Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Ecran Large
par Simon Riaux
Comme Hardy avant lui, le réalisateur se garde bien de nous livrer les clefs de ce personnage dont les conflits ne font que poindre, comme autant de guerres intérieures, d'affolants affleurements.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Dominique Widemann
Ici tout va s'emballer au fil de péripéties qui semblent mues de leurs forces propres, confiant au mélodrame intime l'étoilement de résonances plus profondes d'une société en mouvement.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
[POUR] Voir sur le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Fantastikindia
par Didi
"Trishna pourrait être considéré comme un nouvel avatar cinématographique d'un réalisateur anglais en Inde, comme Slumdog millionaire ou Indian Palace, pour ne citer que les derniers."
La critique complète est disponible sur le site Fantastikindia
Critikat.com
par Vincent Avenel
(...) Le film manque de ce qui faisait le sel de l'adaptation de "Tristram Shandy" [par Michael Winterbottom] : un lien vers le cinéma qui soit autre chose qu'un simple exercice de style.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Metro
par Jérôme Vermelin
Inégal, le film de Michael Winterbottom est illuminé par la présence de Freida Pinto, la révélation de "Slumdog Millionnaire".
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Gérard Delorme
L'histoire de Trishna, prise au piège des sentiments et des conventions sociales, sonne creux. (...) Le véritable sujet du film semble être le tourisme tant le réalisateur se plaît à saisir l'atmosphère du Rajasthan (...). Freida Pinto, toujours très jolie, semble condamnée aux rôles de victimes passives.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
S'il est bien quelque chose de constant chez Winterbottom, c'est l'indigence de son style. Style, le mot est fort. Parlons plutôt d'une esthétique du rafraîchissement (d'écran), tant les plans sont soumis à une durée-étalon au-delà de laquelle ils ne s'aventurent jamais.
L'Express
par Julien Welter
Voir le site de l'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le résultat est peu convaincant : mise en scène pleine de tics, effet guide touristique, scénario attendu et situations parfois grotesques.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Jean-Luc Wachthausen
Un gentil mélo sentimental.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les premières séquences sont prometteuses. (...) Hélas, les personnages sont moins convaincants que leur environnement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Une bonne idée de départ que l'insatiable Winterbottom plombe, en s'acharnant avec complaisance sur son héroïne passive. La main lourde du destin est celle de Jay, pourtant brillamment interprété par Riz Ahmed.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
D'un côté, [Winterbottom] surcharge la tragédie en inventant un final encore plus tragique ; de l'autre, il recourt largement à l'improvisation, se contentant d'approximations (...). Point de vue politiquement correct en pilotage automatique : le versatile Winterbottom est fidèle à lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Olivier De Bruyn
(...) la richesse thématique de "Trishna" ne fait pas l'ombre d'un doute, mais le cinéaste, hélas, ne parvient que trop rarement à incarner son (ses) sujet(s) dans son scénario répétitif et sa mise en scène qui tente de dissimuler, derrière sa nervosité volontariste et sa fascination pour l'exotisme, une réelle absence de point de vue sur les personnages et les situations dramatiques.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Louis Guichard
[Les deux acteurs] restent un peu décoratifs, pris dans une imagerie de cartes postales raffinées, à la ville comme aux champs, et que seule la violence des gestes (tardive) viendra troubler.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Après tout, adapter, c'est trahir... Fallait-il pour autant aligner les clichés touristiques et esthétiques des publicités pour cosmétiques ? (...) Non !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
[CONTRE] Voir sur le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Un fourre-tout cinéphile allant du cinéma naturaliste à la Satyajit Ray aux excès bigarrés de Bollywood. Victime de ce grand écart, le film s'effondre, alourdi par une mise en scène qui privilégie la joliesse pittoresque (...) à la rugosité politique.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ecran Large
Comme Hardy avant lui, le réalisateur se garde bien de nous livrer les clefs de ce personnage dont les conflits ne font que poindre, comme autant de guerres intérieures, d'affolants affleurements.
L'Humanité
Ici tout va s'emballer au fil de péripéties qui semblent mues de leurs forces propres, confiant au mélodrame intime l'étoilement de résonances plus profondes d'une société en mouvement.
Studio Ciné Live
[POUR] Voir sur le site Studio Ciné Live.
Fantastikindia
"Trishna pourrait être considéré comme un nouvel avatar cinématographique d'un réalisateur anglais en Inde, comme Slumdog millionaire ou Indian Palace, pour ne citer que les derniers."
Critikat.com
(...) Le film manque de ce qui faisait le sel de l'adaptation de "Tristram Shandy" [par Michael Winterbottom] : un lien vers le cinéma qui soit autre chose qu'un simple exercice de style.
Metro
Inégal, le film de Michael Winterbottom est illuminé par la présence de Freida Pinto, la révélation de "Slumdog Millionnaire".
Première
L'histoire de Trishna, prise au piège des sentiments et des conventions sociales, sonne creux. (...) Le véritable sujet du film semble être le tourisme tant le réalisateur se plaît à saisir l'atmosphère du Rajasthan (...). Freida Pinto, toujours très jolie, semble condamnée aux rôles de victimes passives.
Cahiers du Cinéma
S'il est bien quelque chose de constant chez Winterbottom, c'est l'indigence de son style. Style, le mot est fort. Parlons plutôt d'une esthétique du rafraîchissement (d'écran), tant les plans sont soumis à une durée-étalon au-delà de laquelle ils ne s'aventurent jamais.
L'Express
Voir le site de l'Express.
La Croix
Le résultat est peu convaincant : mise en scène pleine de tics, effet guide touristique, scénario attendu et situations parfois grotesques.
Le Figaroscope
Un gentil mélo sentimental.
Le Monde
Les premières séquences sont prometteuses. (...) Hélas, les personnages sont moins convaincants que leur environnement.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Une bonne idée de départ que l'insatiable Winterbottom plombe, en s'acharnant avec complaisance sur son héroïne passive. La main lourde du destin est celle de Jay, pourtant brillamment interprété par Riz Ahmed.
Les Inrockuptibles
D'un côté, [Winterbottom] surcharge la tragédie en inventant un final encore plus tragique ; de l'autre, il recourt largement à l'improvisation, se contentant d'approximations (...). Point de vue politiquement correct en pilotage automatique : le versatile Winterbottom est fidèle à lui-même.
Positif
(...) la richesse thématique de "Trishna" ne fait pas l'ombre d'un doute, mais le cinéaste, hélas, ne parvient que trop rarement à incarner son (ses) sujet(s) dans son scénario répétitif et sa mise en scène qui tente de dissimuler, derrière sa nervosité volontariste et sa fascination pour l'exotisme, une réelle absence de point de vue sur les personnages et les situations dramatiques.
Télérama
[Les deux acteurs] restent un peu décoratifs, pris dans une imagerie de cartes postales raffinées, à la ville comme aux champs, et que seule la violence des gestes (tardive) viendra troubler.
L'Obs
Après tout, adapter, c'est trahir... Fallait-il pour autant aligner les clichés touristiques et esthétiques des publicités pour cosmétiques ? (...) Non !
Studio Ciné Live
[CONTRE] Voir sur le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Un fourre-tout cinéphile allant du cinéma naturaliste à la Satyajit Ray aux excès bigarrés de Bollywood. Victime de ce grand écart, le film s'effondre, alourdi par une mise en scène qui privilégie la joliesse pittoresque (...) à la rugosité politique.