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Tout en continuant d'égratigner le système américain, cette joyeuse farce (...) fait gicler l'hémoglobine et l'humour. Mel Gibson est irrésistible en clone cynique du Dr No, les filles sont toujours déshabillées et sexy.
Par l’intervention d’un gourou physicien allumé de pied en cap, "Machete Kills" déraille salutairement de sa trajectoire référentielle monomaniaque, s’offre en entonnoir à sa propre boulimie et ouvre tous les robinets du cinéma bis.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Il y a suffisamment d'idées et d'intrigues parallèles dans "Machete Kills" pour remplir une dizaine de longs métrages. Trop même, au risque d'écoeurer sur la fin. Mais si vous vous en sentez l'appétit, ce serait dommage de se priver.
Du premier "Machete", nous étions ressortis avec le sentiment que les meilleures blagues restent souvent les plus courtes. Un adage confirmé par ce second opus jouant les prolongations abusives.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Il a beau tué Machete, il ennuie surtout tant tout ceci sent le réchauffé. A quelques numéros près (Amber Heard en bad guy surtout), le retour du mexicain à la machette laisse perplexe.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Robert Rodriguez pécheur récidiviste perpétue un énième hommage délirant au cinéma grindhouse. Le résultat est fun, mais encore et toujours trop long...
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ce nouveau volet des aventures du Mexicain tranchant (...) prend l'eau de toutes parts. (...) Un scénario prétexte (...). Un érotisme de pacotille (...), et surtout une mise en scène ras des pâquerettes. C'est simple, Rodriguez n'essaye même plus de faire du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
20 Minutes
"Machete Kills" c’est du pur bonheur pour les amateurs de série B.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Journal du Dimanche
Tout en continuant d'égratigner le système américain, cette joyeuse farce (...) fait gicler l'hémoglobine et l'humour. Mel Gibson est irrésistible en clone cynique du Dr No, les filles sont toujours déshabillées et sexy.
Le Parisien
(...) cocktail violent, sanguinolent mais teinté de beaucoup d’humour noir (...)
Les Inrockuptibles
Le résultat est meurtri mais indéniablement pop.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site Studio Ciné Live.
Critikat.com
Par l’intervention d’un gourou physicien allumé de pied en cap, "Machete Kills" déraille salutairement de sa trajectoire référentielle monomaniaque, s’offre en entonnoir à sa propre boulimie et ouvre tous les robinets du cinéma bis.
Libération
Un festival de faux raccords et d'effets pourris plutôt réjouissants. C'est totalement idiot, mais c'est fait pour.
Première
Il y a suffisamment d'idées et d'intrigues parallèles dans "Machete Kills" pour remplir une dizaine de longs métrages. Trop même, au risque d'écoeurer sur la fin. Mais si vous vous en sentez l'appétit, ce serait dommage de se priver.
Télérama
A ce degré de rythme et d'insolence, la potacherie devient un pur plaisir.
CinemaTeaser
Du premier "Machete", nous étions ressortis avec le sentiment que les meilleures blagues restent souvent les plus courtes. Un adage confirmé par ce second opus jouant les prolongations abusives.
Ecran Large
Il a beau tué Machete, il ennuie surtout tant tout ceci sent le réchauffé. A quelques numéros près (Amber Heard en bad guy surtout), le retour du mexicain à la machette laisse perplexe.
L'Ecran Fantastique
Ni drôle ni malin, "Machete Kills" provoque d'une part un ennui terrible (...) et d'autre part un malaise.
Les Fiches du Cinéma
Les nouvelles aventures de Machete sont moins entraînantes et plus laborieuses, et ne valent que pour leur galerie de personnages hauts en couleur.
aVoir-aLire.com
Robert Rodriguez pécheur récidiviste perpétue un énième hommage délirant au cinéma grindhouse. Le résultat est fun, mais encore et toujours trop long...
Mad Movies
Ce nouveau volet des aventures du Mexicain tranchant (...) prend l'eau de toutes parts. (...) Un scénario prétexte (...). Un érotisme de pacotille (...), et surtout une mise en scène ras des pâquerettes. C'est simple, Rodriguez n'essaye même plus de faire du cinéma.
TéléCinéObs
Le film, nullissime, juste bon à masquer son absence totale d'inspiration sous sa posture de série Z.