Ce troisième volet est un brin en dessous des deux précédents. On regrette le vase clos, la fin un peu facile peut-être. On s'attendais ici à l'introduction d'un nouvel amour, d'une nouvelle étape, qui n'est en fait que les enfants. Cependant, Klapisch est à l'image de lui-même dans ce film, simple dans sa mise en scène et plus que jamais inscrit dans un cadre bobo, où l'argent semblent pour certains être un leitmotiv, et n'est jamais pour les autres, un obstacle. En cela le film est un peu utopiste. Toujours est-il que le film est un feel-good movie (très à la mode) réussit, qui parlera plus aux trentenaires et aux plus âgés, qu'à ceux, plus jeunes, qui n'ont pas d'enfants. Peu importe, le film est jalonné d'un humour léger et impose une réplique culte spoiler: : "Mais, c'est ma bite là, Martine !" . Quelle va être la suite ?
Allez tous voir ce film c'est un pur régal! on se sent vraiment heureux une fois qu'on la vu...! il est vraiment à la hauteur des attentes! vraiment n'hésitez pas une seule seconde!! quel plaisir de les revoir! et de tout façon Cédric Klapisch et tout ses collaborateurs (acteurs assistants, producteurs etc ) c'est une équipe de winner! ET n'hésitez surtout pas à acheter la bande originale du film les musiques sont EXTRAS!! encore bravo!!
Et voilà, à trop vouloir en faire on se casse la figure. Une série de scènes racoleuses, un thème à la mode : l'homosexualité, les familles éclatées, ne suffisent pas à faire un bon film. De plus on a une impression de déjà vu, l'écrivain qui est en train d'écrire ce qu'il vit, le méchant agent de l'immigration... je me suis presque ennuyé.
Toutes les émotions y passent. Tous les mots pourraient être utilisés pour décrire ce véritable casse tête chinois qui en est un de par son titre mais réellement de par son histoire. Les acteurs encore plus matures que jamais incarnent d'autant plus leurs personnages. Selon moi le meilleur de la trilogie. Je le conseille vivement !!!
Klapisch conforme sa réputation de maître absolu du cliché et des personnages en carton-pâte. Ce film était une torture à regarder, de l'inanité brute, des dialogues niais qui se veulent profonds, un film pour rassurer les bobos superficiels et leur faire croire que leur vie est subtile.
Un film pour cloturer le regard (dans la vie et dans le temps) sur une generation. Une generation qui a grandi/vieilli, suivant la parallèle des pas, de Romain Duris. Le film est sympa comme tout, assez rigolo sur la mise en scène décalée du réalisateur. Romain Duris est vraiment un bon acteur, et il le prouve encore en rejouant du rejoué, en cherchant à ne pas rechauffer de trop un film qui inspire un peu trop au rechauffé. Cela dit, le rechauffé à le parfum de la nostalgie. Et de la bonne nostalgie... Avec une envie de donner un peu de bonheur dans un script, en voulant nier au possible la dramaturgie avec des faux drames et des vrais drames de vie. Bref... C'est un casse tête. Peut être pas aussi bien sculpté que les deux films précédents, mais dont la forme chaotique est tellement sympa (et tellement optimiste) qu'on peut l'aimer telle qu'elle est.
C'est fait films de potes... Et j'entend pas seulement les personnages... Mais les acteurs, le realisateur et ses actrices. Ils se sont fait plaisir. Et pour couronner le tout dans la ville où tout est possible... Destination de globetrotters qui symbolisent totalement le patchwork fonctionnel : New York. C'est l'endroit (et franchement le seul endroit au monde) où on peut se dire que la vie citadine a son propre charme. L'analyse de la société américaine, à l'image des sociétés occidentales aujourd'hui, est tellement juste que le film devient un reflet de ce que les generations futures vont vivre (et vivent déjà). Partir ailleurs... Parler d'autres langues... Se debrouiller au pied des grattes-ciel... Courir pour sauver ceux qu'on aime... Revivre et aimer... Un regard en arrière... Et observer les fantômes du futur... Bref...
C'est ce que l'on vit déjà aujourd'hui. Non pas dans un Erasmus et au rythme de notre vie d'étudiant... Mais au quotidien. Et c'est ce qui attend nos enfants.
Vu en avant-première, j'aurais dû m'abstenir surtout vu le prix des places ! Quelle déception ! Romain Duris en long en large et en travers, on voit peu le personnage de Wendy (et aucun des amis des 2 premiers films que j'aurai aimé retrouver) et les trois personnages féminins sont devenus chiants visiblement. Le film manque cruellement d'humour, de finesse, de rythme. C'est long, on s'ennuie, même si on retrouve parfois quelques idées de l'Auberge Espagnole (scènes ou musiques) en moins bien.
C'est franchement nul, je me suis beaucoup ennuyée malgré les actrices que j'aime beaucoup tous les clichés sont là : homosexualité, séparation du couple, chinois, mariage arrangé etc ....
aucune imagination pour le metteur en scène, quel ennui .....
Voici donc le troisième volet de la saga initiée par Cédric Klapisch en 2002 avec L'auberge espagnole, suivie par Les poupées russes en 2005. Ce nouveau film était-il indispensable ? On est loin, malheureusement, de la qualité des deux premiers. La mise en scène et l'écriture du réalisateur se sont bien...
Cédric Klapisch nous ravit une fois de plus avec ce troisième opus des (més)aventures amoureuse de son Xavier de héros. Moins pétaradant que les deux premiers, ce Casse-Tête chinois semble plus mûr que ses frères aînés, en apparente conformité avec l’âge et la situation familiale et matérielle des personnages. Pourtant, le film reste aussi loufoque, facétieux, poétique, avec en prime un supplément de poésie.