Avis : Les Infidèles - Page 2

INSUPPORTABLE du début à la fin. 2 quarantenaires qui se regarde le nombril toute la durée du film. Private jokes entre potes acteurs, aucun rire (ha si, 1) Dujardin arrête la comédie, pas fait pour ça. Lellouche un peu mieux dans ce style mais passez votre chemin quand même.

Quelques sketch marrant, mais au final pas terrible comme comédie... 7/20

Film à sketches réalisé à plusieurs, les Infidèles voudrait ressembler à une comédie italienne grinçante des 60's. ça, ça devait être la note d'intention car le résultat est une immonde merde, vulgaire, misogyne, prônant le mâle alpha et rabaissant la femme dans des recoins plutôt honteux, au mieux gênant. Bref, un film de beaufs, pour beaufs, fait par des beaufs.

Les Infidèles est vraiment une comédie HILARANTE, je m’attendé a un très bon film, et ba c'est juste une pure merveille, une vrai bouffé d'air fraiche. J'ai vraiment beaucoup rigolé et même toute la salle a rigolé. Ce film est juste énorme. En plus il traite sur un sujet pas commun, aucun film na traité le sujet de l’infidélité avec autant d'humour et a des moments complètements déjanté. Le film comme sur des chapeaux de route et ce finit d'une façon vraiment délirant et déjanté. Après ce film est remplit de scènes cocasse qui deviendrons culte, osé (sex: mais c'est tellement tordant et amusant), des scènes bien trouvé et des dialogue savoureux. Les acteurs sont très convaincants et très amusant et leur personnages sont attachant. Jean Dujardin est encore une fois exceptionnelle, unique et surtout hilarant, il est juste énorme. Voila ce film est un véritable plaisir. A voir absolument. Un énorme coup de cœur mais aussi un pur chef-d’œuvre.

"Les infidèles" veut clairement retrouver l'esprit grinçant des comédies italiennes qui mêlait critiques sociales et humour cynique et trivial.
Mais l'objectif est hors d'atteinte pour ce petit film de potes qui ne dépasse jamais le stade de la blague potache (trop rarement drôle et souvent lourde ou à côté de la plaque).

En un mot : inutile. Cela résume à mon avis parfaitement bien ce film. Il faut vraiment qu'on m'explique l’intérêt qu'il peut y avoir à montrer pendant deux heures des gens qui couchent à droite et à gauche, ou même qui se masturbent. Certains peuvent peut-être accrocher, moi pas. De plus, on dirait que Les Infidèles passe son temps à se chercher et à osciller entre la comédie et le drame. Et ce qui en ressort, c'est un profond ennui. Seuls deux des "sketchs" sont à mon goût corrects : celui avec Alexandra Lamy, qui est profond, juste, et extrêmement bien interprété, et celui de la réunion de tous les addicts au sexe, avec Sandrine Kiberlain, Manu Payet et Guillaume Canet, qui m'a amusé. Sinon, j'ai passé tout le reste du film à jeter des coups d'oeil à ma montre et à me demander pourquoi je continuais à regarder. Mais la palme du ridicule revient aux dernières minutes, lorsque Jean Dujardin et Gilles Lellouche découvrent soudainement qu'ils sont fous amoureux l'un de l'autre... Sans commentaires ! Bref, vous l'aurez compris, je n'ai pas du tout aimé Les Infidèles et je ne pourrais jamais trop vous conseillez de vous en éloignez, à moins que vous ayez envie de perdre deux heures de votre vie.

Alors pour ceux qui ne savaient pas, une petite précision s'impose. Moi qui ne le savais pas vraiment avant de rentrer en salle, j'avoue que ça m'a quelque peu déstabilisé. D'ailleurs, si le film avait pu l'indiquer un peu plus lisiblement, j'aurais bien apprécié car – chose peu commune - nos chers amis Dujardin et Lellouche ont décidé de constituer leur film d'un patchwork de petits sketchs plus ou moins indépendants, mais dans lesquels nos deux compères entendent jouer malgré tout les deux personnages principaux à chaque fois, même si c’est pour tenir des rôles différents ! Perturbant... isn't it ? Bon, je ne vous cacherai pas que, même après avoir vu le film, je ne peux pas m'empêcher de penser qu'ils auraient pu faire fusionner tous ces univers et tous ces personnages dans une seule et même histoire, car c'était loin d'être impossible, et cela aurait été plus clair, voire même plus fort. Je pense même que c'est le genre de détails qui aurait pu bien m'énerver si la seule raison à un tel choix avait été la facilité. Après tout, on se foule pas, on casse le rythme en permanence, et on va se cacher derrière le modèle de quelques comédies italiennes pour justifier le tout. Mais bon, visiblement ce qui semble avoir motivé essentiellement cette structure, c'est surtout l'envie manifeste de Dujardin et Lellouche de changer de peau toutes les dix minutes. A l'écran cela crève les yeux que ces deux là s'éclatent comme des bêtes, et finalement je ne leur en veux pas non plus car il faut bien avouer qu'ils sont énormes dans chacune des histoires. D'ailleurs, à bien y penser, je trouve que cet "Infidèles" ne s'en sort pas trop mal avec son format : chaque histoire sait se lancer tout de suite, chacune à son ton, son style, et surtout chacune parvient à trouver un angle d'attaque à la question de l'infidélité que j'ai toujours trouvé intéressant et pertinent. D'ailleurs, à jongler entre les rythmes et les genres, "Infidèles" trouve à mon sens une certaine forme de cohérence, et la fin parvient à donner cette unité, au moins de style, à ce film patchwork qui aurait pu ne pas tenir la route. Alors après, reste la question du fond. Saurez-vous ne pas vous offusquer de la liberté de ton ici adoptée ? personnellement, il m'en faut beaucoup pour me choquer si bien que l'aspect cru du film ne m'a pas dérangé un seul instant, au contraire il m'a bien faire rire. D'ailleurs, je trouve que ce film n'a d'osé que son visuel, car au niveau de sa morale et de ses histoires, je trouve au contraire que le film se veut bien sage et bien moral. Aussi paradoxal cela puisse paraître, je trouve même qu'en fin de compte cette comédie est loin d'être aussi grinçante qu'elle prétendait l'être. Au contraire, je l'a trouve bien gentille et jamais vraiment je n'ai ri jaune. D'ailleurs, je pourrais m'arrêter à cela : le format ne m'a jamais ennuyé et l'humour m'a souvent faire rire. Après tout, moi, c'est tout ce que je demande à une comédie. Même si les âmes sensibles devront peut-être s'abstenir, pour les autres, il me semble que le déplacement dans les salles obscures se justifient amplement...

Le film lorgne indubitablement sur les monstres qui reste sont modèle.Le sujet se prête largement au film a sketch,cependant les amorces d'idées retombes rapidement dans le cliché et le conventionnel.La comédie Italienne est bien plus cinglante et plus fine dans son approche que l'écriture balourde et parfois ringarde que nous servent lelouch et Dujardin,qui pour le deuxième est bien meilleur interprète qu'auteur.Pour le premier ce n'est ni l'un ni l'autre et encore moins réalisateur.

Un film à sketchs menè tambour battant par Jean Dujardin et Gilles Lellouche! Les deux compères (ègalement rèalisateur d'un sketch) sont les protagonistes de cette comèdie à l'italienne dans des histoires souvent poilantes filmèes par Emmanuelle Bercot, Fred Cavayè, Alexandre Courtes, Eric Lartigau et Michel Hazanavicius (qu'on ne prèsente plus depuis "The Artist") sur le thème de l'infidèlitè masculine! Le public a t-il ètè fidèle en allant voir ce film en fèvrier 2012 ? La rèponse est oui, avec 1 082 028 de spectateurs dès sa première semaine! Cette suite de sketchs inègaux est tantôt drôle, tantôt sombre, souvent crue mais toujours bien vue! Chacun choisira ses sketchs favoris comme celui des "Infidèles anonymes" avec une leçon de bonne conduite hilarante assènèe par une Sandrine Kiberlain pince-sans-rire! On n’oubliera pas de citer les ètonnants Manu Payet et Guillaume Canet qui amusent la galerie dans deux sketchs courts mais qui valent leur pesant d'or! Un pari gonflè donc et un rèsultat enthousiasmant, à rèserver à un public averti...

Un film français qui sors de "la normale", j'ai adoré le fait que ce film sois découper en petite histoires qui n'ont aucun rapport entre elles et le fait de voir nos deux acteurs principaux dans des scènes différentes. Franchement marrant et mal placé, Les Infidèles est à prendre au 100 degrés. Une bonne performance d'acteur et une durée plus que correcte. J'ai adoré la fin : spoiler: comme quoi a vouloir aller voir par ci par là on peut ne pas se douter de ce qu'il peut arriver.
Franchement voir Dujardin dans une scène comme celle la était vraiment comique.

regardez ce film si vous aussi vous êtes obsédé sexuel et que, comme Dujardin, vous passez votre temps, pantalon baissé à vous tirez sur la nouille, et surtout si ça ne vous gêne pas d'entendre des vulgarités toute les 20 secondes ... film pitoyable, vulgaire, j'ai envie de prendre Dujardin pour taper sur Lellouche et inversement, on devrait déconseiller ce film au moins de 16 ans et pas 12 ans, vu les scènes de sexe (sans compter les fesses et les seins qu'on voit) pathétique !

Bon après m'être retourné la tête dans tous les sens pour savoir où j'avais entendu la chanson "have a love" qui sert de générique (pour ceux que ça intéresse c'était dans le dernier film d'Amalric : Tournée), je peux enfin penser au film que je viens de voir. Et que dire ? Si ce n'est que comme tous les films à sketch c'est inégal (d'autant plus que c'est réalisé par plusieurs réalisateurs différents).
Alors le côté film de beaufs ou les beaufs a été judicieusement évité, c'est à dire que ce n'est pas un film qui est là pour brailler que coucher tout le temps avec n'importe qui c'est bien, au contraire c'est méchant avec les infidèles (lorsque ça ne se prend pas au sérieux d'une manière affligeante). On peut voir qu'en fait c'est des gens pathétiques, mais pourquoi parfois le raconter au premier degré ? c'est vraiment gênant à regarder. Je pense au sketch avec Dujardin avec son mono-sourcil, ou bien celui avec Lellouche qui sa tape une fille qui a bien dix ans de moins que lui. Certes les personnages sont pathétiques, mal dans leur peau, mais je trouve ça gênant de regarder ça, parce qu'ils échouent à les rendre simplement pathétiques, je ne peux pas regarder ça, je trouve ça trop nul, trop con et trop humiliant.
En fait le seul sketch que j'aime c'est celui avec Sandrine Kimberlain (que j'aime beaucoup par ailleurs), parce que là on a des mecs pathétiques et on peut en rire. Canet est génial, Dujardin aussi (d'ailleurs le court concernant son personnage qui a été coupé se ressent vraiment (pour des raisons débiles qui plus est), d'autant que le personnage qu'il interprété est génialement caricatural, une sorte de DSK).
Le premier et le dernier segment s'ils ne sont pas top ont au moins l'avantage de ne pas être trop chiant, parce que bon celui avec Lamy filmée en gros plan avec des zooms dégueulasses sur son visage, non merci. Et surtout ça veut péter plus haut que son cul et ça m'énerve, ce n'est pas le moment pour amorcer une réflexion sur le couple, surtout pas de cette manière là.
Enfin bon, c'est un film vraiment pas terrible dans son ensemble, il faut sauver le sketch sur la thérapie de groupe et jeter le reste. J'aurai aimé tout un film sur la thérapie de groupe, je trouve ça tellement drôle, parce que là on est dans la caricature, et ça ne tente pas de faire des réflexions sur le couple, sur l'âge, le temps qui passe, les relations homme/femme ou je ne sais quoi d'autre. On a juste une bande d'obsédé sexuels (ce que sont tous les hommes bien entendu (et les femmes aussi, sans doute, mais elles, elles le cachent)) et c'est tout simple.

Porté par ces acteurs phares (Dujardin, Lellouche) « Les infidèles » est un film qui se déclinent en sketchs sur le thème de l’infidélité, masculine principalement il faut l’avouer. Ce parti pris de séquences sans liens les unes avec les autres (hormis le sujet bien entendu) et mis en boite par différents réalisateurs, génère une hétérogénéité de valeur, certains étant très réussis d’autres moins, sans pour autant être mauvais. À mon humble avis le moins réussi est paradoxalement le dernier qui pourtant est le seul à avoir un lien avec un autre sketch (le premier du film) et qui part un peu dans le n’importe quoi en se détachant trop du sujet, ou peut-être en reprenant les personnages et situations du premier sans pour autant lui apporter quelque chose de plus ; on part dans une gaudriole un peu clichée sur les gays avec pour finir un clin d’œil appuyé à Siegfried et Roy, drôle sans plus et qui pourrait rater son coup si le spectateur ne les connaît pas. L’ensemble cependant se tient et fait souvent mouche dans ses différentes vues des hommes infidèles. La séquence du couple à la vie à l’écran Lamy-Dujardin en est la plus poignante (nous rappelant Chouchou et Loulou) et paradoxalement la seule qui ne fait pas appel à l’humour. Celle des infidèles anonymes et pour moi la plus drôle et permet à Sandrine Kiberlain de faire une de ses trop rares apparitions dans un registre comique qu’elle maîtrise pourtant. Un film pluriel dans ces intrigues, ces univers et ces acteurs qui permet une radiographie légère d’un phénomène assez intemporel – même si plus banal maintenant – et qui le fait avec justesse souvent et toujours une certaine tendresse pour ces personnages, ce qui montre l’ambivalence des gens face à un sujet qui fait souvent rire quand on n’est pas concerné et grincer des dents quand on l’est. À voir pour l’humour souvent plus fin qu’il n’y parait, la justesse des situations et des interprétations.

Le film le plus pourri que j ai jamais vu depuis des années, un film qui serre a rien, mal jouer enfin juste une horreur
je comprends pas le succès au cinema

C'est gras, c'est vulgaire, ça sent bon le vestiaire sportif du dimanche matin !
C'est sûrement pour ça que les critiques (souvent bien pensantes) tombent sur ce film à sketch qui malgré quelques inégalités et son lot de clichés assumés laisse au final des interrogations sur les relations hommes/femmes et surtout des répliques et des scènes cultissimes (les sexoliques anonymes est un véritable bijou).

Mention spéciale également à Hazanavicius avec son cadre loser et, surtout à Emmanuelle Bercot qui apporte une touche de réalisme et une réflexion plus profonde à l'ensemble.