Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Leïla Kilani fonce tête baissée dans une sorte de chaos vital d'où peu de films reviendraient indemnes. Que "Sur la planche" produise un geste d'un tel éclat et d'une telle radicalité à l'heure des grands changements que l'on sait en fait assurément un des films-étalons – au sens le plus sauvage du terme – du jeune cinéma arabe.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ce film bancal, d'une imperfection désirable, recèle de fait une magie noire susceptible de conquérir le coeur du public : pêche d'enfer, gang de jeunes actrices explosives, hold-up poétique. (...) vous obtenez [une] sorte de petit diamant brut.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Un des trésors de ces filles est la parole : un flow d'enfer qui électrise le spectateur. [..] Galvanisant et tragique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Un polar électrisant [...] Qui dit polar, dit menace, et celle-ci pèse du début à la fin de "Sur la planche", parce que Badia aime le bord du plongeoir au-dessus du gouffre, [...] tout en faisant mine de disserter sur l'art de se tenir à carreau.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Chronic'art.com
par Vincent Garreau
En répétant chaque jour son aliénante chorégraphie ouvrière, Badia n'est jamais très loin de la transe, et s'échappe dans des flux de dialogues poétiques et syncopés donnant à la misère son propre langage, la truffant de métaphores qui ressemblent, dans sa bouche, à des bouffées délirantes, ou bien des reprises d'air. Sans conteste, l'un des plus beaux personnages féminins de ce début d'année.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Natacha Seweryn & Benoît Smith
La force de "Sur la planche" est d'avoir su (...) faire du décor et des espoirs de la " zone franche " un enjeu de cinéma, tout en ne cessant d'accompagner son héroïne jusque dans ses retranchements.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
"Sur la planche" est plein d'énergie, de cris et d'envie de cinéma. Le film est passionnant parce qu'il sait manier le romanesque et le réel, la péripétie et la vérité.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Dominique Widemann
Documentariste habituée à traquer les rues et à saisir ce qui surgit, [Leïla Kilani] confie le commentaire psychologique à une ville de pluie et de nuit, au décor factice de la zone franche, sature l'espace du film de ces vies aliénées.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Évitant le pittoresque touristique, "Sur la planche" nous confronte, avec son élocution syncopée, à une urgence vitale et à une réalité sociale violente.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Vincent Thabourey
La première grande réussite de "Sur la planche" réside dans la compression du temps et de l'espace. (...) Mais la prise de risque est jouable au regard de la deuxième grande qualité du film : la qualité de son casting. La puissance de ce lancé collectif transforme alors ce caillou de réel en une fascinante météorite cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Danel
Dans ce portrait percutant d'une certaine jeunesse marocaine d'aujourd'hui, la réalisatrice inclut le monde entier. Sans folklore et avec une violence inouïe, son constat abrupt fait mouche et fait mal.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Forte impression de vérité - presque comme si le film était tourné en live. Ce dévoilement du réel, Leïla Kilani a voulu l'habiller des oripeaux du polar (...). C'était inutile : jusque-là toujours surprenant, le récit se banalise, patine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
[Le personnage] ne s'embarrasse pas de séduire (...) les spectateurs. (...) Cette distance rend plus pesante la lenteur du récit, jalonné par la répétition des jours. Reste néanmoins l'intensité des personnages (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Marie-noelle Tranchant
Un thriller social qui joue sur l'urgence et la mobilité, avec une certaine efficacité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Un portrait de femme quelque peu répétitif dans son scénario, mais magnifié par une mise en scène électrique.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Metro
par Mehdi Omaïs
Le dispositif, trop radical, finit hélas par asphyxier l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Cahiers du Cinéma
Leïla Kilani fonce tête baissée dans une sorte de chaos vital d'où peu de films reviendraient indemnes. Que "Sur la planche" produise un geste d'un tel éclat et d'une telle radicalité à l'heure des grands changements que l'on sait en fait assurément un des films-étalons – au sens le plus sauvage du terme – du jeune cinéma arabe.
Le Monde
Ce film bancal, d'une imperfection désirable, recèle de fait une magie noire susceptible de conquérir le coeur du public : pêche d'enfer, gang de jeunes actrices explosives, hold-up poétique. (...) vous obtenez [une] sorte de petit diamant brut.
Les Inrockuptibles
Un des trésors de ces filles est la parole : un flow d'enfer qui électrise le spectateur. [..] Galvanisant et tragique.
Libération
Un polar électrisant [...] Qui dit polar, dit menace, et celle-ci pèse du début à la fin de "Sur la planche", parce que Badia aime le bord du plongeoir au-dessus du gouffre, [...] tout en faisant mine de disserter sur l'art de se tenir à carreau.
Chronic'art.com
En répétant chaque jour son aliénante chorégraphie ouvrière, Badia n'est jamais très loin de la transe, et s'échappe dans des flux de dialogues poétiques et syncopés donnant à la misère son propre langage, la truffant de métaphores qui ressemblent, dans sa bouche, à des bouffées délirantes, ou bien des reprises d'air. Sans conteste, l'un des plus beaux personnages féminins de ce début d'année.
Critikat.com
La force de "Sur la planche" est d'avoir su (...) faire du décor et des espoirs de la " zone franche " un enjeu de cinéma, tout en ne cessant d'accompagner son héroïne jusque dans ses retranchements.
L'Express
"Sur la planche" est plein d'énergie, de cris et d'envie de cinéma. Le film est passionnant parce qu'il sait manier le romanesque et le réel, la péripétie et la vérité.
L'Humanité
Documentariste habituée à traquer les rues et à saisir ce qui surgit, [Leïla Kilani] confie le commentaire psychologique à une ville de pluie et de nuit, au décor factice de la zone franche, sature l'espace du film de ces vies aliénées.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Évitant le pittoresque touristique, "Sur la planche" nous confronte, avec son élocution syncopée, à une urgence vitale et à une réalité sociale violente.
Positif
La première grande réussite de "Sur la planche" réside dans la compression du temps et de l'espace. (...) Mais la prise de risque est jouable au regard de la deuxième grande qualité du film : la qualité de son casting. La puissance de ce lancé collectif transforme alors ce caillou de réel en une fascinante météorite cinématographique.
Première
Dans ce portrait percutant d'une certaine jeunesse marocaine d'aujourd'hui, la réalisatrice inclut le monde entier. Sans folklore et avec une violence inouïe, son constat abrupt fait mouche et fait mal.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Forte impression de vérité - presque comme si le film était tourné en live. Ce dévoilement du réel, Leïla Kilani a voulu l'habiller des oripeaux du polar (...). C'était inutile : jusque-là toujours surprenant, le récit se banalise, patine.
La Croix
[Le personnage] ne s'embarrasse pas de séduire (...) les spectateurs. (...) Cette distance rend plus pesante la lenteur du récit, jalonné par la répétition des jours. Reste néanmoins l'intensité des personnages (...).
Le Figaroscope
Un thriller social qui joue sur l'urgence et la mobilité, avec une certaine efficacité.
TéléCinéObs
Un portrait de femme quelque peu répétitif dans son scénario, mais magnifié par une mise en scène électrique.
Metro
Le dispositif, trop radical, finit hélas par asphyxier l'émotion.