Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Sa vision pessimiste est contrebalancée par une mise en scène originale (animation, témoignages de profs). On met une très bonne note à ce film instructif.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Laure Beaudonnet
"Detachment" invoque assurément la subjectivité de son public, et s'il parvient à résonner, il devient le miroir d'une incommensurable tristesse.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Christophe Carrière
"Detachment" raconte l'enseignement, la transmission, le mal-être, le désespoir même, avec un tact hors du commun. Et avec Adrien Brody, James Caan, Marcia Gay Harden, acteurs premiers de la classe, eux.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Loin des films américains qui font de la violence scolaire un spectacle, Tony Kaye montre une réalité difficile avec un grand respect (...). Le réalisateur filme de manière sensible, (...) s'autorise l'insertion d'images animées, de flash-back en Super 8, de métaphores poétiques.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Adrien Brody n'avait pas été aussi bon depuis "Le Pianiste". (...) Il n'y a plus attachant que ce "Detachment".
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Marianne
par Isabelle Curtet-Poulner
"Detachment" (...) est une oeuvre noire, sombre, qui laisse sur le flanc. Une histoire jalonnée de réflexions existentielles (...). Le tout filmé avec un mouvement étrangement instable et des compositions très picturales (...). Tony Kaye interroge un monde au bord de la disparition.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Metro
par Mehdi Omaïs
Adrien Brody livre une composition subtile, influencée par son propre père qui fut professeur d'histoire dans le quartier du Queens, à New-York.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
CinemaTeaser
par Ilan Ferry
Nostalgiques du "Cercle des poètes disparus", oubliez : "Detachment" ne fait pas dans la guimauve pédagogue.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Cet "Entre les murs" nihiliste prend à la gorge malgré une mise en scène qui abuse parfois d'effets stylisés. Forcément interpelé par le sujet (...), Adrien Brody signe une performance aussi subtile que juste.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jean-François Rauger
"Detachment" fonctionne sur une série de saynètes, pas toujours follement originales (...). La qualité de l'interprétation, notamment les rôles "d'adultes" tenus par Adrian Brody, Marcia Gay Harden ou James Caan, conjure le danger de sécheresse didactique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
Sorte de pendant américain à " Entre les murs ", de Laurent Cantet, mais encore plus réaliste, " Detachment " offre en tout cas à Adrien Brody un rôle solide (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
L'auteur du controversé "American History X" explore un terrain périlleux : la solitude inhérente au monde moderne. "Detachment" est finalement moins une énième dénonciation du système scolaire qu'un parent pas si lointain du "Shame" de Steve McQueen...
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La rédaction
(...) Tony Kaye défend son point de vue avec vigueur. Mais aussi avec un certain maniérisme dans une mise en scène qui se surcharge d'effets esthétisants, flashbacks, animation, cadrages, ralentis, comme pour faire oublier la dureté du propos.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Gérard Delorme
"Detachment" est plus qu'un énième film de salle de classe (...). Ses défauts évidents (situations et personnages conventionnels) sont largement rattrapés par ses qualités (...). Adrien Brody [est] dans son meilleur rôle depuis longtemps (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Excessif
par Romain Le Vern
(...) malgré la conviction de Tony Kaye et de ses comédiens, [le film] reste un semi-échec : entre les soliloques face caméra, la stylisation outrancière, (...) et les bonnes intentions propres à la catéchèse sociologique, le résultat n'évite pas la démagogie ni le pathos.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) le film s'avère conventionnel, (...). Restent les effets de style (...). Purs écrans de fumée pour faire croire à une certaine modernité du propos et/ou du style. Mais on n'est pas dupe. Tony Kaye (...) n'a pas une approche très novatrice de la sociologie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un catalogue de clichés outrés et de situations limite.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Grégory Valens
Comme il est agaçant de voir un film survoler un sujet captivant sans le traiter réellement ! (...) La mise en scène est à l'avenant (...) sans jamais viser à l'unité stylistique.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Patchwork surchargé mêlant l'âpreté du nouvel Hollywood des 70's à une esthétique arty très 90's.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
Adrien Brody cherche désespérément un grand rôle dans un grand film. Ce ne sera pas encore pour cette fois-ci. (...) Et le réalisateur (...) est resté accro aux effets visuels tape-à- l'oeil - flash-back très flashy sur le trauma fondateur du héros...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Archi-complaisant dans sa contemplation fascinée de la catastrophe, le film de Tony Kaye, mélange d'effets pseudo-documentaires et de stylisation outrancière, agace autant par sa lourdeur que par son ambiguïté.
Critikat.com
par Théo Ribeton
"Detachment" tapine pendant une interminable heure et demie en quête d'un bouc émissaire, et n'est finalement rien de moins qu'une grossière bouillie abjectement démonstrative et voyeuriste.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Bruno Icher
La facture du film, en forme de clip interminable, achève de mettre les nerfs en pelote.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Sa vision pessimiste est contrebalancée par une mise en scène originale (animation, témoignages de profs). On met une très bonne note à ce film instructif.
Ecran Large
"Detachment" invoque assurément la subjectivité de son public, et s'il parvient à résonner, il devient le miroir d'une incommensurable tristesse.
L'Express
"Detachment" raconte l'enseignement, la transmission, le mal-être, le désespoir même, avec un tact hors du commun. Et avec Adrien Brody, James Caan, Marcia Gay Harden, acteurs premiers de la classe, eux.
La Croix
Loin des films américains qui font de la violence scolaire un spectacle, Tony Kaye montre une réalité difficile avec un grand respect (...). Le réalisateur filme de manière sensible, (...) s'autorise l'insertion d'images animées, de flash-back en Super 8, de métaphores poétiques.
Le Figaroscope
Adrien Brody n'avait pas été aussi bon depuis "Le Pianiste". (...) Il n'y a plus attachant que ce "Detachment".
Marianne
"Detachment" (...) est une oeuvre noire, sombre, qui laisse sur le flanc. Une histoire jalonnée de réflexions existentielles (...). Le tout filmé avec un mouvement étrangement instable et des compositions très picturales (...). Tony Kaye interroge un monde au bord de la disparition.
Metro
Adrien Brody livre une composition subtile, influencée par son propre père qui fut professeur d'histoire dans le quartier du Queens, à New-York.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
CinemaTeaser
Nostalgiques du "Cercle des poètes disparus", oubliez : "Detachment" ne fait pas dans la guimauve pédagogue.
Le Journal du Dimanche
Cet "Entre les murs" nihiliste prend à la gorge malgré une mise en scène qui abuse parfois d'effets stylisés. Forcément interpelé par le sujet (...), Adrien Brody signe une performance aussi subtile que juste.
Le Monde
"Detachment" fonctionne sur une série de saynètes, pas toujours follement originales (...). La qualité de l'interprétation, notamment les rôles "d'adultes" tenus par Adrian Brody, Marcia Gay Harden ou James Caan, conjure le danger de sécheresse didactique.
Le Parisien
Sorte de pendant américain à " Entre les murs ", de Laurent Cantet, mais encore plus réaliste, " Detachment " offre en tout cas à Adrien Brody un rôle solide (...).
Les Fiches du Cinéma
L'auteur du controversé "American History X" explore un terrain périlleux : la solitude inhérente au monde moderne. "Detachment" est finalement moins une énième dénonciation du système scolaire qu'un parent pas si lointain du "Shame" de Steve McQueen...
Ouest France
(...) Tony Kaye défend son point de vue avec vigueur. Mais aussi avec un certain maniérisme dans une mise en scène qui se surcharge d'effets esthétisants, flashbacks, animation, cadrages, ralentis, comme pour faire oublier la dureté du propos.
Première
"Detachment" est plus qu'un énième film de salle de classe (...). Ses défauts évidents (situations et personnages conventionnels) sont largement rattrapés par ses qualités (...). Adrien Brody [est] dans son meilleur rôle depuis longtemps (...).
Excessif
(...) malgré la conviction de Tony Kaye et de ses comédiens, [le film] reste un semi-échec : entre les soliloques face caméra, la stylisation outrancière, (...) et les bonnes intentions propres à la catéchèse sociologique, le résultat n'évite pas la démagogie ni le pathos.
L'Humanité
(...) le film s'avère conventionnel, (...). Restent les effets de style (...). Purs écrans de fumée pour faire croire à une certaine modernité du propos et/ou du style. Mais on n'est pas dupe. Tony Kaye (...) n'a pas une approche très novatrice de la sociologie.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Inrockuptibles
Un catalogue de clichés outrés et de situations limite.
Positif
Comme il est agaçant de voir un film survoler un sujet captivant sans le traiter réellement ! (...) La mise en scène est à l'avenant (...) sans jamais viser à l'unité stylistique.
TéléCinéObs
Patchwork surchargé mêlant l'âpreté du nouvel Hollywood des 70's à une esthétique arty très 90's.
Télérama
Adrien Brody cherche désespérément un grand rôle dans un grand film. Ce ne sera pas encore pour cette fois-ci. (...) Et le réalisateur (...) est resté accro aux effets visuels tape-à- l'oeil - flash-back très flashy sur le trauma fondateur du héros...
Cahiers du Cinéma
Archi-complaisant dans sa contemplation fascinée de la catastrophe, le film de Tony Kaye, mélange d'effets pseudo-documentaires et de stylisation outrancière, agace autant par sa lourdeur que par son ambiguïté.
Critikat.com
"Detachment" tapine pendant une interminable heure et demie en quête d'un bouc émissaire, et n'est finalement rien de moins qu'une grossière bouillie abjectement démonstrative et voyeuriste.
Libération
La facture du film, en forme de clip interminable, achève de mettre les nerfs en pelote.