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Son film terrifiant s’impose comme un récit total. D’une sobriété absolue, il s’articule sur un excellent scénario (écrit avec Emilie Frèche et Antoine Lacomblez), il restitue l’angoisse, l’incertitude, la terreur avec un crescendo parfaitement maîtrisé.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Il souffle sur ce film un ton de documentaire. Le talent de Zabou Breitman, Pascal Elbé, Jacques Gamblin et Sylvie Testud renforce la véracité du propos. Un film bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Bouleversant, implacable et sans haine, tel est 24 jours...mené par Alexandre Arcady comme un thriller tragique, jusqu'au bout de l'attente monstrueuse. Ce long-métrage "nécessaire" et "citoyen" comme l'a voulu le réalisateur, nous réveille et nous broie le coeur.
Avec une sobriété bienvenue, Arcady fait le choix de s'effacer derrière son abominable sujet. Au-delà de ce récit édifiant, il s'agit là de tirer la sonnette d'alarme afin qu'un tel drame ne se reproduise jamais plus.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Le film (...) plonge si fortement le spectateur au coeur de la famille que, comme elle, on se prend à espérer la libération d'Ilan dont on connaît pourtant le sort tragique. On peut regretter les plans serrés et les ralentis sur l'émotion d'une mère dévastée par le chagrin: l'affaire, odieuse et bouleversante ne nécessitait pas ces effets appuyés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
"24 jours, la vérité sur l'affaire Ilan Halimi" est un film efficace. Alexandre Arcady espère provoquer un "choc mémoriel" (...) il a reconstitué l'affaire, épousant résolument le point de vue de la mère d'Ilan.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Sans être brillant, “24 jours” a le mérite de se concentrer avec une certaine rigueur sur les faits, sans se laisser submerger par le discours ou contaminer par le romanesque.
Le réalisateur de l'efficace "Grand Pardon" serre d'abord son récit sur la famille effarée de la victime, (...) laisse dans l'ombre l'atroce calvaire du jeune homme torturé, ne livre que des informations parcellaires sur Fofana. Et ça marche. Parce que l'on compatit naturellement. Parce que les flics sont bons. Parce que le gang des barbares paraît plausible.
"24 jours" a le mérite de rappeler ce qui fait le caractère particulièrement odieux de ce crime qui fut si longtemps minoré par les policiers et les magistrats: la haine raciste et antisémite dans toute son horreur.
Si Arcady avait été sérieux avec les faits, s’il s’était tenu à cette "vérité" dont il se réclame, il lui aurait fallu - et pourquoi pas ? - bâtir son film dans la chronologie des événements tels qu’ils surgissaient.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Et on a beau fermer la bouche, on ne peut s'empêcher de vomir tout son saoul cette vision d'un cinéma pris en otage au service d'une dialectique immonde.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La méthode d’Alexandre Arcady pour dénoncer le caractère antisémite de l’affaire Ilan Halimi est de "tout" montrer, y compris l’irreprésentable. Un film qui nous rappelle involontairement quelques liens compliqués entre morale et cinéma.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Parisien
Ce thriller poignant de bout en bout dénonce avec force une barbarie contemporaine qu'on croyait impossible dans notre société.
Paris Match
Son film terrifiant s’impose comme un récit total. D’une sobriété absolue, il s’articule sur un excellent scénario (écrit avec Emilie Frèche et Antoine Lacomblez), il restitue l’angoisse, l’incertitude, la terreur avec un crescendo parfaitement maîtrisé.
Elle
Il souffle sur ce film un ton de documentaire. Le talent de Zabou Breitman, Pascal Elbé, Jacques Gamblin et Sylvie Testud renforce la véracité du propos. Un film bouleversant.
L'Obs
Arcady voulait faire de cette tragédie un devoir de mémoire. Il a brillamment réussi.
Le Journal du Dimanche
Bouleversant, implacable et sans haine, tel est 24 jours...mené par Alexandre Arcady comme un thriller tragique, jusqu'au bout de l'attente monstrueuse. Ce long-métrage "nécessaire" et "citoyen" comme l'a voulu le réalisateur, nous réveille et nous broie le coeur.
Metro
Avec une sobriété bienvenue, Arcady fait le choix de s'effacer derrière son abominable sujet. Au-delà de ce récit édifiant, il s'agit là de tirer la sonnette d'alarme afin qu'un tel drame ne se reproduise jamais plus.
Télé 7 Jours
Alexandre Arcady livre une oeuvre utile et puissante qui donne à réfléchir sur les ravages de la haine et de l'antisémitisme.
TéléCinéObs
Le casting est criant de vérité. La mère d'Ilan est superbement incarnée par Zabou Breitman, tout en douleur indicible.
La Croix
Le film (...) plonge si fortement le spectateur au coeur de la famille que, comme elle, on se prend à espérer la libération d'Ilan dont on connaît pourtant le sort tragique. On peut regretter les plans serrés et les ralentis sur l'émotion d'une mère dévastée par le chagrin: l'affaire, odieuse et bouleversante ne nécessitait pas ces effets appuyés.
Le Monde
"24 jours, la vérité sur l'affaire Ilan Halimi" est un film efficace. Alexandre Arcady espère provoquer un "choc mémoriel" (...) il a reconstitué l'affaire, épousant résolument le point de vue de la mère d'Ilan.
Les Fiches du Cinéma
Sans être brillant, “24 jours” a le mérite de se concentrer avec une certaine rigueur sur les faits, sans se laisser submerger par le discours ou contaminer par le romanesque.
Positif
Le réalisateur de l'efficace "Grand Pardon" serre d'abord son récit sur la famille effarée de la victime, (...) laisse dans l'ombre l'atroce calvaire du jeune homme torturé, ne livre que des informations parcellaires sur Fofana. Et ça marche. Parce que l'on compatit naturellement. Parce que les flics sont bons. Parce que le gang des barbares paraît plausible.
Première
"24 jours" a le mérite de rappeler ce qui fait le caractère particulièrement odieux de ce crime qui fut si longtemps minoré par les policiers et les magistrats: la haine raciste et antisémite dans toute son horreur.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Libération
Si Arcady avait été sérieux avec les faits, s’il s’était tenu à cette "vérité" dont il se réclame, il lui aurait fallu - et pourquoi pas ? - bâtir son film dans la chronologie des événements tels qu’ils surgissaient.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Ecran Large
Et on a beau fermer la bouche, on ne peut s'empêcher de vomir tout son saoul cette vision d'un cinéma pris en otage au service d'une dialectique immonde.
Télérama
Un message parfaitement légitime sur le fond mais très maladroit dans la forme.
aVoir-aLire.com
La méthode d’Alexandre Arcady pour dénoncer le caractère antisémite de l’affaire Ilan Halimi est de "tout" montrer, y compris l’irreprésentable. Un film qui nous rappelle involontairement quelques liens compliqués entre morale et cinéma.