Note moyenne
3,8
20 titres de presse
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L'Ecran Fantastique
(...) Bryan Singer offre du grand spectacle de science-fiction, sur mesure et intelligent, tant du point de vue narratif, visuel qu'émotionnel. (Il) parvient à porter à son paroxysme ce cinquième opus d'une belle profondeur, appuyant sa réflexion sur des problèmes très actuels, ainsi du rejet de l'autre (...).
Le Figaroscope
X-Men: Days of Future Past est sans doute le meilleur des films X-Men depuis l'origine. Sombre, empreint d'une sourde mélancolie, le film parle d'un temps révolu et se leste d'une profondeur étonnante. Grandiose.
Le Parisien
Les effets spéciaux époustouflants servent l'histoire sans excès, dans un équilibre parfait, jusqu'au combat final qui ouvre un champ de possibles.
Les Inrockuptibles
De retour aux manettes des X-Men, Bryan Singer offre à la franchise son plus bel et sombre épisode.
Metro
Voyages dans le temps fluides et savamment orchestrés, touches d’humour salutaires, séquences virtuoses et noirceur ponctuelle font de cet X-Men, qui fait la part belle à Mystique (Jennifer Lawrence) et Wolverine, un spectacle de grande envergure, intelligent et ambitieux.
Télé 7 Jours
C'est un pur divertissement, paré d'effets spéciaux bluffants et d'une bonne dose d'humour.
Filmsactu
Faire aller et venir ses X-Men dans le temps n'était pas chose facile. Loin de s'y casser les dents, Bryan Singer en profite pour livrer, plus qu'un énième film de super-héros, une véritable oeuvre de science-fiction.
Le Point
L'humour est de mise, le style façon 70's aussi et quelques brillantes trouvailles (…) viennent agrémenter le récit. Rien de révolutionnaire, bien sûr, mais nous saluerons l'ingéniosité du cinéaste qui trouve le moyen de rebooter une franchise de sept épisodes sans qu'il n'y paraisse rien.
Mad Movies
C'est bien grâce à toutes ces attentions portées aux relations entre les protagonistes et à leurs conflits internes (...) que "Days of Future Past" surclasse de très loin la quasi-totalité des productions super-héroïques de ces dix dernières années.
Positif
Singer clame avec orgueil qui est le véritable superhéros d'un film de superhéros : lui.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
aVoir-aLire.com
Une réussite totale dans l’histoire du film de super-héros qui s’inscrit comme le meilleur Marvel depuis... X-Men : le commencement, en 2011.
20 Minutes
Leur lutte pour affirmer leur différence dans un monde formaté est l’un des aspects les plus attachants de cette œuvre riche en scènes d’action et en effets spéciaux. Dans la fureur d'une superproduction hollywoodienne, des idées généreuses parviennent parfois à faire entendre leur petite voix…
Cahiers du Cinéma
Dans l’ensemble, l’habile artisan Bryan Singer a la clairvoyance de ne pas diluer l’action dans un surdécoupage incompréhensible, mais la rend stimulante par une gestion dynamique de l’espace-temps et la collusion d’impressionnants effets de texture.
Le Monde
Bryan Singer conduit ce récit passablement complexe avec une fluidité remarquable et un humour qui manque tant aux productions du même acabit. Le film ne quitte jamais les ornières du blockbuster mais ménage quelques visions plus sombres et déploie par moments une certaine poésie (...).
Ouest France
Rien de bien neuf, mais la direction musclée de Bryan Singer.
Télérama
A ces calculs de business, Bryan Singer oppose l'émerveillement sincère d'un cinéaste fan de fantaisie et d'imaginaire. Il fuit la surcharge, utilise adroitement les décors et l'espace, transforme une grosse fusillade en chorégraphie aérienne. Bref, il se réapproprie la machinerie du cinéma américain en y injectant une part d'enfance et un esprit espiègle.
Chronic'art.com
Trop gourmand, le film s’empiffre et renverse de la bouffe partout : on titube ainsi entre pantalonnade adipeuse et méta-film décomplexé, sans qu’à aucun moment le récit ne retrouve le subtile équilibre de "First Class", qui en faisait une sorte de "Watchmen" pour kids.
Critikat.com
Hanté par la viralité des médias et la menace terroriste, "X-Men : Days of Future Past" succombe comme beaucoup de films de super-héros à l’élargissement du cadre hors de toute proportion humaine, au risque de perdre le spectateur en cours de route.
Le Journal du Dimanche
Si le choc culturel est l'occasion de quelques blagues plutôt bien senties, l'action, elle, manque d'enjeux. En vieux briscard de la franchise, Hugh Jackman et ses rouflaquettes font le job, mais on regrette qu'il n'y ait pas à ses côtés plus de nouveaux mutants aux superpouvoirs capables d'en mettre plein la vue.