Note moyenne
3,7
22 titres de presse
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Le Parisien
Alliant efficacité et réalisme, l'auteur construit un récit solidement charpenté et se confirme comme un habile directeur d'acteurs.
Paris Match
David Ayer connaît son sujet et fait preuve de virtuosité dans ce sommet du genre, à la fois "buddy movie", film d'action et documentaire.
Positif
David Ayer livre un portrait sombre et étonnant de la réalité (...) Les acteurs sont fabuleux, impressionnants de complicité ; les dialogues vifs ; l'humour authentique ; le rythme, effréné.
Télé 7 Jours
Cet hommage aux héros de LAPD, sans la jouer clip promo pour les forces de l'ordre, est assurément un must pour les fans de polar.
20 Minutes
Un tournage sous haute surveillance dans un coin chaud de la ville, puis un montage très haché communiquant la tension constante d'hommes en danger pèse sur ce polar efficace comme une chappe de plomb.
Charlie Hebdo
(...) la superposition de toutes ces images produit (...) une formidable impression de réalisme, manière de redonner un coup de fouet au polar.
CinemaTeaser
Malgré quelques paliers de décompression, "End of watch" est en permanence sous tension, jusqu'à l'explosion dans un dénouement d'une violence inouïe.
Le Journal du Dimanche
La brillante idée de ce thriller scotchant? Filmer la routine du point de vue des deux policiers. (...) "End of Watch", ou comment conjuguer action et émotion.
Le Monde
Ayer adopte un point de vue éclaté et confus, comme si l'univers était vu à travers quantités de caméras numériques. Ce parti pris a tout pour agacer, mais on ne saurait pourtant le réduire à un pur "truc" à la mode.
Les Inrockuptibles
Si l'on peut regretter que le film adopte aussi unilatéralement le point de vue des flics (...) "End of Watch" n'en demeure pas moins une des meilleures réponses (...) dans l'art de sublimer les déboires de types badgés.
Metro
Un chouïa réac, sa virée en mode caméra embarquée convainc par son réalisme percutant.
Première
David Ayer maîtrise parfaitement deux choses : évoquer les quartiers chauds de Los Angeles et écrire des "buddy cop movies".
TéléCinéObs
Jamais encore film policier n'avait réussi à communiquer de façon aussi viscérale l'urgence d'un job où vous jouez votre vie à chaque seconde.
Télérama
Tout en frôlant le polar et le film d'action classique, "End of watch" continue à étonner.
L'Express
David Ayer, titille le spectateur grâce à une description "in vivo" du boulot de flics submergés par la violence des cartels mexicains, il revient, au fur et à mesure du récit, à une mise en scène classique et sans brio.
Les Fiches du Cinéma
David Ayer signe un polar nerveux - portrait en creux de deux amis s'interrogeant sur leur propre masculinité -, qu'une mise en scène un peu trop systématique vient limiter.
Libération
Les deux bourrins keufs croisent en une semaine plus de criminels et de psychopathes que l'intégralité d'une brigade en cinq ans de service, mais on est d'accord, le film est super informé et hyper réaliste.
Ouest France
Des flics comme toutes les polices en rêvent. Un peu " too much " quand même. Mais ils sont campés avec une telle vigueur (...) qu'on arrive à se laisser embarquer.
Studio Ciné Live
Voir sur le site Studio Ciné Live.
TF1 News
Le duo d'acteurs, dont on pourrait croire qu'ils improvisent chaque ligne de leur texte, est le moteur principal d'un long-métrage qui s'extirpe pourtant difficilement d'une mise en scène m'as-tu-vu.
Ecran Large
Un faux cop show qui n'a pas de sens malgré quelques moments efficaces.
Critikat.com
Malgré sa débauche de sophistication visuelle et sa volonté de s'ériger en film-choc, "End of Watch" a tout du produit factice : aussitôt vu, aussitôt oublié.