Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce huis clos entre un père affectueux et sa fille atteinte d’un virus incurable qui va inexorablement la transformer en zombie est filmé à hauteur humaine. Schwarzie révèle une facette plus fragile de son talent dans ce film d’horreur intimiste et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Femme Actuelle
par Cathy Bernheim
Tendresse et détresse : un rôle en or pour Shwarzie, cerné par des émules de The Walking Dead.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
L'Express
par Eric Libiot
Du gore version film d'auteur. Drame intimiste et œil dans le potage. Un miracle. (...) Henry Hobson (...) raconte l'amour comme un dernier rempart d'un monde qui se décompose. Le cœur y est à nu. Et la présence d'Arnold n'y change rien; c'est très réussi.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un film de zombies apocalyptique, où Arnold Schwarzenegger, de retour, apparaît, bien loin du Terminator qu’il fut, d’une étonnante humanité.
Libération
par Clémentine Gallot
Obéissant aux codes du genre (scènes d’automutilation…), le cinéaste sacrifie aux griseries de l’entertainment un regard qu’il rêve contemplatif, au milieu duquel trône la vieille carcasse du Gouvernator, silhouette lasse de colosse et fascinant vestige dans ce monde en ruines.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Mehdi Omaïs
Pur film de genre, "Maggie" permet cette fois à Schwarzie de jouer sur une partition très subtile, le dévoilant plus touchant que jamais dans un registre où on ne l’attendait pas. Fort d’une expressivité totalement inespérée, il parvient à transmettre toute la détresse d’un père forcé de faire face à la maladie de sa fille.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Télé 2 semaines
par Thomas Colpaert
Voilà l'une des productions les plus originales vues depuis le début de l'année ! Jusqu'alors créateur de génériques (on lui doit notamment ceux du "Sherlock Holmes" de Guy Ritchie ou de "Blanche-Neige et le Chasseur"), Henry Hobson frappe fort pour son premier long-métrage.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Hobson renouvelle habilement les thèmes de films de zombie. (...) Une approche originale, émouvante et mélancolique, qui permet à Arnold Schwarzenegger de nous livrer l'une de ses meilleures performances.
CNews
par La Rédaction
Même s’il ressemble plus à un drame familial qu’à l’un des films de George A. Romero (La nuit des morts-vivants) où les zombies sont assoiffés de sang, ce long-métrage met en lumière la fragilité et la vulnérabilité des êtres.
Closer
par La Rédaction
Un Schwarzy plus sombre que jamais.
Critikat.com
par Ursula Michel
"Maggie" traite le mythe avec une originalité de regard revigorant, ce qui dans l’uniformisation actuelle de la figure zombiesque (...) est une proposition bienvenue.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Inabouti mais attachant, un film de zombie traversé par une infinie mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Noémie Luciani
Interrogeant l'éternelle angoisse du zombie dans l'intime relation père-fille, "Maggie" ne va pas très loin. Il ne stagne pas non plus, construisant efficacement, en quelques images de grisaille, son ambiance triste et un peu vague à l'envers du grand spectacle de cinéma qu'offrent les morts-vivants.
Mad Movies
par Jean-Baptiste Herment
Ça aurait pu être bouleversant, mais le film se contente de survoler son sujet. Reste quelques belles séquences.
Première
par Christophe Narbonne
Ambiance mortifère aux couleurs désaturées, jeu au ralenti des acteurs, sérieux de l’intrigue, science du maquillage dégueu… Hobson fait tout pareil, mais en moins bien. Pour se démarquer un peu, le cinéaste anglais joue la carte du contre emploi en offrant à Schwarzenegger le rôle le plus profond de sa carrière. Et ça marche.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par La Rédaction
Au delà du pur film de zombies (on pense à "The Walkind Dead"), il y a une atmosphère, une délicatesse, dégagées par la relation entre le père (Schwarzie, impec dans un contre-emploi) et sa fille.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le virage indépendant d'Arnold Schwarzenegger est certes anecdotique, mais non dénué de charme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Ecran Fantastique
par Nathalie Dassa
(...) cette relation pourtant sensible et délicate, focalisée sur l'accompagnement d'un proche vers la mort, peine à s'imposer face à l'homogénéité du récit. A trop vouloir flirter avec le contemplatif, "Maggie" contourne son sujet initial et s'essouffle littéralement, à l'exemple du râle de son héroïne suicidaire.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Arnold Schwarzenegger se frotte à un registre plus dramatique dans ce thriller d’auteur apocalyptique. Et il est plutôt convaincant, sobre et émouvant en père qui apprend à gérer la mort à venir de son enfant. Le film, où il ne se passe finalement pas grand-chose, l’est beaucoup moins.
Ouest France
par Pierre Fornerod
(...) Schwarzy s'est aussi donné le rôle de producteur. Il y a sûrement pris beaucoup de plaisir, au milieu des frissons. Sans pour autant dynamiser l'intérêt de cette énième aventure post-apocalyptique.
Positif
par Jean-Loup Bourget
Peu prodigue en effets chocs, le film joue néanmoins sur des procédés convenus (suspense, musique redondante, éclairage minimal, caméra tremblée...) qui desservent l'originalité relative du propos.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Il y a, dans ce énième film de zombie, quelques bonnes idées. (...). La relation entre le père et sa fille n'est pas suffisamment nourrie pour être crédible.
TF1 News
par Romain Le Vern
"Maggie" arrive après une série comme "The Walking Dead" où là aussi le mot "zombie" n'est pas prononcé. Et souffre fatalement de la comparaison; il y a moins d'action, de densité, d'émotion, d'intuition, d'humanité, de déchirement. Reste la curiosité de voir Schwarzy aux antipodes de tout.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Frédéric Strauss
Entre horreur et mélodrame, le réalisateur tente un mélange rarement séduisant, le plus souvent bancal et simpliste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Ce huis clos entre un père affectueux et sa fille atteinte d’un virus incurable qui va inexorablement la transformer en zombie est filmé à hauteur humaine. Schwarzie révèle une facette plus fragile de son talent dans ce film d’horreur intimiste et émouvant.
Femme Actuelle
Tendresse et détresse : un rôle en or pour Shwarzie, cerné par des émules de The Walking Dead.
L'Express
Du gore version film d'auteur. Drame intimiste et œil dans le potage. Un miracle. (...) Henry Hobson (...) raconte l'amour comme un dernier rempart d'un monde qui se décompose. Le cœur y est à nu. Et la présence d'Arnold n'y change rien; c'est très réussi.
Le Dauphiné Libéré
Un film de zombies apocalyptique, où Arnold Schwarzenegger, de retour, apparaît, bien loin du Terminator qu’il fut, d’une étonnante humanité.
Libération
Obéissant aux codes du genre (scènes d’automutilation…), le cinéaste sacrifie aux griseries de l’entertainment un regard qu’il rêve contemplatif, au milieu duquel trône la vieille carcasse du Gouvernator, silhouette lasse de colosse et fascinant vestige dans ce monde en ruines.
Metro
Pur film de genre, "Maggie" permet cette fois à Schwarzie de jouer sur une partition très subtile, le dévoilant plus touchant que jamais dans un registre où on ne l’attendait pas. Fort d’une expressivité totalement inespérée, il parvient à transmettre toute la détresse d’un père forcé de faire face à la maladie de sa fille.
Télé 2 semaines
Voilà l'une des productions les plus originales vues depuis le début de l'année ! Jusqu'alors créateur de génériques (on lui doit notamment ceux du "Sherlock Holmes" de Guy Ritchie ou de "Blanche-Neige et le Chasseur"), Henry Hobson frappe fort pour son premier long-métrage.
Télé 7 Jours
Hobson renouvelle habilement les thèmes de films de zombie. (...) Une approche originale, émouvante et mélancolique, qui permet à Arnold Schwarzenegger de nous livrer l'une de ses meilleures performances.
CNews
Même s’il ressemble plus à un drame familial qu’à l’un des films de George A. Romero (La nuit des morts-vivants) où les zombies sont assoiffés de sang, ce long-métrage met en lumière la fragilité et la vulnérabilité des êtres.
Closer
Un Schwarzy plus sombre que jamais.
Critikat.com
"Maggie" traite le mythe avec une originalité de regard revigorant, ce qui dans l’uniformisation actuelle de la figure zombiesque (...) est une proposition bienvenue.
Ecran Large
Inabouti mais attachant, un film de zombie traversé par une infinie mélancolie.
Le Monde
Interrogeant l'éternelle angoisse du zombie dans l'intime relation père-fille, "Maggie" ne va pas très loin. Il ne stagne pas non plus, construisant efficacement, en quelques images de grisaille, son ambiance triste et un peu vague à l'envers du grand spectacle de cinéma qu'offrent les morts-vivants.
Mad Movies
Ça aurait pu être bouleversant, mais le film se contente de survoler son sujet. Reste quelques belles séquences.
Première
Ambiance mortifère aux couleurs désaturées, jeu au ralenti des acteurs, sérieux de l’intrigue, science du maquillage dégueu… Hobson fait tout pareil, mais en moins bien. Pour se démarquer un peu, le cinéaste anglais joue la carte du contre emploi en offrant à Schwarzenegger le rôle le plus profond de sa carrière. Et ça marche.
Voici
Au delà du pur film de zombies (on pense à "The Walkind Dead"), il y a une atmosphère, une délicatesse, dégagées par la relation entre le père (Schwarzie, impec dans un contre-emploi) et sa fille.
aVoir-aLire.com
Le virage indépendant d'Arnold Schwarzenegger est certes anecdotique, mais non dénué de charme.
L'Ecran Fantastique
(...) cette relation pourtant sensible et délicate, focalisée sur l'accompagnement d'un proche vers la mort, peine à s'imposer face à l'homogénéité du récit. A trop vouloir flirter avec le contemplatif, "Maggie" contourne son sujet initial et s'essouffle littéralement, à l'exemple du râle de son héroïne suicidaire.
Le Journal du Dimanche
Arnold Schwarzenegger se frotte à un registre plus dramatique dans ce thriller d’auteur apocalyptique. Et il est plutôt convaincant, sobre et émouvant en père qui apprend à gérer la mort à venir de son enfant. Le film, où il ne se passe finalement pas grand-chose, l’est beaucoup moins.
Ouest France
(...) Schwarzy s'est aussi donné le rôle de producteur. Il y a sûrement pris beaucoup de plaisir, au milieu des frissons. Sans pour autant dynamiser l'intérêt de cette énième aventure post-apocalyptique.
Positif
Peu prodigue en effets chocs, le film joue néanmoins sur des procédés convenus (suspense, musique redondante, éclairage minimal, caméra tremblée...) qui desservent l'originalité relative du propos.
Studio Ciné Live
Il y a, dans ce énième film de zombie, quelques bonnes idées. (...). La relation entre le père et sa fille n'est pas suffisamment nourrie pour être crédible.
TF1 News
"Maggie" arrive après une série comme "The Walking Dead" où là aussi le mot "zombie" n'est pas prononcé. Et souffre fatalement de la comparaison; il y a moins d'action, de densité, d'émotion, d'intuition, d'humanité, de déchirement. Reste la curiosité de voir Schwarzy aux antipodes de tout.
Télérama
Entre horreur et mélodrame, le réalisateur tente un mélange rarement séduisant, le plus souvent bancal et simpliste.