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La sérénité paradoxale qui se dégage de l'ultime plan de "Gebo et l'ombre", ponctuant pourtant le récit d'un échec tragique jamais masqué, vaut comme une superbe signature du cinéaste – affirmation de son regard limpide qui se fait critique, mais jamais juge ni bourreau, ne regarde pas ses personnages de haut, mais face à face, tels ses semblables.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Au début, le minimalisme théâtral du dispositif déroute un peu. Puis on se prend à la rigueur économe de la mise en scène, on se laisse envoûter par ces ruminations existentielles, servies par des acteurs magnifiques.
L'incroyable force de ce film, où il se passe à vrai dire peu de chose sur le plan des événements racontés, est que Manoël de Oliveira, à cent trois ans est assez maître de ses moyens pour dire, sans un mot, par la seule façon dont il filme, lumière dont il baigne le plein air du premier plan sur le port, éclairages parcimonieux sur les décors de la maison du père, de quel côté il est : celui de la vie, celui du jeune homme qui s'échappe de la routine.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Conte cruel, huis clos zébré de fantastique dans laquelle la truculence discrète du maître portugais fluidifie la noirceur ambiante, "Gebo et l'ombre" possède l'éclat du diamant et la densité filandreuse d'un cauchemar lancinant. Grand film.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
(...) beau film fort bien maîtrisé (...) L'atmosphère discrètement onirique du film, les irruptions et cassures du récit, la trajectoire sacrificielle de Gebo rendent cette oeuvre assez envoûtante en dépit de son austérité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Quatre ou cinq mouvements de caméra pour capter d'interminables plans fixes, c'est à la fois économe et monotone comme partis pris de mise en scène. Restent quand même (...) les subtilités des éclairages pour découper un espace semi-nocturne.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
L'interprétation est d'une remarquable sûreté ; du début à la fin, Michael Lonsdale oppose sa lenteur massive et lasse aux frémissements de Claudia Cardinale.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Critikat.com
La sérénité paradoxale qui se dégage de l'ultime plan de "Gebo et l'ombre", ponctuant pourtant le récit d'un échec tragique jamais masqué, vaut comme une superbe signature du cinéaste – affirmation de son regard limpide qui se fait critique, mais jamais juge ni bourreau, ne regarde pas ses personnages de haut, mais face à face, tels ses semblables.
Les Inrockuptibles
Au début, le minimalisme théâtral du dispositif déroute un peu. Puis on se prend à la rigueur économe de la mise en scène, on se laisse envoûter par ces ruminations existentielles, servies par des acteurs magnifiques.
Libération
Le secret et le mutisme sont les moteurs silencieux d'une mise en scène épurée, je dois bien l'admettre, jusqu'au génie.
Studio Ciné Live
[POUR] : Voir le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
Simple et audacieux, "Gebo et l'Ombre" est émouvant grâce à la force d'incarnation de tous ses interprètes.
L'Humanité
L'incroyable force de ce film, où il se passe à vrai dire peu de chose sur le plan des événements racontés, est que Manoël de Oliveira, à cent trois ans est assez maître de ses moyens pour dire, sans un mot, par la seule façon dont il filme, lumière dont il baigne le plein air du premier plan sur le port, éclairages parcimonieux sur les décors de la maison du père, de quel côté il est : celui de la vie, celui du jeune homme qui s'échappe de la routine.
Le Monde
Des vieillards sublimes, qui font partager leur joie d'être là, de continuer à faire du cinéma.
Les Fiches du Cinéma
Manoel de Oliveira, 103 ans, livre un film sec, imperturbable, violent, compact, intense, lumineux, noir.
TéléCinéObs
Conte cruel, huis clos zébré de fantastique dans laquelle la truculence discrète du maître portugais fluidifie la noirceur ambiante, "Gebo et l'ombre" possède l'éclat du diamant et la densité filandreuse d'un cauchemar lancinant. Grand film.
Télérama
Du théâtre filmé ? Ça y ressemble. Mais signé par Manoel de Oliveira, le maître portugais, ça devient autre chose.
20 Minutes
Il tourne un film par an, alors forcément, il y a du bon et du moins bon.
La Croix
(...) beau film fort bien maîtrisé (...) L'atmosphère discrètement onirique du film, les irruptions et cassures du récit, la trajectoire sacrificielle de Gebo rendent cette oeuvre assez envoûtante en dépit de son austérité.
Ouest France
Quatre ou cinq mouvements de caméra pour capter d'interminables plans fixes, c'est à la fois économe et monotone comme partis pris de mise en scène. Restent quand même (...) les subtilités des éclairages pour découper un espace semi-nocturne.
Positif
L'interprétation est d'une remarquable sûreté ; du début à la fin, Michael Lonsdale oppose sa lenteur massive et lasse aux frémissements de Claudia Cardinale.
Première
Certes joliment éclairé, "Gebo et l'ombre" joue sur le hors-champ de façon trop systématique, et le film manque cruellement de respirations.
Studio Ciné Live
[CONTRE] : Voir le site Studio Ciné Live