Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Un sujet cocasse, une mise en scène subtile (...)
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Humanité
par Jean Roy
La surprise [du début] passée, nous voici obligés de penser à Abbas Kiarostami. Chez qui donc avons-nous jamais vu une telle sûreté de la caméra pour suivre une conversation dans des voitures en marche perdues dans de vastes paysages ?
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
"Querelles" est une oeuvre magnifique et bouleversante sur le dit et le non-dit, le formulable et l'informulable.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Isabelle Regnier
(...) une splendide peinture de l'Iran, pays qui se profile à travers des paysages d'un vert doux et lumineux. Plus que tout, ces interminables nappes d'herbes folles donnent envie de voir en elles la promesse d'un nouveau printemps.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Benjamin Untereiner
Aussi formaliste que Kiarostami, dont il a été l'élève, Morteza Farshbaf n'oublie cependant pas de créer des personnages, complexes et attachants, et de développer chaque situation.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par La Rédaction
Drôle, fragile et emblématique d'une société où il est peut être finalement confortable de ne rien entendre et de ne pas pouvoir parler.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Ce film, à la remarquable beauté plastique, fait songer à Abbas Kiarostami ("Le Goût de la cerise") mais aussi à Asghar Farhadi ("A propos d'Elly") pour la façon subtile dont il traite la lâcheté des grands et leurs faux-semblants (...).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Express
par Christophe Carrière
Le principe frise un maniérisme opposé à la rigueur d'Asghar Farhadi ("Une séparation"), référence évidente des nouveaux cinéastes iraniens. Dont ce Morteza Farshbaf qui ne manque toutefois pas de brio.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
S'il peine à tenir la distance et finit curieusement par paraître bavard, "Querelles", dans ce qu'il a de meilleur, évoque les premiers films d'Abbas Kiarostami, (...) et confirme l'existence d'une relève générationnelle dans un cinéma iranien dont la richesse ne se dément pas.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir sur le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Samuel Douhaire
Pour son premier film, le disciple a bien retenu les leçons [d'Abbas Kiarostami] : acteurs non professionnels (très bons), scènes à bord d'une voiture, rôle central tenu par un enfant... C'est plutôt bien imité, parfois au bord du plagiat. (...) Belle tentative de suspense psychologique qui, sur la durée, tourne un peu en rond.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Ce qui aurait pu être passionnant, le temps réel du film est celui d'une temporisation, se trouve asséché par la toute-puissance de visées trop abstraites pour suggérer un peu d'urgence, de malaise brûlant, de tristesse démunie.
Critikat.com
par Carole Millerili
Sur le sujet de l'incommunicabilité et du deuil, "Querelles" possède une originalité certaine en termes de mise en scène, mais cette histoire touchante demeure bien fragile dans sa capacité à exister sur la durée d'un long-métrage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaroscope
par Emmanuelle Frois
Morteza Farshbaf n'est hélas ni Abbas Kiarostami ni Asghar Farhadi. Les paysages défilent mais le voyage est très, très long!
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Première
par Bernard Achour
Presque caricatural à force de tics formels et de langueur narrative (...). Cohérent, certes, mais exténuant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Excessif
par Romain Le Vern
La dimension émotionnelle est rapidement plombée par les volutes esthétisantes (...). Morteza Farshbaf file sans légèreté une métaphore sur l'incommunicabilité et n'affirme pas encore d'identité propre.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
Le couple moteur de ce road-movie est sourd-muet. (...) Cette caractéristique des personnages, alimentant un discours maladroit sur l'incommunicabilité, est surtout une gageure formelle, propice à des effets de mise en scène souvent gratuits. (...) Quand le film se tourne enfin vers son véritable sujet, (...) c'est pour en tirer un suspense d'assez mauvais goût.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
Un sujet cocasse, une mise en scène subtile (...)
L'Humanité
La surprise [du début] passée, nous voici obligés de penser à Abbas Kiarostami. Chez qui donc avons-nous jamais vu une telle sûreté de la caméra pour suivre une conversation dans des voitures en marche perdues dans de vastes paysages ?
La Croix
"Querelles" est une oeuvre magnifique et bouleversante sur le dit et le non-dit, le formulable et l'informulable.
Le Monde
(...) une splendide peinture de l'Iran, pays qui se profile à travers des paysages d'un vert doux et lumineux. Plus que tout, ces interminables nappes d'herbes folles donnent envie de voir en elles la promesse d'un nouveau printemps.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Aussi formaliste que Kiarostami, dont il a été l'élève, Morteza Farshbaf n'oublie cependant pas de créer des personnages, complexes et attachants, et de développer chaque situation.
Libération
Drôle, fragile et emblématique d'une société où il est peut être finalement confortable de ne rien entendre et de ne pas pouvoir parler.
TéléCinéObs
Ce film, à la remarquable beauté plastique, fait songer à Abbas Kiarostami ("Le Goût de la cerise") mais aussi à Asghar Farhadi ("A propos d'Elly") pour la façon subtile dont il traite la lâcheté des grands et leurs faux-semblants (...).
L'Express
Le principe frise un maniérisme opposé à la rigueur d'Asghar Farhadi ("Une séparation"), référence évidente des nouveaux cinéastes iraniens. Dont ce Morteza Farshbaf qui ne manque toutefois pas de brio.
Positif
S'il peine à tenir la distance et finit curieusement par paraître bavard, "Querelles", dans ce qu'il a de meilleur, évoque les premiers films d'Abbas Kiarostami, (...) et confirme l'existence d'une relève générationnelle dans un cinéma iranien dont la richesse ne se dément pas.
Studio Ciné Live
Voir sur le site Studio Ciné Live.
Télérama
Pour son premier film, le disciple a bien retenu les leçons [d'Abbas Kiarostami] : acteurs non professionnels (très bons), scènes à bord d'une voiture, rôle central tenu par un enfant... C'est plutôt bien imité, parfois au bord du plagiat. (...) Belle tentative de suspense psychologique qui, sur la durée, tourne un peu en rond.
Cahiers du Cinéma
Ce qui aurait pu être passionnant, le temps réel du film est celui d'une temporisation, se trouve asséché par la toute-puissance de visées trop abstraites pour suggérer un peu d'urgence, de malaise brûlant, de tristesse démunie.
Critikat.com
Sur le sujet de l'incommunicabilité et du deuil, "Querelles" possède une originalité certaine en termes de mise en scène, mais cette histoire touchante demeure bien fragile dans sa capacité à exister sur la durée d'un long-métrage.
Le Figaroscope
Morteza Farshbaf n'est hélas ni Abbas Kiarostami ni Asghar Farhadi. Les paysages défilent mais le voyage est très, très long!
Première
Presque caricatural à force de tics formels et de langueur narrative (...). Cohérent, certes, mais exténuant.
Excessif
La dimension émotionnelle est rapidement plombée par les volutes esthétisantes (...). Morteza Farshbaf file sans légèreté une métaphore sur l'incommunicabilité et n'affirme pas encore d'identité propre.
Les Inrockuptibles
Le couple moteur de ce road-movie est sourd-muet. (...) Cette caractéristique des personnages, alimentant un discours maladroit sur l'incommunicabilité, est surtout une gageure formelle, propice à des effets de mise en scène souvent gratuits. (...) Quand le film se tourne enfin vers son véritable sujet, (...) c'est pour en tirer un suspense d'assez mauvais goût.