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Parmi les traits communs à "Home" et à "L'Enfant d'en haut" sont l'excellente direction des acteurs, la fluidité du montage, l'absence de psychologisme et de jugement.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Ursula Meier est la grande cinéaste à suivre, sans esbroufe, mais toujours déconcertante. (...) Léa Seydoux, parfaite (...). On en sort le coeur broyé.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Évitant soigneusement les écueils du mélodrame, Ursula Meier analyse avec pertinence l'impact de l'argent sur les rapports humains. (...) [Elle] confirme avec ce métrage qui oscille entre fable et chronique familiale tout le bien que l'on pensait déjà d'elle.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
[Ursula Meier] surfe avec talent sur les pentes déjà balisées par les frères Dardenne, slalomant entre misère sociale et relation plus qu'ambiguë d'un frère et d'une soeur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Sans jamais tomber dans le misérabilisme ni devenir glauque, ou chercher à mettre la larme à l'oeil, [le] film s'inscrit dans une réalité et peut se lire comme une métaphore sociale.
(...) une exploration physique, atmosphérique, du cruel contraste entre l'en bas et l'en haut. (...) Tout cela [est] filmé sans pathos, au rasoir, sur les gestes, au plus près des personnages et au plus loin de l'imagerie touristique (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le film d'Ursula Meier explore, dans une veine assez réaliste, l'univers de la précarité. (...) Kacey Mottet Klein est époustouflant. (...). Dans ce conte moderne, [Léa Seydoux] ne ménage pas son physique avantageux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Bien que sa structure soit un brin trop visible, "L'Enfant d'en haut" est un film aussi poignant qu'instructif qui considère le spectateur avec... hauteur, mais sans jamais le prendre de haut.
Avec "L'Enfant d'en haut", Ursula Meier confirme brillamment sa capacité à peindre la force de survie de personnages qu'elle ne juge pas, (...) auxquels on s'attache, inexorablement.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Naturaliste et irréaliste, le film passe d'un genre à l'autre. (...) Scrutant les visages de ses (magnifiques) acteurs, (...) la réalisatrice nous entraîne derrière la façade. Elle tresse un film bouleversant d'indicibles chagrins sans larmes.
La critique complète est disponible sur le site Première
[La réalisatrice] emprunte les codes et les couleurs du conte pour décrire avec une rigueur bouleversante et tranquille la violence du monde sur fond de secret de famille.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ours d'argent mérité au dernier festival du Berlin. (...) Dans le cinéma d'Ursula Meier, le conte trouble toujours la surface du réel. (...) Constamment, la mise en scène, précise, aiguisée, crée l'inattendu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le contraste entre les deux univers est décrit de façon parfois un peu appuyée par la cinéaste, mais elle se révèle une directrice d'acteur consommée lorsqu'elle filme le jeune Kacey Mottet Klein, éblouissant de naturel.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dans la lignée des frères Dardenne, "L'Enfant d'en haut" manque d'un soupçon de personnalité. Il propose toutefois un drame social douloureux porté par le très prometteur Kacey Mottet Klein.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Cette fois, la cinéaste aborde à nouveau les dysfonctionnements familiaux, mais avec plus d'académisme, moins d'audace. (...) On ne peut toutefois lui retirer une patte singulière, ne serait-ce que dans sa façon de traiter la face cachée de ces anonymes (...). C'est bien observé, assez bien vu, et très bien joué.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Une fin plus évasive qu'ouverte achève d'ébrécher notre intérêt pour un film qui par ailleurs n'en manque pas, de la plastique de ses cadres aux compositions très réussies de ses acteurs principaux.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
"L'enfant d'en haut" est un conte moderne qui confronte deux mondes opposés, et où Ursula Meier accorde autant d'importance aux lieux qu'aux personnages.
Le Point
Voir le site du Point.
Positif
Parmi les traits communs à "Home" et à "L'Enfant d'en haut" sont l'excellente direction des acteurs, la fluidité du montage, l'absence de psychologisme et de jugement.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Elle
Ursula Meier est la grande cinéaste à suivre, sans esbroufe, mais toujours déconcertante. (...) Léa Seydoux, parfaite (...). On en sort le coeur broyé.
Excessif
Évitant soigneusement les écueils du mélodrame, Ursula Meier analyse avec pertinence l'impact de l'argent sur les rapports humains. (...) [Elle] confirme avec ce métrage qui oscille entre fable et chronique familiale tout le bien que l'on pensait déjà d'elle.
La Croix
(...) film impressionnant, tranchant comme la glace.
Le Figaroscope
[Ursula Meier] surfe avec talent sur les pentes déjà balisées par les frères Dardenne, slalomant entre misère sociale et relation plus qu'ambiguë d'un frère et d'une soeur.
Le Journal du Dimanche
Sans jamais tomber dans le misérabilisme ni devenir glauque, ou chercher à mettre la larme à l'oeil, [le] film s'inscrit dans une réalité et peut se lire comme une métaphore sociale.
Le Monde
(...) une exploration physique, atmosphérique, du cruel contraste entre l'en bas et l'en haut. (...) Tout cela [est] filmé sans pathos, au rasoir, sur les gestes, au plus près des personnages et au plus loin de l'imagerie touristique (...).
Le Parisien
Le film d'Ursula Meier explore, dans une veine assez réaliste, l'univers de la précarité. (...) Kacey Mottet Klein est époustouflant. (...). Dans ce conte moderne, [Léa Seydoux] ne ménage pas son physique avantageux.
Les Inrockuptibles
Bien que sa structure soit un brin trop visible, "L'Enfant d'en haut" est un film aussi poignant qu'instructif qui considère le spectateur avec... hauteur, mais sans jamais le prendre de haut.
Marianne
Avec "L'Enfant d'en haut", Ursula Meier confirme brillamment sa capacité à peindre la force de survie de personnages qu'elle ne juge pas, (...) auxquels on s'attache, inexorablement.
Metro
La relation [des personnages principaux] est auscultée avec tendresse et cruauté par Ursula Meier.
Ouest France
Une mise en scène toute en pudeurs et en retenues capte avec force délicatesse les élans de l'un [l'enfant] envers l'autre [sa soeur]. Et vice-versa.
Première
Naturaliste et irréaliste, le film passe d'un genre à l'autre. (...) Scrutant les visages de ses (magnifiques) acteurs, (...) la réalisatrice nous entraîne derrière la façade. Elle tresse un film bouleversant d'indicibles chagrins sans larmes.
Télé 7 Jours
Ursula Meier ("Home") signe un conte social cruel et livre le portrait d'une enfance en détresse. Sobre et poignant.
TéléCinéObs
[La réalisatrice] emprunte les codes et les couleurs du conte pour décrire avec une rigueur bouleversante et tranquille la violence du monde sur fond de secret de famille.
Télérama
Ours d'argent mérité au dernier festival du Berlin. (...) Dans le cinéma d'Ursula Meier, le conte trouble toujours la surface du réel. (...) Constamment, la mise en scène, précise, aiguisée, crée l'inattendu.
20 Minutes
Le contraste entre les deux univers est décrit de façon parfois un peu appuyée par la cinéaste, mais elle se révèle une directrice d'acteur consommée lorsqu'elle filme le jeune Kacey Mottet Klein, éblouissant de naturel.
CinemaTeaser
D'un pitch simplissime, Ursula Meier tire un récit plus complexe qu'il n'y paraît, et croque nos sociétés avec talent.
Critikat.com
"L'Enfant d'en haut" confirme le regard singulier d'Ursula Meier, peut-être un peu trop sûr de ses effets ce coup-ci.
Ecran Large
Dans la lignée des frères Dardenne, "L'Enfant d'en haut" manque d'un soupçon de personnalité. Il propose toutefois un drame social douloureux porté par le très prometteur Kacey Mottet Klein.
L'Express
Cette fois, la cinéaste aborde à nouveau les dysfonctionnements familiaux, mais avec plus d'académisme, moins d'audace. (...) On ne peut toutefois lui retirer une patte singulière, ne serait-ce que dans sa façon de traiter la face cachée de ces anonymes (...). C'est bien observé, assez bien vu, et très bien joué.
L'Humanité
Une fin plus évasive qu'ouverte achève d'ébrécher notre intérêt pour un film qui par ailleurs n'en manque pas, de la plastique de ses cadres aux compositions très réussies de ses acteurs principaux.
Les Fiches du Cinéma
"L'enfant d'en haut" est un conte moderne qui confronte deux mondes opposés, et où Ursula Meier accorde autant d'importance aux lieux qu'aux personnages.
Libération
Le conte aurait pu être sordide, il se révèle assez densément émouvant - mais aussi extrêmement adroit, sans doute un peu trop.
Cahiers du Cinéma
Ce cinéma paresseux et conformiste cherche surtout à garantir une forme de reconnaissance au fond plus sociale que cinéphilique.
Chronic'art.com
Ce n'est que son deuxième long métrage, et pourtant "L'Enfant d'en haut" marque déjà cruellement les limites du cinéma d'Ursula Meier.