Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
De cet objet idiot s'écoule une sorte de poésie repoussante et naïve, burlesque et synthétique, vulgaire et bête, une sorte de poésie perdue, à ramasser, à rincer, impropre à la consommation, innommable en somme, mais qui exprime aussi la part poétique et misérable de notre époque.
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Avec "Springbreakers", Korine se branche à merveille, et avec intelligence, sur l'humeur et la folie absurde de notre société de consommation (...).
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Critikat.com
par Sophia Collet
N'aimant rien tant filmer que "l'ingrat" de ce bas monde, l'ex-kid qui a écumé les travées insanes de l'Amérique investit la culture pop des années 2000 pour livrer une bombe irradiant le sentiment d'une époque.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Clémentine Goldszal
La caméra trépidante [d'harmony Korine] plonge dans l'un des rites de passage de la culture américaine (...). [Un] film étrange qui passe constamment de l'anecdotique au sublime.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Monde
par Jean-François Rauger
On sent bien que la réalité intéresse moins Harmony Korine que sa représentation fantasmatique, son reflet forgé par la publicité et les clichés sans esprit des industries culturelles.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Korine filme cette débauche de formes et de couleurs avec une énergie folle, variant ses cadrages, balançant des décharges de montage en cut-up, bombardant les mots Spring Break comme un mantra. C'est du Godard boosté au Red Bull.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TF1 News
par Romain Le Vern
A l'arrivée (...), un conte moral séduisant en diable, envoûtant, atmosphérique, magnifiquement photographié. (...) Une expérience sensorielle vertigineuse.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
À la vacuité des images dominantes, "Spring Breakers" n'oppose aucun antidote : à l'inverse il empile ces images jusqu'à saturation, procédant par décoction pour faire remonter à la surface leur nihilisme radical et radicalement érotique. C'est très amusant à regarder, et en même temps très douloureux : l'exercice s'apparente, dans son principe, à une sorte de traitement Ludovico branché sur MTV.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Julien Welter
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Tout l'intérêt de cette tragicomédie kitsch réside dans sa stylisation hyperréaliste et plastique. Un polar pop art.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Olivier Séguret
"Spring Breakers" dessine un virage spectaculaire dans la carrière [d'Harmony Korine], et (...) son cinéma y gagne une sérénité et une amplitude (...) nouvelles. Fun, mais profond, léger mais quand même émouvant, plus sexy que sexuel, "Spring Breakers" exprime une beauté attirante et cruelle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Choc culturel, court-circuit esthétique, scandale au pays de Mickey, ce "Spring Breakers", cinquième film de Harmony Korine, est le doigt d'honneur pop de ce début d'année.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Eric Vernay
Le style, c'est la matière première du cinéma "ultrasensitif" d'Harmony Korine qui, par la grâce d'un montage musical hallucinogène, délivre un stupéfiant conte dark.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
(...) Le film, tour à tour édifiant et ricanant, dépasse sans cesse ses caricatures avec une fluidité impressionnante. Cela faisait un moment qu'on avait un peu perdu de vue le flamboyant réalisateur de "Gummo" (...). "Spring Breakers" consacre un retour au premier plan remarquable.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
[POUR] C'est à la fois sexy, fun et cauchemardesque. (...) Fascination et répulsion, pureté et vulgarité, saturation et vide, tout cohabite dans ce poème planant, très stylisé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Bravant le mauvais goût bécasse des tordues du bikini et des agités du caleçon, Harmony Korine prend les choses en main en désagrégeant son script de teen movie et en lui infligeant une réécriture radicale. (...) Devenant une séance de l'absurde, grotesque et diaboliquement fun, "Spring Breakers" assure ses arrières, refusant l'effet du pétard mouillé auquel certains l'ont un peu trop vite assimilé.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
En salle gosse du cinéma, le scénariste de "Kids" [Harmony Korine] continue de filmer la jeunesse en marge pour révéler la face cachée du rêve américain. Il faut regarder au-delà du thriller proche de l'expérience hallucinogène, aux couleurs saturées, volontairement voyeur et provoc avec ses jeunes héroïnes trop sexuelles dans leur mini-bikini.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Renaud Baronian
Ça n'est ni complètement trash, ni vraiment "film d'auteur", ni totalement sexy, tout juste aguichant. Restent la BO, phénoménale, les jeunes actrices, formidables, et le fabuleux James Franco, bluffant en dealeur gangsta-rap.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Thomas Mahler
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par François Barge-Prieur
Avec un regard à mi-chemin entre premier et second degré, Harmony Korine livre "Spring Breakers" : un film hypnotique, qui pourra sembler, selon l'humeur, tour à tour creux ou fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
(...) Il y a surtout dans ce petit polar ado déjanté un déferlement très répétitif d'effets visuels et de procédés esthétisants.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Adrien Gombeaud
Le chef op Benoît Debie compose des images attrayantes qui ressemblent à des bulles de chewing-gum, James Franco est rigolo [mais] le film s'écroule uniquement par la faute de Harmony Korine qui gâche la fête en se prenant trop au sérieux.
La critique complète est disponible sur le site Positif
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un long tunnel d'ennui au propos plus anodin et indécis que marquant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Patrick Antona
Pour ce qui est du soufre, c'est à un érotisme bien tiède auquel nous sommes conviés, avec une utilisation d'effets de mise en scène et de montage voulus choc mais qui sonnent bien toc.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Télérama
par Pierre Murat
[CONTRE] Harmony Korine n'a rien à dire et filme très mal. Sur l'écran (...) : un long clip chichiteux et répétitif. Extrêmement déplaisant, qui plus est : car le cinéaste semble regarder de haut les crétins qu'il filme. Et les rendre de plus en plus débiles pour les mépriser davantage. Ce moralisme rampant est navrant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
De cet objet idiot s'écoule une sorte de poésie repoussante et naïve, burlesque et synthétique, vulgaire et bête, une sorte de poésie perdue, à ramasser, à rincer, impropre à la consommation, innommable en somme, mais qui exprime aussi la part poétique et misérable de notre époque.
Charlie Hebdo
Avec "Springbreakers", Korine se branche à merveille, et avec intelligence, sur l'humeur et la folie absurde de notre société de consommation (...).
Critikat.com
N'aimant rien tant filmer que "l'ingrat" de ce bas monde, l'ex-kid qui a écumé les travées insanes de l'Amérique investit la culture pop des années 2000 pour livrer une bombe irradiant le sentiment d'une époque.
Elle
La caméra trépidante [d'harmony Korine] plonge dans l'un des rites de passage de la culture américaine (...). [Un] film étrange qui passe constamment de l'anecdotique au sublime.
Le Monde
On sent bien que la réalité intéresse moins Harmony Korine que sa représentation fantasmatique, son reflet forgé par la publicité et les clichés sans esprit des industries culturelles.
Les Inrockuptibles
Korine filme cette débauche de formes et de couleurs avec une énergie folle, variant ses cadrages, balançant des décharges de montage en cut-up, bombardant les mots Spring Break comme un mantra. C'est du Godard boosté au Red Bull.
TF1 News
A l'arrivée (...), un conte moral séduisant en diable, envoûtant, atmosphérique, magnifiquement photographié. (...) Une expérience sensorielle vertigineuse.
Chronic'art.com
À la vacuité des images dominantes, "Spring Breakers" n'oppose aucun antidote : à l'inverse il empile ces images jusqu'à saturation, procédant par décoction pour faire remonter à la surface leur nihilisme radical et radicalement érotique. C'est très amusant à regarder, et en même temps très douloureux : l'exercice s'apparente, dans son principe, à une sorte de traitement Ludovico branché sur MTV.
L'Express
Voir le site de L'Express.
L'Humanité
Tout l'intérêt de cette tragicomédie kitsch réside dans sa stylisation hyperréaliste et plastique. Un polar pop art.
Libération
"Spring Breakers" dessine un virage spectaculaire dans la carrière [d'Harmony Korine], et (...) son cinéma y gagne une sérénité et une amplitude (...) nouvelles. Fun, mais profond, léger mais quand même émouvant, plus sexy que sexuel, "Spring Breakers" exprime une beauté attirante et cruelle.
Paris Match
Choc culturel, court-circuit esthétique, scandale au pays de Mickey, ce "Spring Breakers", cinquième film de Harmony Korine, est le doigt d'honneur pop de ce début d'année.
Première
Le style, c'est la matière première du cinéma "ultrasensitif" d'Harmony Korine qui, par la grâce d'un montage musical hallucinogène, délivre un stupéfiant conte dark.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
(...) Le film, tour à tour édifiant et ricanant, dépasse sans cesse ses caricatures avec une fluidité impressionnante. Cela faisait un moment qu'on avait un peu perdu de vue le flamboyant réalisateur de "Gummo" (...). "Spring Breakers" consacre un retour au premier plan remarquable.
Télérama
[POUR] C'est à la fois sexy, fun et cauchemardesque. (...) Fascination et répulsion, pureté et vulgarité, saturation et vide, tout cohabite dans ce poème planant, très stylisé.
aVoir-aLire.com
Bravant le mauvais goût bécasse des tordues du bikini et des agités du caleçon, Harmony Korine prend les choses en main en désagrégeant son script de teen movie et en lui infligeant une réécriture radicale. (...) Devenant une séance de l'absurde, grotesque et diaboliquement fun, "Spring Breakers" assure ses arrières, refusant l'effet du pétard mouillé auquel certains l'ont un peu trop vite assimilé.
Le Journal du Dimanche
En salle gosse du cinéma, le scénariste de "Kids" [Harmony Korine] continue de filmer la jeunesse en marge pour révéler la face cachée du rêve américain. Il faut regarder au-delà du thriller proche de l'expérience hallucinogène, aux couleurs saturées, volontairement voyeur et provoc avec ses jeunes héroïnes trop sexuelles dans leur mini-bikini.
Le Parisien
Ça n'est ni complètement trash, ni vraiment "film d'auteur", ni totalement sexy, tout juste aguichant. Restent la BO, phénoménale, les jeunes actrices, formidables, et le fabuleux James Franco, bluffant en dealeur gangsta-rap.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Avec un regard à mi-chemin entre premier et second degré, Harmony Korine livre "Spring Breakers" : un film hypnotique, qui pourra sembler, selon l'humeur, tour à tour creux ou fascinant.
Ouest France
(...) Il y a surtout dans ce petit polar ado déjanté un déferlement très répétitif d'effets visuels et de procédés esthétisants.
Positif
Le chef op Benoît Debie compose des images attrayantes qui ressemblent à des bulles de chewing-gum, James Franco est rigolo [mais] le film s'écroule uniquement par la faute de Harmony Korine qui gâche la fête en se prenant trop au sérieux.
CinemaTeaser
Un long tunnel d'ennui au propos plus anodin et indécis que marquant.
Ecran Large
Pour ce qui est du soufre, c'est à un érotisme bien tiède auquel nous sommes conviés, avec une utilisation d'effets de mise en scène et de montage voulus choc mais qui sonnent bien toc.
Télérama
[CONTRE] Harmony Korine n'a rien à dire et filme très mal. Sur l'écran (...) : un long clip chichiteux et répétitif. Extrêmement déplaisant, qui plus est : car le cinéaste semble regarder de haut les crétins qu'il filme. Et les rendre de plus en plus débiles pour les mépriser davantage. Ce moralisme rampant est navrant.