Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) une réussite brillante, nostalgique et profondément jouissive.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un grand film hanté, à la richesse insondable.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
CNews
par La Rédaction
Avoir attendu deux décennies pour relancer la machine se révèle être une bonne idée pour le réalisateur Danny Boyle et son scénariste John Hodge. Le long-métrage est ainsi constitué d’un savant mélange de clins d’oeil à l’original, à un constat cinglant sur l’époque et ses problématiques telles que la télé-réalité, la précarité, les réseaux sociaux…
L'Express
par Eric Libiot
Les grincheux crieront au manque de surprise et d'intérêt. Eh bien non, revoir ce quatuor fait plaisir et c'est sûrement ce plaisir qui anime Boyle, qui jamais ne se prend au sérieux quand tant d'autres moulinent pour construire une oeuvre.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Avec ce numéro 2 d’un film générationnel culte, Danny Boyle réussit son “Vingt ans après” : entre amitié et rivalité, plaisir et désenchantement, regrets et mélancolie, le constat lucide et cruel que le temps passe…
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Cela marche toujours. Il règne un humour débridé, une violence à la Tarantino première manière, un mélange de cynisme et de nostalgie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Renaud Baronian
Beaucoup moins excité que le volet originel, ce «T2 Trainspotting» ne manque pas de charme, celui de la nostalgie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Les enfants terribles de l’Édimbourg des années 1990 ont pris vingt ans, mais la maturité leur manque toujours. Voilà le constat doux)amer que dresse cette suite, qui canalise l’énergie de “Trainspotting” sans en retrouver la veine incisive.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Frédéric Foubert
"T2 Trainspotting" est donc ce commentaire joyeusement ironique, mais jamais cynique, sur une pop culture en train de se mordre la queue, en boucle perpétuelle sur elle-même, et orchestre dans ces dernières minutes une jolie pirouette méta où vingt années d’obsession culturelle pour "Trainspotting" semblent se dissoudre dans les limbes du temps.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Bonne nouvelle, la bande défonce de Glasgow se retrouve dans la poudre, le sexe et les mauvais coups. Choose life !
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Des retrouvailles réussies et nostalgiques avec les junkies du cultissime "Trainspotting".
Sud Ouest
par Sophie Avon
Trépidant et mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Filmsactu
par La Rédaction
Malgré la virtuosité de la réalisation de Danny Boyle, T2 mouline dans le vide et finalement ne raconte pas grand-chose. Cette suite n'est pas un mauvais film mais elle souffre de l'aura de son prédécesseur et peinera certainement à intéresser les nouvelles générations.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La teneur de ces retrouvailles est un peu ténue pour alimenter les près de deux heures du film. La salvation vient de l’approfondissement du personnage de Spud, déjà le plus attachant du premier opus.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le film ? C’est comme voir un quinquagénaire remonter sur le skateboard de son adolescence : la direction est incertaine, les articulations sont usées, mais à l’exploit du défi relevé s’ajoute une émouvante nostalgie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Réminiscences du précédent aidant, T2 se teinte d’une profonde mélancolie, lui conférant, par instants, une poignante beauté.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La nostalgie succède à l’agressivité, au moyen de flash-backs, tout en maintenant une mise en scène nerveuse et des dialogues lucides.
Ouest France
par Frédéric Foubert
Cet épisode a le goût de retrouvailles mélancoliques avec des vieux copains. Mais l'énergie féroce et survitaminée des éternels garnements empêche le film de virer au cauchemar.
Paris Match
par Yannick Vely
(...) soyons honnêtes, si l’on éprouve un vrai plaisir à croquer dans cette Madeleine de Proust sous ecstasy, difficile de faire tenir tout un film sur un seul sentiment (...).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Rythmées par une bande originale formidable, les mésaventures tragicomiques de ces quatre pieds nickelés devenus quadras s'avèrent tout aussi jubilatoires que leurs premiers exploits.
Voici
par Lola Sciamma
Cette suite donne l'impression à la fois réjouissante et désespérante de retrouver de vieux amis qui ne changeront jamais.
aVoir-aLire.com
par Hugo Maurier
Si elle reste dans l’ombre de son prédécesseur, la suite de Trainspotting n’en reste pas moins (im)pertinente.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
VSD
par Bernard Achour
Moderne hier, vieillot aujourd’hui.
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Boyle déploie comme à son habitude une gamme éprouvante de mouvements saccadés et d’inserts tape-à-l’œil, et un montage frénétique, qui ne masquent même plus la vacuité branchouille de son cinéma.
Le Monde
par Isabelle Regnier
En supprimant les substances chimiques, le réalisateur prive cette suite de la dimension pop que pouvait avoir l’original. Ne reste plus comme gimmick que les plans complaisants sur les latrines souillées et les sacs à vomi bien remplis. Une image assez juste, somme toute, du climat moral dans lequel baigne le film.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
L'impression finale, comme souvent chez Danny Boyle, est celle d'une carrosserie rutilante ultra "tunée" avec pas grand-chose sous le capot.
Libération
par Olivier Lamm
Strictement débarrassé de ses chairs politique et sociologique, vraisemblablement trop angoissé de froisser les vieux fans pour raconter quelque chose de nouveau, "T2" n’a alors plus d’autre choix que de traiter le "Trainspotting" original comme un canon sacré que les protagonistes (...) sont condamnés à trahir, ensuite répéter (...), finalement commémorer (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jérémie Couston
Hélas, Danny Boyle semble s'être arrêté au premier chapitre et met son sempiternel mauvais goût (...) au service de ces retrouvailles entre potes de défonce lancés dans une improbable histoire de détournements de fonds de l'Union européenne, cruellement périmée à l'heure du Brexit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
(...) une réussite brillante, nostalgique et profondément jouissive.
CinemaTeaser
Un grand film hanté, à la richesse insondable.
CNews
Avoir attendu deux décennies pour relancer la machine se révèle être une bonne idée pour le réalisateur Danny Boyle et son scénariste John Hodge. Le long-métrage est ainsi constitué d’un savant mélange de clins d’oeil à l’original, à un constat cinglant sur l’époque et ses problématiques telles que la télé-réalité, la précarité, les réseaux sociaux…
L'Express
Les grincheux crieront au manque de surprise et d'intérêt. Eh bien non, revoir ce quatuor fait plaisir et c'est sûrement ce plaisir qui anime Boyle, qui jamais ne se prend au sérieux quand tant d'autres moulinent pour construire une oeuvre.
Le Dauphiné Libéré
Avec ce numéro 2 d’un film générationnel culte, Danny Boyle réussit son “Vingt ans après” : entre amitié et rivalité, plaisir et désenchantement, regrets et mélancolie, le constat lucide et cruel que le temps passe…
Le Figaro
Cela marche toujours. Il règne un humour débridé, une violence à la Tarantino première manière, un mélange de cynisme et de nostalgie.
Le Parisien
Beaucoup moins excité que le volet originel, ce «T2 Trainspotting» ne manque pas de charme, celui de la nostalgie.
Les Fiches du Cinéma
Les enfants terribles de l’Édimbourg des années 1990 ont pris vingt ans, mais la maturité leur manque toujours. Voilà le constat doux)amer que dresse cette suite, qui canalise l’énergie de “Trainspotting” sans en retrouver la veine incisive.
Première
"T2 Trainspotting" est donc ce commentaire joyeusement ironique, mais jamais cynique, sur une pop culture en train de se mordre la queue, en boucle perpétuelle sur elle-même, et orchestre dans ces dernières minutes une jolie pirouette méta où vingt années d’obsession culturelle pour "Trainspotting" semblent se dissoudre dans les limbes du temps.
Rolling Stone
Bonne nouvelle, la bande défonce de Glasgow se retrouve dans la poudre, le sexe et les mauvais coups. Choose life !
Studio Ciné Live
Des retrouvailles réussies et nostalgiques avec les junkies du cultissime "Trainspotting".
Sud Ouest
Trépidant et mélancolique.
Filmsactu
Malgré la virtuosité de la réalisation de Danny Boyle, T2 mouline dans le vide et finalement ne raconte pas grand-chose. Cette suite n'est pas un mauvais film mais elle souffre de l'aura de son prédécesseur et peinera certainement à intéresser les nouvelles générations.
Franceinfo Culture
La teneur de ces retrouvailles est un peu ténue pour alimenter les près de deux heures du film. La salvation vient de l’approfondissement du personnage de Spud, déjà le plus attachant du premier opus.
L'Obs
Le film ? C’est comme voir un quinquagénaire remonter sur le skateboard de son adolescence : la direction est incertaine, les articulations sont usées, mais à l’exploit du défi relevé s’ajoute une émouvante nostalgie.
La Voix du Nord
Réminiscences du précédent aidant, T2 se teinte d’une profonde mélancolie, lui conférant, par instants, une poignante beauté.
Le Journal du Dimanche
La nostalgie succède à l’agressivité, au moyen de flash-backs, tout en maintenant une mise en scène nerveuse et des dialogues lucides.
Ouest France
Cet épisode a le goût de retrouvailles mélancoliques avec des vieux copains. Mais l'énergie féroce et survitaminée des éternels garnements empêche le film de virer au cauchemar.
Paris Match
(...) soyons honnêtes, si l’on éprouve un vrai plaisir à croquer dans cette Madeleine de Proust sous ecstasy, difficile de faire tenir tout un film sur un seul sentiment (...).
Télé 7 Jours
Rythmées par une bande originale formidable, les mésaventures tragicomiques de ces quatre pieds nickelés devenus quadras s'avèrent tout aussi jubilatoires que leurs premiers exploits.
Voici
Cette suite donne l'impression à la fois réjouissante et désespérante de retrouver de vieux amis qui ne changeront jamais.
aVoir-aLire.com
Si elle reste dans l’ombre de son prédécesseur, la suite de Trainspotting n’en reste pas moins (im)pertinente.
VSD
Moderne hier, vieillot aujourd’hui.
La Septième Obsession
Boyle déploie comme à son habitude une gamme éprouvante de mouvements saccadés et d’inserts tape-à-l’œil, et un montage frénétique, qui ne masquent même plus la vacuité branchouille de son cinéma.
Le Monde
En supprimant les substances chimiques, le réalisateur prive cette suite de la dimension pop que pouvait avoir l’original. Ne reste plus comme gimmick que les plans complaisants sur les latrines souillées et les sacs à vomi bien remplis. Une image assez juste, somme toute, du climat moral dans lequel baigne le film.
Les Inrockuptibles
L'impression finale, comme souvent chez Danny Boyle, est celle d'une carrosserie rutilante ultra "tunée" avec pas grand-chose sous le capot.
Libération
Strictement débarrassé de ses chairs politique et sociologique, vraisemblablement trop angoissé de froisser les vieux fans pour raconter quelque chose de nouveau, "T2" n’a alors plus d’autre choix que de traiter le "Trainspotting" original comme un canon sacré que les protagonistes (...) sont condamnés à trahir, ensuite répéter (...), finalement commémorer (...).
Télérama
Hélas, Danny Boyle semble s'être arrêté au premier chapitre et met son sempiternel mauvais goût (...) au service de ces retrouvailles entre potes de défonce lancés dans une improbable histoire de détournements de fonds de l'Union européenne, cruellement périmée à l'heure du Brexit.