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8 critiques presse
Le Monde
par Yvonne Baby
Avec une réelle virtuosité technique et un sens de l'action, du rythme, il joue de la violence, de la démesure et il fait du western une étrange aventure tragi-comique. 13/03/1968
Le Monde
par Jean-François Rauger
Modèle d'intelligence, de virtuosité, d'humour et de violence baroque, Le Bon, la Brute et le Truand vient clore magistralement la fameuse "trilogie des dollars". Il est sans doute temps que l'on y reconnaisse un grand moment du cinéma moderne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Entre commedia dell'arte et tragédie, un western génialement stylisé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Edgar Hourrière, Marianne Spozio
Leone a pulvérisé les codes du genre, avec son style à lui dont la grammaire baroque se décline à partir d'un attirail de règles immuables : plans-séquences étirés en longueur, immenses silences, utilisation du grand angle, zooms arrière et travellings à profusion, le tout soutenu par une musique lancinante, celle de son compère Ennio Morricone. C'est la révolution.
Cahiers du Cinéma
par Sylvie Pierre
L'astuce du film, sa plus belle invention, consiste en une dissymétrie de l'ironie appliquée aux étiquettes des personnages (…) N°200_201, avri-mai 1968
Positif
par L.S.
Le ton de Le Bon, la brute et le truand, a ainsi le mérite (…) de retrouver les accents et les détours du récit picaresque, où les héros changent de morale avec désinvolture (…) N°95, mai 1968
L'Humanité
par S.L.
Ce qui me gêne, dans le film de Sergio Leone, c'est le coktail des genres. 13/04/1968
Télérama
par C.-J.P.
On ne peut même pas dire qu'il se complaît dans l'abjection. Il s'y vautre avec une joie maligne, qui, par moments, devient communicative. 24/03/1968
Le Monde
Avec une réelle virtuosité technique et un sens de l'action, du rythme, il joue de la violence, de la démesure et il fait du western une étrange aventure tragi-comique. 13/03/1968
Le Monde
Modèle d'intelligence, de virtuosité, d'humour et de violence baroque, Le Bon, la Brute et le Truand vient clore magistralement la fameuse "trilogie des dollars". Il est sans doute temps que l'on y reconnaisse un grand moment du cinéma moderne.
Les Inrockuptibles
Entre commedia dell'arte et tragédie, un western génialement stylisé.
aVoir-aLire.com
Leone a pulvérisé les codes du genre, avec son style à lui dont la grammaire baroque se décline à partir d'un attirail de règles immuables : plans-séquences étirés en longueur, immenses silences, utilisation du grand angle, zooms arrière et travellings à profusion, le tout soutenu par une musique lancinante, celle de son compère Ennio Morricone. C'est la révolution.
Cahiers du Cinéma
L'astuce du film, sa plus belle invention, consiste en une dissymétrie de l'ironie appliquée aux étiquettes des personnages (…) N°200_201, avri-mai 1968
Positif
Le ton de Le Bon, la brute et le truand, a ainsi le mérite (…) de retrouver les accents et les détours du récit picaresque, où les héros changent de morale avec désinvolture (…) N°95, mai 1968
L'Humanité
Ce qui me gêne, dans le film de Sergio Leone, c'est le coktail des genres. 13/04/1968
Télérama
On ne peut même pas dire qu'il se complaît dans l'abjection. Il s'y vautre avec une joie maligne, qui, par moments, devient communicative. 24/03/1968