Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Le Parisien
par Hubert Lizé
« Les Brasiers de la colère » rappelle par son atmosphère âpre et ses personnages authentiquement américains, le fantastique « Voyage au bout de l’enfer » de Michael Cimino. Il fait aussi penser aux chansons de Bruce Springsteen vantant le courage ordinaire de la classe ouvrière.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Caroline Vié
Christian Bale parviendra-t-il à tirer d’affaire son frère cadet (Casey Affleck), vétéran de l’armée entraîné dans des matches de boxe clandestins ? Tel est l’enjeu des Brasiers de la colère, suspense dopé à l’adrénaline de Scott Cooper.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Scott Cooper offre à un Christian Bale exceptionnel son rôle le plus poignant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Télérama
par Pierre Murat
Scott Cooper (réalisateur du très fêté "Crazy Heart") filme l'Amérique des pauvres, brisée par la mondialisation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Simon Riaux
Bancal et écrasé par ses aînés, le film manque justement de colère, quand sa confection demeure plaisante.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Même dans un film bien fait mais sans génie (...) Bale crève l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Cette chronique de l'Amérique profonde met à nu des personnages qui se débattent contre l'adversité et la fatalité. Sa vision, réaliste, crue, impitoyable, permet à ses comédiens, formidables gueules cassées, de changer de registre.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Noémie Luciani
Assez manichéen d'abord dans son portrait de Russel, le juste au milieu de la tourmente, le film prend un virage cynique trop prévisible pour être déconcertant, mais dont l'absolue noirceur interpelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Sébastien Dalloni
Scott Cooper parvient à trouver parfois l'équilibre entre pamphlet social et critique acerbe des fondations de la société américaine. Sa vision reste cependant ambiguë.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Bruno Icher
Pour le reste, le film n’a rien de ridicule, mais déroule sa partition comme un exercice de style vaguement mécanique où il s’agit d’appuyer à intervalles réguliers sur le bouton «émotion» pour faire tenir l’ensemble debout.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Mehdi Omaïs
Si le propos est parfois trop appuyé et attendu, il émane de l'ensemble une force et une honnêteté indéniables.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Fabien Baumann
C'est du cinéma américain social, "concerné", plutôt bien ouvragé. (...) Christian Bale aura fait sa tête habituelle, qu'il incarne un trader psychopathe, un superhéros en armure, un ouvrier fatigué : triste et tendue.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Un film profondément académique, habilement recouvert par les signes obligés du temps et un froncement de sourcils permanent. Le récit suit exactement la même pente dépressive voire tragique, et le scénario veut tout épingler [...].
L'Express
par Christophe Carrière
Son propos (au réalisateur) socio-mélo-pathos n'a rien d'original et son ambition vire très vite à la prétention. Heureusement pour lui, un casting gratiné 4 étoiles l'a suivi dans ce pensum tout creux. Christian Bale est excellent, Woody Harrelson file les jetons...
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Que choisir entre la justice légale et l’autodéfense ? A cette question, qui n’en finit plus d’obséder le cinéma américain, Scott Cooper préfère ne surtout pas répondre, entretenant une fausse confusion morale qui lui permet d’exploiter les conventions du vigilante movie jusqu’à un finale ultracomplaisant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TF1 News
par Romain Le Vern
Les interprètes sont tous impeccables. Mais si le film est correctement exécuté, il n'a rien d'inédit à nous offrir.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Critikat.com
par Josué Morel
(...) Ce poussif processus de métamorphose ne produit guère autre chose qu’un chef-d’œuvre en carton, pensum amidonné long de deux heures.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Franchement, on peine à déterminer ce qui escagasse le plus ici, de l’autosatisfaction qui transpire à plein nez (...), ou des relents de mépris social qu’exhale cette entreprise d’imitation de la pauvreté à la fois édulcorante, pompière et carnavalesque.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Parisien
« Les Brasiers de la colère » rappelle par son atmosphère âpre et ses personnages authentiquement américains, le fantastique « Voyage au bout de l’enfer » de Michael Cimino. Il fait aussi penser aux chansons de Bruce Springsteen vantant le courage ordinaire de la classe ouvrière.
20 Minutes
Christian Bale parviendra-t-il à tirer d’affaire son frère cadet (Casey Affleck), vétéran de l’armée entraîné dans des matches de boxe clandestins ? Tel est l’enjeu des Brasiers de la colère, suspense dopé à l’adrénaline de Scott Cooper.
CinemaTeaser
Scott Cooper offre à un Christian Bale exceptionnel son rôle le plus poignant.
Télérama
Scott Cooper (réalisateur du très fêté "Crazy Heart") filme l'Amérique des pauvres, brisée par la mondialisation.
Ecran Large
Bancal et écrasé par ses aînés, le film manque justement de colère, quand sa confection demeure plaisante.
Le Figaroscope
Même dans un film bien fait mais sans génie (...) Bale crève l'écran.
Le Journal du Dimanche
Cette chronique de l'Amérique profonde met à nu des personnages qui se débattent contre l'adversité et la fatalité. Sa vision, réaliste, crue, impitoyable, permet à ses comédiens, formidables gueules cassées, de changer de registre.
Le Monde
Assez manichéen d'abord dans son portrait de Russel, le juste au milieu de la tourmente, le film prend un virage cynique trop prévisible pour être déconcertant, mais dont l'absolue noirceur interpelle.
Les Fiches du Cinéma
Scott Cooper parvient à trouver parfois l'équilibre entre pamphlet social et critique acerbe des fondations de la société américaine. Sa vision reste cependant ambiguë.
Libération
Pour le reste, le film n’a rien de ridicule, mais déroule sa partition comme un exercice de style vaguement mécanique où il s’agit d’appuyer à intervalles réguliers sur le bouton «émotion» pour faire tenir l’ensemble debout.
Metro
Si le propos est parfois trop appuyé et attendu, il émane de l'ensemble une force et une honnêteté indéniables.
Positif
C'est du cinéma américain social, "concerné", plutôt bien ouvragé. (...) Christian Bale aura fait sa tête habituelle, qu'il incarne un trader psychopathe, un superhéros en armure, un ouvrier fatigué : triste et tendue.
Charlie Hebdo
Un film profondément académique, habilement recouvert par les signes obligés du temps et un froncement de sourcils permanent. Le récit suit exactement la même pente dépressive voire tragique, et le scénario veut tout épingler [...].
L'Express
Son propos (au réalisateur) socio-mélo-pathos n'a rien d'original et son ambition vire très vite à la prétention. Heureusement pour lui, un casting gratiné 4 étoiles l'a suivi dans ce pensum tout creux. Christian Bale est excellent, Woody Harrelson file les jetons...
Les Inrockuptibles
Que choisir entre la justice légale et l’autodéfense ? A cette question, qui n’en finit plus d’obséder le cinéma américain, Scott Cooper préfère ne surtout pas répondre, entretenant une fausse confusion morale qui lui permet d’exploiter les conventions du vigilante movie jusqu’à un finale ultracomplaisant.
TF1 News
Les interprètes sont tous impeccables. Mais si le film est correctement exécuté, il n'a rien d'inédit à nous offrir.
Critikat.com
(...) Ce poussif processus de métamorphose ne produit guère autre chose qu’un chef-d’œuvre en carton, pensum amidonné long de deux heures.
TéléCinéObs
Franchement, on peine à déterminer ce qui escagasse le plus ici, de l’autosatisfaction qui transpire à plein nez (...), ou des relents de mépris social qu’exhale cette entreprise d’imitation de la pauvreté à la fois édulcorante, pompière et carnavalesque.