Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
"4h44" n'est pas un film de plus sur l'apocalypse, mais le plus beau jamais réalisé sur l'apothéose.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Pour accompagner l'apocalypse, Abel Ferrara substitue aux grandes orgues une petite musique de chambre bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Gilles Esposito
La fin du monde, encore? Toujours. Mais on ne saurait s'en plaindre, le film d'Abel Ferrara s'imposant comme le plus bel opus de la vague actuelle aux côtés de "Melancholia".
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Transfuge
par Jakuta Alikavazovic
Si "4h44" est agité de soubresauts, il est tout sauf un film convulsif. Ni pathos, ni nihilisme paroxystique.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
L'homme [Abel Ferrara] a de beaux gestes, un sens toujours inné de la bande-son, et, parfois sort de sa torpeur de sage écolo fraîchement converti pour nous livrer des visions d'inquiétude puissantes.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
L'Humanité
par Vincent Ostria
Beau travail, mais on peut regretter que Ferrara soit devenu un artiste respectable qui renie son passé sulfureux.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
L'apocalypse selon Abel : le parfait contrepied du "Melancholia" de Lars von Trier, soit une petite affaire intime, presque ordinaire. Mineur mais touchant, jusque dans ses naïvetés et faiblesses.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Julien Gester
Il y a dans ce tableau une infinie douceur, un goût retrouvé des corps et du filmage de la chair.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Mehdi Omaïs
Une recette octroyant à la fin de l'humanité un visage sobre.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Alain Spira
Au plus près des corps et des coeurs, le réalisateur fait ses adieux à l'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Face à l'émouvante Shanyn Leigh, l'extraordinaire Willem Dafoe confirme, s'il en était besoin, la complicité fertile qui le lie au cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jérémie Couston
Ce pied de nez aux explosions hollywoodiennes (...), ce parti pris anti spectaculaire, confère au film une forme de sérénité, de gravité, qui rend ces derniers gestes encore plus précieux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Alice Leroy
(...) en s'inscrivant dans le huis-clos d'un loft new-yorkais, "4h44" regarde avec distance les images de la catastrophe et [...] en se polarisant autour d'un couple de hipsters qui n'ont pas l'étoffe de héros, il situe l'apocalypse sur le terrain de l'intimité, quitte à courir le risque de basculer dans le mortel ennui de ce prosaïsme domestique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Ecran Fantastique
par Nathalie Dassa
"4h44" est intéressant sous sa forme proche du théâtre cinématographique où l'amour d'un couple, qui vit ses derniers instants, atteint son paroxysme (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir sur le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Excessif
par Geoffrey Crete
Ferrara pensait offrir une apocalypse anticonformiste, mais il rappelle simplement que d'autres l'ont fait avant lui, et mieux.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le dispositif aurait pu fonctionner si ce film pourtant assez court ne se transformait en un ennuyeux verbiage à la philosophie superficielle.
Positif
par Fabien Baumann
(...) on ne s'attendait pas à cet exercice de contrition bouddhiste, (...) de mortification écologique. (...) Qu'est devenue la noire et nerveuse intensité du cinéma de Ferrara ?
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Bernard Achour
Écrit à l'eau bénite, le scénario sermonne à tout va, passe totalement à côté du sujet, émeut deux minutes (...) et dégage à l'arrivée l'inimitable parfum des nanars auteuristes.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Geoffrey Crete
L'antithèse de la fin du monde version blockbuster est un vague huis clos aride, où les gens ne savent plus trop comment occuper leurs dernières heures.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Ecran Large
par Simon Riaux
Quand on voit ce que 2012 inspire à Lars Von Trier et aujourd'hui à Abel Ferrara, on regrette 1969.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Parisien
par Alain Grasset
(...) malgré sa brièveté, 82 minutes, ce "4h44" s'étire en longueur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cahiers du Cinéma
"4h44" n'est pas un film de plus sur l'apocalypse, mais le plus beau jamais réalisé sur l'apothéose.
Les Inrockuptibles
Pour accompagner l'apocalypse, Abel Ferrara substitue aux grandes orgues une petite musique de chambre bouleversante.
Mad Movies
La fin du monde, encore? Toujours. Mais on ne saurait s'en plaindre, le film d'Abel Ferrara s'imposant comme le plus bel opus de la vague actuelle aux côtés de "Melancholia".
Transfuge
Si "4h44" est agité de soubresauts, il est tout sauf un film convulsif. Ni pathos, ni nihilisme paroxystique.
Charlie Hebdo
L'homme [Abel Ferrara] a de beaux gestes, un sens toujours inné de la bande-son, et, parfois sort de sa torpeur de sage écolo fraîchement converti pour nous livrer des visions d'inquiétude puissantes.
L'Humanité
Beau travail, mais on peut regretter que Ferrara soit devenu un artiste respectable qui renie son passé sulfureux.
Les Fiches du Cinéma
L'apocalypse selon Abel : le parfait contrepied du "Melancholia" de Lars von Trier, soit une petite affaire intime, presque ordinaire. Mineur mais touchant, jusque dans ses naïvetés et faiblesses.
Libération
Il y a dans ce tableau une infinie douceur, un goût retrouvé des corps et du filmage de la chair.
Metro
Une recette octroyant à la fin de l'humanité un visage sobre.
Paris Match
Au plus près des corps et des coeurs, le réalisateur fait ses adieux à l'humanité.
TéléCinéObs
Face à l'émouvante Shanyn Leigh, l'extraordinaire Willem Dafoe confirme, s'il en était besoin, la complicité fertile qui le lie au cinéaste.
Télérama
Ce pied de nez aux explosions hollywoodiennes (...), ce parti pris anti spectaculaire, confère au film une forme de sérénité, de gravité, qui rend ces derniers gestes encore plus précieux.
Critikat.com
(...) en s'inscrivant dans le huis-clos d'un loft new-yorkais, "4h44" regarde avec distance les images de la catastrophe et [...] en se polarisant autour d'un couple de hipsters qui n'ont pas l'étoffe de héros, il situe l'apocalypse sur le terrain de l'intimité, quitte à courir le risque de basculer dans le mortel ennui de ce prosaïsme domestique.
L'Ecran Fantastique
"4h44" est intéressant sous sa forme proche du théâtre cinématographique où l'amour d'un couple, qui vit ses derniers instants, atteint son paroxysme (...).
Studio Ciné Live
Voir sur le site Studio Ciné Live.
Excessif
Ferrara pensait offrir une apocalypse anticonformiste, mais il rappelle simplement que d'autres l'ont fait avant lui, et mieux.
La Croix
Le dispositif aurait pu fonctionner si ce film pourtant assez court ne se transformait en un ennuyeux verbiage à la philosophie superficielle.
Positif
(...) on ne s'attendait pas à cet exercice de contrition bouddhiste, (...) de mortification écologique. (...) Qu'est devenue la noire et nerveuse intensité du cinéma de Ferrara ?
Première
Écrit à l'eau bénite, le scénario sermonne à tout va, passe totalement à côté du sujet, émeut deux minutes (...) et dégage à l'arrivée l'inimitable parfum des nanars auteuristes.
TF1 News
L'antithèse de la fin du monde version blockbuster est un vague huis clos aride, où les gens ne savent plus trop comment occuper leurs dernières heures.
Ecran Large
Quand on voit ce que 2012 inspire à Lars Von Trier et aujourd'hui à Abel Ferrara, on regrette 1969.
Le Parisien
(...) malgré sa brièveté, 82 minutes, ce "4h44" s'étire en longueur.