Note moyenne
3,4
19 titres de presse
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20 Minutes
L'humour est omniprésent dans ce troisième volet où les héros nous font partager des vies qui jonglent entre amours, boulots et enfants. Le quatuor dynamique aborde la quarantaine avec un sourire qu'on partage. Vivement une suite...
Le Journal du Dimanche
Un film vivant comme jamais, bordélique en diable, joyeux et bourré d'énergie (...) Irrésistible.
Le Parisien
Dans un quadruple salto scénaristique, Klapisch boucle avec pétillance cette trilogie qui s’interroge sur tous les aspects du couple moderne. On ne va pas chinoiser : ce n’est que du bonheur.
Marianne
Un "feel good movie". Il n'y a pas de mal à se faire du bien.
Metro
Cédric Klapisch orchestre une comédie réjouissante où homoparentalité, immigration et reconnaissance paternelle sont conjuguées dans un "Casse-tête chinois" explosif. N'en déplaise aux cyniques, on en ressort avec l'euphorisant désir de repartir à zéro.
Positif
Ce beau film de Klapisch (...) à la singularité des lieux de tournage (...) à la saveur de l'interprêtation.
Elle
A la fois plus jeune dans sa forme et plus mûr sur le fond, ce "Casse-tête chinois", tourné entre plusieurs portes, deux villes et trois femmes, réserve aux spectateurs un dénouement de choix.
Première
Les évolutions des comédiens collent parfaitement et sans artifices à celles de leurs doubles à l’écran, et cette réussite est belle à voir.
TéléCinéObs
Xavier a grandi ; pas le cinéma de Klapisch qui n’a de cesse de replonger son alter-ego dans le joyeux bordel de l’adulescence. C’est une fois de plus ce qui fait son charme.
L'Express
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Les Fiches du Cinéma
Après deux films ratés, Klapisch retrouve un peu de bonne humeur auprès de ses personnages fétiches. Mais une certaine fraîcheur s'est perdue.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
On savait Cédric Klapisch habile et engagé. Le voilà devenu léger et utopiste.
aVoir-aLire.com
Cette fresque générationnelle porte en elle tous les travers inhérents au cinéma de Klapisch : une tendre ingénuité, une certaine coquetterie artistique, des facilités d’écritures, la dangereuse silhouette des illusions bourgeoises...
Critikat.com
(...) "Casse-tête chinois" suit finalement un programme très balisé, sans surprise ni folie.
La Croix
Décevant bazar new yorkais (...) Cédric Klapisch exploite le filon de L’Auberge espagnole dans un troisième volet qui doit beaucoup à la facilité.
TF1 News
Le regard reste généreux, bienveillant, même lorsque les personnages se montrent immatures, égoïstes, inconscients. Le vrai défaut de "Casse-tête chinois" réside dans les facilités d'écriture et l'incapacité à créer de nouveaux personnages et de nouveaux enjeux.
Cahiers du Cinéma
Pour un cycle qui n’a cessé de réclamer des nouveaux horizons et de nouveaux départs, cet épisode de trop n’a guère plus d’ampleur qu’une sitcom en vase clos.
L'Obs
Cédric Klapisch, qui, à force de multiplier les intrigues et de surajouter les figures de son "Casse-tête chinois", place les spectateur dans la position de l'oie qu'on gave.