie de la princesse Diana, (...) le film montre une face plutôt lisse du personnage, occultant ses déraillements. Peu doué pour le romantisme, Hirschbiegel est plus à l’aise dans le spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Il faut reconnaître que c'est l'exceptionnelle interprétation, une fois de plus, de Naomi Watts qui maintient l'intérêt pour cette romance sans aspérité.
Si la performance de Naomi Watts ne souffre guère de critiques, tel n'est pas le cas du scénario, qui tient davantage de la romance de gare que d'une enquête pointue sur la personnalité de Diana.
"Diana" se présente à la fois comme le prequel et le contrechamp de The Queen. Sans tout ce qui fait le prix du film de Stephen Frears, c'est-à-dire la causticité et la distance british. Ici on est plutôt en mode Harlequin pour lectrices de Paris Match. (...) Un tunnel d'ennui.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
TF1 News
Une prestation si brillante et si émouvante qu'il ne serait pas surprenant de voir Naomi Watts parmi les nommées à l' Oscar (...) Ce "Diana" reste une belle déclaration d'amour à une femme comme on en fait trop peu.
aVoir-aLire.com
(…) ce biopic somptueux a de beaux atouts pour cerner le personnage de l’ancienne Princesse de Galles, réduite à l’essentiel, c’est-à-dire à une femme meurtrie, animée par la banalité des sentiments humains.
CinemaTeaser
Un portrait désacralisé, et parfaitement incarné par Naomi Watts, d'une amoureuse transie.
Ecran Large
Grâce au casting et à la mise en scène inspirée d'Oliver Hirschbiegel, "Diana" ne tombe jamais trop du mauvais côté de la ligne du biopic romanesque mais parvient à distiller un étrange suspens qui tient le spectateur en haleine.
Elle
Ce biopic qui relève du téléfilm est interprété par Naomi Watts visiblement éclairée : mimiques, voix,..., le travail de ressemblance est époustouflant.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Parisien
"Diana" n’est pas un biopic sur Diana Spencer (...)
Les Fiches du Cinéma
S'éloignant du biopic classique, Hirschbiegel se concentre sur l'amour de Lady D. pour un chirurgien pakistanais. Un débit intriguant, mais qui s'essouffle un peu, malgré la prestation de Naomi Watts.
Metro
Un pur mélo dans la tradition du genre qui, malgré un excès de guimauve, met en lumière un visage méconnu de Diana, campée avec sensibilité et sans mimétisme par Naomi Watts.
Première
Si on en veut au réalisateur d'avoir cédé à la mièvrerie dans les cinq dernières minutes, il aura néanmoins réussi à défendre sa thèse, qu'on la partage ou non : celle d'une femme harcelée jusqu'à l'épuisement.
Critikat.com
Quand on pense à toutes les parts d’ombre de ce beau personnage de cinéma qu’aurait pu être "Diana", on est consterné par le portrait sans relief qu’on nous en livre.
L'Humanité
Illustration banale des deux dernières années de la vie de la princesse Diana, (...) le film montre une face plutôt lisse du personnage, occultant ses déraillements. Peu doué pour le romantisme, Hirschbiegel est plus à l’aise dans le spectaculaire.
Positif
Il faut reconnaître que c'est l'exceptionnelle interprétation, une fois de plus, de Naomi Watts qui maintient l'intérêt pour cette romance sans aspérité.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
Si la performance de Naomi Watts ne souffre guère de critiques, tel n'est pas le cas du scénario, qui tient davantage de la romance de gare que d'une enquête pointue sur la personnalité de Diana.
TéléCinéObs
"Diana" se présente à la fois comme le prequel et le contrechamp de The Queen. Sans tout ce qui fait le prix du film de Stephen Frears, c'est-à-dire la causticité et la distance british. Ici on est plutôt en mode Harlequin pour lectrices de Paris Match. (...) Un tunnel d'ennui.
La Croix
(...) mélodrame sans relief (...) un scénario décevant.
Le Figaroscope
(...) le film d'Oliver Hirschbiegel déroule une "love story" bouffonne qui rabaisse le film au niveau d’un vulgaire soap opera. Quel gâchis !
Marianne
On aurait dû se méfier (...) "Diana", c'est la série Urgences à Buckingham, les éditions Harlequin à la cour d'Angleterre.
Télérama
Personnages, synopsis, tout est englué dans le sucre (...)