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    Rush
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    Fabien S.
    Fabien S.

    472 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2021
    Un excellent film de Ron Howard. Daniel Brühl et Chris Hemsworth incarnent des pilotes rivaux de Formule 1. Natalie Dormer interprète la petite amie infirmière de James Hunt. Olivia Wilde tient le rôle de sa femme mannequin .
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 8 octobre 2013
    A-t-on jamais vu un Schleu troquer son Panzer pour une Fiat...

    Eh... Rush m'évoque Giorgio Moroder. D’abord, parce que tout l’été, j’ai eu envie de dire avec un accent italien : « My name is Giovanni Giorgio, but everybody calls me Giorgio », et que maintenant, j’ai envie de parler anglais avec un accent allemand et de prononcer : Niki Lauda. Niki Lauda. Ce nom a quelque chose de percutant ; il donne envie de le scander, louder and louder -Lauda and Lauda quoi, sans mauvais jeu de mots. « Hunt, James Hunt » : celui-là rime avec cunt, quelle classe. Mais Niki Lauda… Niki Lauda sonne victorieux et résonne dans ma mémoire, (déjà plus) toute fraîche. Ensuite, parce qu’au-delà du casque, le film rappelle plusieurs morceaux de Random Access Memories, le dernier album de Daft Punk : il dégage la même fureur, la même impression de course frénétique jusqu’à plus de souffle que « Giorgio by Moroder » et « Contact ». Surtout « Contact » d’ailleurs, aux accélérations interminables, parfois saccadées, et au coup de frein silencieux : titre plus bourrin que fin, mais aussi F1 que bourrin -sans mauvais jeu de mots. Pour finir, parce que les mythiques années soixante-dix me réserve encore quelques surprises -évidemment, le synthé surpasse largement la course automobile, même s’il s’agit du « racing grudgematch of the decade » : James Hunt vs. Niki Lauda.
    J’ai essayé, en rentrant du cinéma, de regarder une course automobile sur YouTube : ennui mortel. Et pourtant, celles de Rush m’ont passionnée comme aucune autre depuis Boonta Eve, la podrace sur Tatooine, la plus dangereuse de la galaxie ; elles m’ont projetée hors de mon siège et dans un univers totalement étranger : je n’aime pas le sport, je n’ai pas le permis… Sans les Anglais et le Japonais, je ne saurais même pas de quel côté de la route les Français roulent –à droite ? Bref, il faut admettre que l’œuvre la plus aboutie de Ron Howard transcende totalement son sujet, transforme vroum vroum en duel épique entre deux as du volant. D’un côté, Niki Lauda, le Kraut à la Ferrari -tout le monde sait que l’Allemagne nazie, alliée à l’Italie, a annexé l’Autriche en 1938-, bien plus beau dans la fiction ; raisonnable et très méticuleux, il correspond un peu au Thomas Bangalter du duo. De l’autre, James Hunt, le pochetron à la McLaren -pardon : l’Anglais dans son Spitfire-, bien plus beau dans la fiction ; immodéré et plutôt spontané, il a le swag de Guy-Man. Bref, deux types qui excellent à tourner en rond, mais pas autour du pot -d’échappement, sans mauvais jeu de mots ; deux garçons d’écurie qui dégainent plus vite que leur ombre ; deux champions qui s’affrontent sur le circuit au péril de leur vie : Rush est un revival sur bitume de la bataille d’Angleterre, garanti sans défaite glorieuse à la française.
    Alors il y a, d’une part, la dimension épique du film, dont la force ne réside justement pas dans sa seule capacité à faire monter l’adrénaline : l’enjeu du combat est sublimé, l’humain dépassé. Les pilotes, tels des chevaliers modernes prêts à jouter, se font figurément face en même temps qu’aux éléments qui se déchaînent -la pluie battante est utilisée comme dans The Grandmaster. Puis il y a, d’autre part, la dimension animale, quasi sexuelle, qui s’exprime au travers de la jouissance extrême et communicative qu’éprouvent les deux hommes, plus vivants que jamais, lancés à près de trois cents kilomètres heures dans leur bombe sur roues, dont le jeu des pistons simule le coït : clairement, ils font la nique à Thanatos. Enfin, il y a la dimension humaine : car la rivalité entre Niki Lauda et James Hunt n’est pas haineuse, mais respectueuse et solidaire, voire fraternelle -« We are human after all. » D’ailleurs, l’épilogue en témoigne : le vivant parle pour le mort, de la même manière que l’indemne prend la défense de l’accidenté ; à la double narration se substitue une voix-off chargée d’un double exposé, qui confirme qu’ils se comprenaient.
    De la pulsion à la grandeur, Rush offre donc un florilège d’émotions auquel correspondent une mise en scène et une bande son -signée Hans Zimmer- d’un hétéroclisme très séduisant : il est rock’n’roll. Ron Howard se démarque surtout par la réalisation des scènes de course, spectaculaires et prenantes au possible, dans lesquelles il alterne les vues -de Lauda et de Hunt d’une part, en caméra objective et en caméra subjective d’autre part-, les types de plans -rarement larges- et les angles de vue ; ce travail permet assurément de plonger au cœur de l'action.
    Voilà, j'ai écrit Lauda dix fois. Enfin, onze avec celle-là.
    Si la critique vous a plu, n'hésitez pas à faire un tour sur mon site !
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 26 septembre 2013
    Voilà un film aussi peu passionnant qu'un Grand Prix de F1 à la télé le dimanche mais somme toute assez agréable puisqu'il permet quand même de faire une bonne sieste et de bien se vider le cerveau. Comme un Grand Prix de F1 à la télé le dimanche, quoi ! C'est vrai qu'on se repose pas mal les neurones devant "Rush" tant les enjeux de l'intrigue sont limités et ont déjà abordés des milliards de fois dans des milliards d'autres films. La rivalité et l'affrontement entre le flambeur et le comptable, on connaît et, à force, on se fout un peu de qui va gagner à la fin. Ici, on renvoie les deux comportements dos à dos, c'est bien, tout le monde est content et c'est exactement ce qu'on est en droit d'attendre d'un film réalisé par le gentil Richie Cunningham. Il faut dire en plus que les deux principaux protagonistes sont particulièrement antipathiques et que, si les acteurs Daniel Brühl (prédisposition patronymique pour incarner Niki Lauda ?) et Chris "Thor" Hemsworth dans le rôle de James Hunt ont beau mettre tout ce qu'ils ont de charisme dans leur interprétation, le scénario ne permet pas vraiment au spectateur de se passionner pour leurs faits et gestes (quand à leur "pensée" profonde ou à leur philosophie de la vie, je ne vous en parle même pas). Bizarrement, c'est sans doute là le principal (seul ?) point fort du film : ne pas trop chercher à rendre les personnages sympathiques et dépeindre le petit monde des paddocks tel qu'il est vraiment, c'est-à-dire la plus grosse concentration au mètre carré de melons surdimensionnés du monde sportif. Ce cachet d'authenticité et la reconstitution (intéressante techniquement mais toute pourrie dramatiquement) de la saison 76 raviront les fans de F1 et d'histoire de sport automobile qui pourront constater les évolutions intervenues dans leur discipline favorite depuis 40 ans (en matière de sécurité, surtout, la vache !). Les fans de cinéma, eux, au mieux seront indifférents à ce spectacle, au pire se feront chier comme des rats morts mais rigoleront quand même bien devant les vains efforts des scénaristes pour faire exister les personnages féminins (alors que dans le milieu, c'est bien connu, gonzesse = trophée) et devant les sobres maquillages infligés à Daniel Brühl (le dentier proéminent puis la transformation en merguez géante). C'est bien, mais c'est peu.
    Stephenballade
    Stephenballade

    361 abonnés 1 236 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 janvier 2016
    S’attaquer au monde la Formule 1 est un pari risqué. Avant Ron Howard, d’autres personnes avaient tenté d’exploiter ce milieu très fermé qu’est le sport automobile, sans parvenir à faire quelque chose de vraiment intéressant, à défaut d’être prenant. Bien qu’étant placé dans le contexte du championnat Cart (plus ou moins équivalent à la F1), je pense notamment à Renny Harlin, réalisateur de "Driven" en 2001, avec Sylvester Stallone. Je pense également à Louis-Pascal Couvelaire, avec "Michel Vaillant", adaptation de la bande dessinée en 2003. Je crois que j’ai cité les plus grands flops, tout du moins les plus retentissants. A croire que la course automobile est un sujet très difficile à porter sur le grand écran. Ron Howard a fait une approche différente, puisqu’il s’est intéressé de près à la rivalité ayant opposé l’autrichien Niki Lauda au britannique James Hunt. Car le monde de la Formule 1 réunit de vrais funambules du volant, qui doivent avoir le cœur bien accroché pour dompter les centaines de chevaux chargés de remuer au plus vite et le plus efficacement possible les quelques centaines de kilos. Cela passe évidemment par un énorme égo, et c’est ce qui ressort principalement de "Rush", touchant ainsi un public plus large que les amateurs de F1 dont je fais partie. Car ce n’est pas seulement la course pure et dure qui est mise en avant. On a une vraie psychologie des personnages, une rivalité entre pilotes assez bien détaillée, alors largement couvertes par les innombrables articles de presse. Malgré des raccourcis un peu faciles dans la biographie des deux pilotes (Niki Lauda n’est pas entré directement en F1 au sein de l’écurie BRM comme dit dans le film), on ressent bien le virus de la course et de la compétition (indispensable à ce niveau-là) habitant les deux hommes, et c’est d’ailleurs la seule chose qu’ils ont en commun. Car en dehors de ce virus et de la provocation, ils sont diamétralement opposés : l’un est exubérant, l’autre est rigoureux. Les deux acteurs semblent habités par leur personnage respectif, et on pourra le mesurer à l’entame du générique de fin, là où des images d’archives ont été intégrées. On constatera que bien des efforts ont été consentis sur le maquillage pour la ressemblance physique, mais pas seulement : les attitudes sont là. D’ailleurs Daniel Brühl a pu côtoyer le vrai Niki Lauda pour étudier sa façon de bouger, et de parler. Mais je suis étonné que seule la qualité de metteur au point de génie ait été mise en avant par les scénaristes. Niki Lauda était surtout connu pour sa rapidité et sa grande maîtrise de la course, ce qui lui valut de surnom de "L’ordinateur". Oubliée, c’était quand même une facette importante du personnage. Quant à l’esthétique des scènes de courses, elle est très soignée, et je dirai même mieux filmées que les vraies courses retransmises en direct. Cela permet une meilleure immersion. La scène du crash a été reproduite avec beaucoup de réalisme, se basant sur un bris de suspension alors que la cause de l’accident n’a jamais été réellement identifiée. Quant au temps imparti à l’incendie, il est exact, ou en tout cas très proche : à peine un peu plus d'une minute, qui semble une éternité. Les gros plans sur les pneus, sur les hommes concentrés, sur les yeux inquiets de la météo, sur les risques encourus, mais aussi le son des moteurs V12 rugissant toute leur puissance dès l’accélérateur enfoncé, le manque de visibilité à cause des projections de pluie, font que le tout est plutôt immersif. Je sanctionne juste les raccourcis dont j’ai parlé plus haut, mais je sanctionne aussi le fait qu’on soit passé un peu vite sur l’après accident, sur la gestion de la détermination qui n'aura jamais quitté le pilote à jamais défiguré. Psychologiquement, on ne sait pas trop au moment opportun ce par quoi le pilote passe, et on passe peut-être à côté d’un énorme potentiel émotionnel sur le retour à la compétition du pilote et sur son arrivée à la quatrième place lors du grand prix d’Italie, à bord de sa Ferrari 312 T2. Ce qui a dû être un événement a été sous-exploité. Ne boudons pas notre plaisir, le film est vraiment très bien, mais si vous regardez ce film chez un ami, attention en prenant la route : votre véhicule n’est pas une formule 1…
    Ghibliste
    Ghibliste

    66 abonnés 577 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 décembre 2014
    Ca dépote ! "Rush" est un film retraçant l'une des plus grandes rivalités de l'histoire de laF1, celle opposant Niki Lauda à James Hunt. Techniquement parlant, c'est du grand art de la part de Ron Howard. En plus, j'avais la chance de ne pas connaître l'histoire de cette saison 1976, si bien que l'intensité et le suspense des courses m'ont grave scotché à mon fauteuil. Et même l'émotion a réussi à m'atteindre dans la deuxième partie du film. Les acteurs eux aussi sont excellents, les 70's très bien rendues, on s'y croirait ! Les deux défauts majeurs de ce très bon film de F1 sont, selon moi, la psychologie des personnages qui aurait dû être passionnante, mais qui n'est que trop souvent réductrice ; et certains dialogues sont trop lisses - contrairement à d'autres, très bons. Mais l'ensemble est d'une efficacité redoutable. Un bon rush d'adrénaline.
    Thibox_
    Thibox_

    47 abonnés 265 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 janvier 2014
    Magnifiques portraits de deux pilotes et rivaux automobiles sublimés par de magnifiques images et par la bande son magique de Hans Zimmer. Moi qui ne suis pas fan de cet univers, j'ai vraiment apprécié ce film qui se révèle passionnant et intelligent. À noter les prestations plus que convaincantes de Daniel Brühl et de Chris Hemsworth.
    kal-el 02
    kal-el 02

    98 abonnés 843 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 février 2014
    Si vous êtes fans de Formule 1 depuis de longues années alors très certainement connaissez-vous déjà la rivalité pleine de respect qui a opposé les pilotes James Hunt & Nikki Lauda. C’est Ron Howard qui a donc décidé de leur consacrer un excellent film qui ne manque pas de panache grâce d’abord en grande partie à la prestation du duo d’acteurs Chris Hemsworth & Daniel Brühl tout simplement parfaits dans leurs rôles respectifs. Tout d'abord le film ne parle pas que de formule 1 ce n'est pas que un film que sur des circuit de F1 mais aussi sur l'histoire des deux hommes auquel repose une rivalité hors norme .Il faut aussi noter une réalisation dynamique avec notamment des reconstitutions de courses vraiment splendides dans lesquelles on plonge littéralement. Qu’on soit amateur ou non de vitesse ce Rush nous en met vraiment plein la vue et c'est donc un Coup de coeur !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 février 2014
    Rush est un très bon biopic, intense et prenant, qui retrace l'histoire intéressante opposant deux des plus grands rivaux et pilotes de Formule 1 de toute l'histoire du sport automobile : James Hunt et Nikki Lauda. Très bien mené par un Chris Hemsworth persuasif mais malheureusement, Daniel Brühl n'est pas convaincant et j'ai été décu par son interprétation un peu vulgaire et énervante. Les effets visuels et toute la mise en scène sont les éléments du film les plus marquants et les plus remarquables et la musique est sublime. Un scénario à la hauteur du casting, c'est à dire très haletant et inventif, et l'humour s'y mêle avec merveille et est très bien mené donc très drôle. Par compte, et l'un des gros bémoles de Rush, c'est l'acteur incarnant Nikki Lauda qui est insupportable , on a vraiment envie de lui mettre des coups de poing, je le trouve mauvais et saoulant par moment et sa ma presque réjouis pour ce qui lui arrive vers la fin mais bon cela ne m'a pas empêcher d'être véritablement scotché par les scènes de courses automobiles qui sont parfaites et j'ai passé un super moment devant Rush qui est un film très très intense et saisissant.
    Eric C.
    Eric C.

    208 abonnés 2 273 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 octobre 2014
    Sans doute le meilleur film dans le milieu de la F1 jamais tourne. Inspire de l'adversite passionnee entre James Hunt et Nicky Lauda, ce film est une merveille de biopic, veritable film d'action et d'emotions. Ron Howard realise a la perfection et trouve toujours le ton juste quelque soit le moment du film. Chris Hemsworth prouve qu'il est un grand acteur et pas seulement le grand Thor. Belle apparition d'Olivia Wilde, toujours sublime.
    virnoni
    virnoni

    93 abonnés 578 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 septembre 2013
    Surprise! J'ai pris une petite claque. Visuellement, c'est époustouflant. Peu passionnée par le F1, je dois reconnaître qu'on vibre avec eux. Les courses sont très réalistes, la caméra rend parfaitement les sensations de la voiture, les émotions des pilotes. Enfin, je dirais, un film qui parle, montre et rend intéressante la F1! Pourtant, j'ai mis un certain temps à me faire à ce colori jauni ou sépias de l'image parfois, pour insister sur l'époque seventies surement, ce qui rend certaines scènes limite laides. Ce n'est qu'un détail au final car le rendu est spectaculaire. Bien sur, l'histoire elle-même de ces 2 pilotes l'est tout autant. L'avantage était de ne pas connaître leur histoire justement. J'ai donc vibré avec eux. Si ce n'était pas d'ailleurs vrai, je n'y croirais pas (principalement l'accident et surtout, le retour de Lauda au bout de 30 jours??!!). Je trouve qu'ils sont même un bel exemple de sportifs comme il n'en existe plus : passionnés, intelligents, brillants. Le film a su trouver l'équilibre entre les courses (il n'y en a pas de trop et leur montage est bien amené) et la vie intime des personnages, leurs caractères (à supporter! N'est pas champion qui veut!), leurs fêlures, leurs choix etc.
    L'histoire de Lauda et son épouse est forte, la volonté de cet homme m'a profondément ému ainsi que leur rivalité/amitié dans laquelle ils puisent chacun, tour à tour, de quoi avancer et se surpasser. Leurs échanges sont également intéressants à entendre. Ils s'apportent indirectement, ou même parfois directement, des choses dans leur ambition et leur parcours personnel. Ils font authentiques! Les deux acteurs sont donc vraiment bon, surprenant de la part de Thor!! Il a beaucoup de charisme, de force. Il dégage enfin quelque chose. A suivre donc. Le reste du casting est aussi parfait. La réalisation est bonne (de belles envolées de caméras, de montage, le rythme est soutenu, le son et les bruitages y contribuent aussi beaucoup. On est happés par l'ensemble). C'est le retour du fils prodigue Ron Howard. Je recommande vivement!!
    Thierry M
    Thierry M

    136 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 octobre 2013
    Ron Howard nous sort une fois de plus un petit bijou , ou l'on est pas obliger de connaitre la formule 1.
    L'ombre du 7ème art
    L'ombre du 7ème art

    58 abonnés 399 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 avril 2018
    "Rush", un titre simple pour un film exceptionnel, que dire de ce film qui m'a pris par la main et ma fait découvrivre la formule 1, et oui je déteste ce sport et pourtant le film est génial qu'elle paradoxe et pour cela le film à tout mon respect. C'est simple dans ce film tout est parfait ou du moins quasi parfait. On peut mettre en évidence que la force du film repose sur ses 2 protagonistes: James Hunt (joué à merveille par Chris Hemswort) et Niki Lauda (interprété par Danile Brül) car ces deux monuments de la f1 sont retranscrient dans ce film avec une justesse incroyable grâce à ses acteurs qui offrent de nombreux sentîments tel que la joie, la tristesse et la peur. De plus le tout est porté par une relation presque fraternelle entre ces 2 Hommes qui est très prenante, alors que ces derniers ont une vision de la vie totalement différente devenant ainsi des alter-égaux. Ce qui m'a le plus marqué dans le film est la musique, intitulé "Lost but Won" qui est composée par le grand et unique Hans Zimmer. Toutefois le film à un problème au niveau des effets spéciaux lors des crashs de voitures car le feu est à mon avis en image de synthèse, et cela provoque ainsi un effet presque synthétque et je trouve cette prise de risque vraiment dommage car cela casse la réalité, ainsi que les scènes de courses qui sont pourtant cadrés avec une dexstérité impressionante puisqu'on ressent une tension énorme. Un film qui arrive à toucher un large publique, qu'on soit fan ou non de formule 1 et qui nous fait le plaisir de découvrir une partie de la vie de ces grands hommes. 4,5/5
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 mars 2014
    La formule un, c'est un univers que je ne connais absolument pas donc je ne saurais me permettre de débattre du réalisme du film ou de sa fidélité à la réalité des vies respectives de James Hunt et Niki Lauda...que je ne connaissais pas non plus d'ailleurs.

    Ce que je peux dire c'est que les images nous replongent bien dans l'époque de ces deux champions, que les acteurs sont bluffants de ressemblance avec ceux qu'ils interprètent. En tout cas Ron Howard à tout mis de son côté pour qu'on y croit : un conseiller technique tels qu'Alastair Caldwell, une rencontre entre Dianiel Bruhl et le véritable Nikki Lauda, des maquilleurs de génie...

    Mais parlons émotions maintenant. Tout au long de ce film qui file sur les chapeaux de roue, on ne voit pas le temps passer et on vit les courses : on stresse, on se crispe sur l’accoudoir, on oublie de respirer même !

    Entre deux courses, on sourit ou on s'énerve devant ces deux personnalités si différentes mais toutes deux aussi difficiles, on craint pour leurs vies, on se rassure ou on est terrifiés. Je pense personnellement à l'accident de Niki Lauda qui m'a impressionnée. Le réalisateur ne nous épargne rien, on le voit coincé dans les flammes, on le voit à l’hôpital en train de s'accrocher à la vie et à son besoin irraisonné de battre son adversaire. C'est là qu'on réalise pleinement les risques que prennent les pilotes lancés à toute allure sur les circuits.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 27 août 2014
    Ce film est splendide! Du Ron Howard à son meilleur! Rush est sans aucun doute son meilleur film. Cette histoire vraie est à la fois touchante et palpitante. En effet, mon cœur battait au rythme du film. La musique qui accompagnent les scènes de courses nous faire vivre le film et nous fait oublier toute distraction autour de nous. Non seulement les acteurs sont irréprochables dans leur rôle, mais aussi ils sont pratiquement identiques aux vrais personnages qu'ils jouent, en particulier Niki Lauda. Je n'ai pas pu m'empêcher d'esquisser un sourire tout au long du film tant ce que je voyais était magnifique! Écoutez ce film, ça en vaut la peine! Même pas besoin d'aimer la Formule 1 pour apprécier ce film.
    Unc-Scrooge
    Unc-Scrooge

    45 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 mars 2014
    A l’idée de voir Rush, on s’imagine un film de formule 1 un peu sale, teigneux, punchy, un long métrage de 120 minutes qui redorera le blason de la vitesse meurtri par Michel Vaillant. Tout sauf un film grand public en somme, un marathon d’expert qui sent l’essence et le bitume. Malheureusement, Rush a préféré se satisfaire du plus grand monde, ou plutôt ne se mettre personne à dos. Et même si cette histoire, vraie, apparait comme touchante, la réalisation de Ron Howard est comme bien souvent policée, assagie, et rend simpliste le scénario. Et les quelques jolies images en pseudo technicolor n’y changent rien : Rush se limite à un parcours tracé ennuyeux et caricatural (l’accent germanique de Bruhl) jusqu’à la quasi fin du film… Heureusement, tout n’est pas à jeter dans Rush. Car la force du film est de s’appuyer sur le petit génie de Hans Zimmer, qui sauve littéralement le spectateur de 120 minutes d’ennuie profond. Mais même cette douce mélodie n’empêche pas la débacle de Rush, film conventionné et sans saveur du dimanche soir dont il ne faut pas attendre grand-chose en somme… Dommage….
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