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Violent, charnel, explicite et, en même temps, désamorcé par des ruptures quasi comiques à première vue inappropriées mais qui font l'originalité d'un Du Welz porté sur le surréalisme, "Alleluia" remue et fascine.
(...) "Alleluia" est une danse macabre et sexuelle puissante, un rituel dionysiaque qui s'organise autour de la rétention et de l'explosion des sens et de la violence.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'ambiance est glauque, sentiment renforcé par une image granuleuse. Quelques savoureux dialogues viennent heureusement détendre l'atmosphère de ce long-métrage déconseillé aux âmes sensibles.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
"Alleluia" demeure une proposition singulière et parfois fascinante, un film à la sensualité perverse à qui il ne manquait pas grand-chose pour côtoyer les chefs d’œuvre plastiques que sont "Sombre" ou "Under the Skin".
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Présentée comme une histoire d'amour fou, cette variation trash des Tueurs de la lune de miel tient plus du film crève-cœur uniformément désespéré et consciencieusement sale sur la solitude, la misère sexuelle, la laideur morale, éprouvant à regarder en raison de son jusqu'au-boutisme aveugle (...).
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Fabrice du Welz (Calvaire) s'inspire d'un fait divers américain des années 1940(...) pour fabriquer un gros thriller, entre hystérie, violence nauséeuse et bouffonnerie très noire. Résultat indigeste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
Violent, charnel, explicite et, en même temps, désamorcé par des ruptures quasi comiques à première vue inappropriées mais qui font l'originalité d'un Du Welz porté sur le surréalisme, "Alleluia" remue et fascine.
Positif
Le film frappe d'abord par son travail sur l'image (...) [l'autre] force du film est de tout subordonner à ses personnages et à leurs interprètes.
Ecran Large
Fabrice Du Welz devrait mettre tout le monde d'accord avec "Alleluia", hilarante descente aux enfers, emmenée par deux monstres amoureux.
Le Monde
(...) "Alleluia" est une danse macabre et sexuelle puissante, un rituel dionysiaque qui s'organise autour de la rétention et de l'explosion des sens et de la violence.
Le Parisien
L'ambiance est glauque, sentiment renforcé par une image granuleuse. Quelques savoureux dialogues viennent heureusement détendre l'atmosphère de ce long-métrage déconseillé aux âmes sensibles.
Mad Movies
Poisseux, drôle, dérangeant, chaotique... Le film ne demande pas à être aimé, plutôt à bousculer son public. Objectif largement rempli.
Première
Voici un film d'amour fou, un vrai, beau comme la rencontre, sur une table de dissection, entre Bonnie & Clyde et Luis Buñuel.
aVoir-aLire.com
Brut et brutal, le nouveau Fabrice du Welz retrouve la verve excessive de "Calvaire" et s’affirme comme une œuvre charnelle sans concession.
Critikat.com
"Alleluia" demeure une proposition singulière et parfois fascinante, un film à la sensualité perverse à qui il ne manquait pas grand-chose pour côtoyer les chefs d’œuvre plastiques que sont "Sombre" ou "Under the Skin".
L'Ecran Fantastique
(...) "Alleluia" est un film de genre d'auteur dont on espère qu'il trouvera son public en salles tant ce cinéma sincère mérite d'être soutenu.
Les Fiches du Cinéma
Formellement singulier et très bien interprété, “Alleluia” reste cependant trop léger et attendu pour vraiment convaincre.
TF1 News
Présentée comme une histoire d'amour fou, cette variation trash des Tueurs de la lune de miel tient plus du film crève-cœur uniformément désespéré et consciencieusement sale sur la solitude, la misère sexuelle, la laideur morale, éprouvant à regarder en raison de son jusqu'au-boutisme aveugle (...).
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Fabrice du Welz (Calvaire) s'inspire d'un fait divers américain des années 1940(...) pour fabriquer un gros thriller, entre hystérie, violence nauséeuse et bouffonnerie très noire. Résultat indigeste.