Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Si l'effet de surprise a disparu de ce troisième long métrage, on aime toujours autant le bonhomme débrouillard faisant la nique à la bêtise et à l'intolérance.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Kirikou, à bientôt quinze ans, n'a pas pris une ride. Le petit garçon poursuit ses aventures dans une mise en scène en images de synthèse discrète, qui n'entame ni la beauté ni la magie des décors de Michel Ocelot.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Progressant en intensité à mesure que les histoires s'égrènent, le film insiste sur deux thèmes traversant toute l'oeuvre du cinéaste : l'accueil de l'étranger et la transmission par le conte.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Bien jolie façon de redire ces grandes leçons que les précédentes aventures du héros minuscule disaient déjà si simplement. Mais on ne se lasse pas de l'entendre une fois encore, portée par un nouvel air.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Michel Ocelot envoie de jolis messages sur le racisme ou l'amour. Le tout avec une animation, un graphisme et une mise en musique toujours aussi enchanteurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le rythme, les coloris dorés de l'univers de Kirikou conviennent à merveille à cet artiste cinéaste (Michel Ocelot), dans une expression de plénitude qui réchauffe le coeur.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Dans ce troisième numéro d'une franchise qui commence à avoir du plomb dans l'aile, la grâce s'est évanouie au profit de l'habitude. Reste que les enfants y trouvent encore leur compte.
Recyclant dans une 3D décorative l'ensemble de ses motifs (...) Michel Ocelot enchaîne sans aucun liant narratif ni sens du rythme cinq comptines globalement peu inspirées.
20 Minutes
Si l'effet de surprise a disparu de ce troisième long métrage, on aime toujours autant le bonhomme débrouillard faisant la nique à la bêtise et à l'intolérance.
Cahiers du Cinéma
Au-delà du jeu de masques qui identifie le créateur à son personnage, c'est bien sa capacité à renouveler un succès éprouvé qui fait la force du film.
Critikat.com
Kirikou, à bientôt quinze ans, n'a pas pris une ride. Le petit garçon poursuit ses aventures dans une mise en scène en images de synthèse discrète, qui n'entame ni la beauté ni la magie des décors de Michel Ocelot.
La Croix
Progressant en intensité à mesure que les histoires s'égrènent, le film insiste sur deux thèmes traversant toute l'oeuvre du cinéaste : l'accueil de l'étranger et la transmission par le conte.
Le Monde
Bien jolie façon de redire ces grandes leçons que les précédentes aventures du héros minuscule disaient déjà si simplement. Mais on ne se lasse pas de l'entendre une fois encore, portée par un nouvel air.
Le Parisien
Michel Ocelot envoie de jolis messages sur le racisme ou l'amour. Le tout avec une animation, un graphisme et une mise en musique toujours aussi enchanteurs.
Ouest France
Du beau travail, accompli et délicat, qui réjouira une nouvelle fois le cercle des amis de Kirikou. Mais pas seulement.
Positif
Le rythme, les coloris dorés de l'univers de Kirikou conviennent à merveille à cet artiste cinéaste (Michel Ocelot), dans une expression de plénitude qui réchauffe le coeur.
Première
(...) cette vision fantasmée de l'Afrique est mise au service d'un univers magique cohérent.
Télé 7 Jours
La beauté du graphisme à la main, alliée à la simplicité de contes pétris d'humanité, font de ce troisième volet un joli moment de cinéma.
TéléCinéObs
Le charme opère, toujours intact.
Les Fiches du Cinéma
Dans ce troisième numéro d'une franchise qui commence à avoir du plomb dans l'aile, la grâce s'est évanouie au profit de l'habitude. Reste que les enfants y trouvent encore leur compte.
TF1 News
"Kirikou et les hommes et les femmes" déborde d'humanité et devient une fugue en conte majeur où la musique est celle qui vient du coeur.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné live
Télérama
Outre l'impression de déjà-vu, même le plus ardent des "kirikoumanes" risque de trouver un peu longs certains récits un brin anodins.
Les Inrockuptibles
Recyclant dans une 3D décorative l'ensemble de ses motifs (...) Michel Ocelot enchaîne sans aucun liant narratif ni sens du rythme cinq comptines globalement peu inspirées.