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(...) Sexe intentions, tout en se laissant regarder, ne casse pas des triques, et ressemble à n'importe quelle romance douceâtre pour ados gentiment rebelles, musique sympa à l'appui
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Il y est question de manipulation, d'amour et de sexe. Et comme il est plus facile de filmer des scènes de sexe que des scènes de manipulation, le film n'en manque pas…
(...) a priori, il y avait tout à craindre de cette méchante métamorphose. Erreur. Ces « Sexe intentions », toute gonflées d'un toupet anti-hollywoodien, sont un modèle de libertinage, de cynisme et de crudité verbale.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
C'est amusant de voir que l'intrigue de Laclos résiste malgré tout au traitement sirop de choc que lui fait subir Hollywood, avec ses féroces minets et ses pucelles de luxe.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le film, produit formaté pour le public adolescent (ou de vieux cochons), (...) est distrayant mais ne présente pas grand intérêt, si ce n'est de permettre aux spectateurs de se rincer l'oeil sur d'affriolantes poulettes (...)
(...) c'est réussi, dans la mesure où on rit beaucoup du côté «porno soft» assumé par le film, même si tout est fait pour être tendance, des socio-problèmes évoqués (racisme, drogue, homosexe) à la BOF très pop.
La critique complète est disponible sur le site Première
(...)pendant une bonne heure, ce petit film élégant, finement dialogué et impeccablement interprété - les deux filles, la brune Sarah Michelle Gellar et la blonde Reese Witherspoon ont déjà du métier ! - vaut le coup d'œil.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Affadi, vulgarisé, normalisé, le roman de la cruauté devient (...) une sorte de bréviaire, un "Comment draguer vite et bien les poules", un vade-mecum pré-universitaire. C'est Kant revu et corrigé par Monsieur Bricolage.
Pour tout «libertinage», Sexe intentions (...), quintessencie une certaine vulgarité américaine sans âge — sociale, vestimentaire, religieuse, linguistique, culinaire, immobilière, morale, sexuelle, littéraire et plus si affinités.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
La mise en scène léchée, les décors luxueux, la musique branchée contribuent à une entreprise osée, certes, mais pas si hasardeuse que ça.
Chronic'art.com
(...) Sexe intentions, tout en se laissant regarder, ne casse pas des triques, et ressemble à n'importe quelle romance douceâtre pour ados gentiment rebelles, musique sympa à l'appui
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
FHM
Il y est question de manipulation, d'amour et de sexe. Et comme il est plus facile de filmer des scènes de sexe que des scènes de manipulation, le film n'en manque pas…
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
(...) a priori, il y avait tout à craindre de cette méchante métamorphose. Erreur. Ces « Sexe intentions », toute gonflées d'un toupet anti-hollywoodien, sont un modèle de libertinage, de cynisme et de crudité verbale.
Le Figaroscope
C'est amusant de voir que l'intrigue de Laclos résiste malgré tout au traitement sirop de choc que lui fait subir Hollywood, avec ses féroces minets et ses pucelles de luxe.
Les Inrockuptibles
Le film, produit formaté pour le public adolescent (ou de vieux cochons), (...) est distrayant mais ne présente pas grand intérêt, si ce n'est de permettre aux spectateurs de se rincer l'oeil sur d'affriolantes poulettes (...)
Première
(...) c'est réussi, dans la mesure où on rit beaucoup du côté «porno soft» assumé par le film, même si tout est fait pour être tendance, des socio-problèmes évoqués (racisme, drogue, homosexe) à la BOF très pop.
Télérama
(...)pendant une bonne heure, ce petit film élégant, finement dialogué et impeccablement interprété - les deux filles, la brune Sarah Michelle Gellar et la blonde Reese Witherspoon ont déjà du métier ! - vaut le coup d'œil.
L'Evénement
Affadi, vulgarisé, normalisé, le roman de la cruauté devient (...) une sorte de bréviaire, un "Comment draguer vite et bien les poules", un vade-mecum pré-universitaire. C'est Kant revu et corrigé par Monsieur Bricolage.
Libération
Pour tout «libertinage», Sexe intentions (...), quintessencie une certaine vulgarité américaine sans âge — sociale, vestimentaire, religieuse, linguistique, culinaire, immobilière, morale, sexuelle, littéraire et plus si affinités.