Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
"Night moves" est avant tout un grand film sur la nuit – ou disons : un grand film dans la nuit – et il hérite en cela d'une tradition de films qui ont, dès l'aube du cinéma, cherché à fixer le sentiment de la nuit, à épuiser la nuit non plus comme une portion de temps mais comme une portion d'espace.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le cinéaste américain signe un thriller magique (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
aVoir-aLire.com
par Adrien Lozachmeur
"Night moves" s’impose ainsi comme un grand film poétique, éthique et existentiel.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
Une version décalée du film à suspense [...] où l’angoisse sourd d’une savante alchimie de sons, de couleurs et de durées.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
par Alain Grasset
Filmé dans une nature sauvage sublime et avec une certaine lenteur, ce « thriller » nous dépeint avec minutie et sobriété la façon dont on peut basculer -- ou pas -- dans l'activisme écologique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Des militants écolos à l’assaut d’un barrage. Le film noir de la brillante réalisatrice d’”Old Joy” et “Wendy et Lucy”...
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Olivier de Bruyn
La cinéaste signe son film le plus abouti à ce jour (...) et le plus classique. Un film de genre trouble et intériorisé (...).
Transfuge
par Damien Aubel
Un film en forme de splendide requiem. (...) Ce thriller écolo n'a rien de vert, il baigne dans le soleil noir, mélancolique, de la solitude. Maîtrisé, avec ses plans au cordeau, ciselés, nerveux, sa précision géométrique ouatée par des nocturnes atmosphériques.
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Le thriller, grand prix au dernier Festival de Deauville, pose la question suivante : la foi en une cause légitime-t-elle la violence ? Et culmine, après un pic de tension, avec la rumeur d’une explosion soufflante. La deuxième partie (les états d’âme du trio en pleine paranoïa) laisse plus froid.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
On retrouve, dans la manière sensible de filmer les arbres, les lacs, les sentiers à travers les forêts, l'attachement profond de Kelly Reichardt pour cette région de l'Oregon qu'elle connaît bien. Après "Old Joy" et "La Dernière Piste", elle confirme qu'elle est une des paysagistes les plus inspirées du moment, qui ne cesse de revenir à la source du mythe américain, de son lien étroit avec les grands espaces.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Le cœur du film bute sur sa propre dimension politique, assez mal interrogée.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
De film en film, Kelly Reichardt a défini un style bien à elle, tout en retenue et contemplatif. Des qualificatifs que l’on retrouve dans "Night Moves", étrange film désenchanté
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Cet honnête thriller qui s’affranchit des règles du genre préfère rester au plus près de ses personnages plutôt que de tourner sa caméra vers une scène spectaculaire. Il dresse un tableau assez fin de l’évolution psychologique de chacun.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Grégory Auzou
Thriller contemplatif et paranoïaque, “Night Moves”, après une entame aussi mystérieuse qu'intrigante, finit néanmoins par naviguer à vue et se perdre dans le brouillard.
Libération
par Bruno Icher
Film après film, le cinéma de Kelly Reichardt semble ainsi se durcir, dominé par l’amertume, l’impuissance et la conviction que tout est foutu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
La première partie est assurément la plus réussie, quand elle ne force pas le trait et suit la préparation de l’acte criminel avec simplicité et non-dit, plaçant le mystère et le suspense dans le regard fuyant de son acteur principal. Le troisième acte est plus brutal.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frédéric Foubert
[...] la réalisatrice parvient à créer un suspense entêtant à partir d'une matière narrative opaque et filandreuse. Hélas, le film perd de son pouvoir de fascination - et de sa pertinence politique - dans une deuxième partie plus psychologisante et maladroite [...].
Metro
par Mehdi Omaïs
Partant d’une idée de départ bateau mais non moins intéressante, la réalisatrice effectue un plantage dans les règles et à tous les niveaux.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Chronic'art.com
"Night moves" est avant tout un grand film sur la nuit – ou disons : un grand film dans la nuit – et il hérite en cela d'une tradition de films qui ont, dès l'aube du cinéma, cherché à fixer le sentiment de la nuit, à épuiser la nuit non plus comme une portion de temps mais comme une portion d'espace.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Monde
Le cinéaste américain signe un thriller magique (...).
aVoir-aLire.com
"Night moves" s’impose ainsi comme un grand film poétique, éthique et existentiel.
Critikat.com
Une version décalée du film à suspense [...] où l’angoisse sourd d’une savante alchimie de sons, de couleurs et de durées.
Le Parisien
Filmé dans une nature sauvage sublime et avec une certaine lenteur, ce « thriller » nous dépeint avec minutie et sobriété la façon dont on peut basculer -- ou pas -- dans l'activisme écologique.
Les Inrockuptibles
Des militants écolos à l’assaut d’un barrage. Le film noir de la brillante réalisatrice d’”Old Joy” et “Wendy et Lucy”...
Positif
La cinéaste signe son film le plus abouti à ce jour (...) et le plus classique. Un film de genre trouble et intériorisé (...).
Transfuge
Un film en forme de splendide requiem. (...) Ce thriller écolo n'a rien de vert, il baigne dans le soleil noir, mélancolique, de la solitude. Maîtrisé, avec ses plans au cordeau, ciselés, nerveux, sa précision géométrique ouatée par des nocturnes atmosphériques.
TéléCinéObs
Le thriller, grand prix au dernier Festival de Deauville, pose la question suivante : la foi en une cause légitime-t-elle la violence ? Et culmine, après un pic de tension, avec la rumeur d’une explosion soufflante. La deuxième partie (les états d’âme du trio en pleine paranoïa) laisse plus froid.
Télérama
On retrouve, dans la manière sensible de filmer les arbres, les lacs, les sentiers à travers les forêts, l'attachement profond de Kelly Reichardt pour cette région de l'Oregon qu'elle connaît bien. Après "Old Joy" et "La Dernière Piste", elle confirme qu'elle est une des paysagistes les plus inspirées du moment, qui ne cesse de revenir à la source du mythe américain, de son lien étroit avec les grands espaces.
Cahiers du Cinéma
Le cœur du film bute sur sa propre dimension politique, assez mal interrogée.
Franceinfo Culture
De film en film, Kelly Reichardt a défini un style bien à elle, tout en retenue et contemplatif. Des qualificatifs que l’on retrouve dans "Night Moves", étrange film désenchanté
La Croix
Cet honnête thriller qui s’affranchit des règles du genre préfère rester au plus près de ses personnages plutôt que de tourner sa caméra vers une scène spectaculaire. Il dresse un tableau assez fin de l’évolution psychologique de chacun.
Les Fiches du Cinéma
Thriller contemplatif et paranoïaque, “Night Moves”, après une entame aussi mystérieuse qu'intrigante, finit néanmoins par naviguer à vue et se perdre dans le brouillard.
Libération
Film après film, le cinéma de Kelly Reichardt semble ainsi se durcir, dominé par l’amertume, l’impuissance et la conviction que tout est foutu.
Paris Match
La première partie est assurément la plus réussie, quand elle ne force pas le trait et suit la préparation de l’acte criminel avec simplicité et non-dit, plaçant le mystère et le suspense dans le regard fuyant de son acteur principal. Le troisième acte est plus brutal.
Première
[...] la réalisatrice parvient à créer un suspense entêtant à partir d'une matière narrative opaque et filandreuse. Hélas, le film perd de son pouvoir de fascination - et de sa pertinence politique - dans une deuxième partie plus psychologisante et maladroite [...].
Metro
Partant d’une idée de départ bateau mais non moins intéressante, la réalisatrice effectue un plantage dans les règles et à tous les niveaux.