Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette fresque brillante à la bande-son rock passe avec virtuosité de l'intime à des scènes de manifs impressionnantes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Monde
par Thomas Sotinel
Cet adolescent dans l'après-Mai trouve une place dans le monde, et c'est le cinéma qui la lui offre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Olivier Assayas nous transmet l'électricité d'une époque sans jamais l'idéaliser. Un film qui, avec une grande élégance, se donne mais ne s'explique pas.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
"Après mai" serait (...) une représentation, une recréation, une revisite distanciée et recomposée de la jeunesse du cinéaste. Et, disons-le simplement, un film superbe.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Aurélien Ferenczi
"Après Mai" touchera tous ceux et celles qui, un jour ou l'autre, se sont interrogés sur leur engagement dans la société, sur leur vie affective et professionnelle, et leur capacité à en modifier le cours.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Jean Roy
Le film nous a paru totalement désabusé dans sa reconstitution de la perte des illusions, mais nous a semblé simultanément fascinant dans le besoin qu'a l'auteur de rouvrir la plaie des causes perdues.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
C'est une des vertus du film d'Assayas que de rompre avec la doxa telle qu'elle s'exprimait alors.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le film se fait toujours plus enthousiasmant à mesure qu'il avance. (...) À la fois flottant et passionné comme peut l'être l'adolescence.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Le réalisateur réussit à faire place à l'intime, aux atermoiements amoureux, aux tâtonnements artistiques, aux amitiés qui se délitent (...) mention spéciale à Lola Creton, jolie brindille brune malmenée par le tourbillon contestataire. Mais qui ne plie jamais.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Hubert Lizé
Le point fort d'Assayas, c'est ce sens aigu du rythme, ce dynamisme au montage qui booste drôlement son récit. Du coup, le verbiage fumeux des protagonistes (...) paraît presque digeste.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Julien Gester
Plus spleenétique et tendre qu'effréné, le film accède à son meilleur lorsqu'il se resserre sur sa pente la plus intime.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
Evitant la bimbeloterie hippie, Olivier Assayas filme avec élégance et sensibilité les bouillonnements adolescents des "seventies".
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La rédaction
Le fruit de cette expérience très personnelle se ressent dans la justesse de la reconstitution et la pertinence des situations d'un récit toujours sensible et attachant.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Paris Match
par Alain Spira
Servi par de jeunes comédiens aussi inspirés qu'impliqués, mais desservi par un didactisme parfois pesant et par des scènes "militantes" qui alourdissent le rythme.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frédéric Foubert
Assayas capte les différentes mues à coups de panoramiques et de plans-séquences amples, très assurés, souvent majestueux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Transfuge
par Damien Aubel
Un film d'apprentissage, à l'esthétique poétique et raffinée, qui démonte les illusions de mai 68.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Rares sont les cinéastes contemporains capables de faire preuve d'une telle virtuosité et d'un tel sens des ambiances.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Critikat.com
par Sophia Collet
Dans cette quête de pérennité du mouvement (des idées, de l'enthousiasme), Assayas revient au coeur de sa propre obsession : comment saisir le mouvement sans le dissiper ?
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Metro
par Jérôme Vermelin
Si la forme est soignée, Olivier Assayas aurait gagné à se lâcher, à mettre davantage ses tripes sur la table, pour que l'émotion jaillisse de ce sujet si personnel.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Cet éternel " Que reste-t-il de nos vingt ans ? " est-il la seule question à poser quand on dresse le tableau d'un tel moment historique ? Pas sûr. La vraie question que la jeunesse de 1971 est en droit de nous poser, aujourd'hui, à tous, jeunes et moins jeunes, on l'entend dans le film. Elle est chantée par Soft Machine, mais pas vraiment reprise en choeur par Assayas : Why Are We Sleeping ?
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Express
par Eric Libiot
Quelques beaux moments mais surtout, un récit sans fluidité, un discours politique en forme de vignettes, collées ici ou là,(...) "Après mai est un désir de soi (...) davantage qu'un désir de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
TF1 News
par Romain Le Vern
Tout ce qu' [Olivier Assayas] raconte est passionnant. Le problème vient de l'illustration.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Il y a tout de même quelque chose d'absolument fascinant à imaginer que, penché sur son script, Assayas ne s'étouffe pas lui-même de rire en écrivant des choses comme : " J'vais partir à Londres, mon beau-père fait le late show de la tournée des Soft Machine ".
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
20 Minutes
Cette fresque brillante à la bande-son rock passe avec virtuosité de l'intime à des scènes de manifs impressionnantes.
Le Monde
Cet adolescent dans l'après-Mai trouve une place dans le monde, et c'est le cinéma qui la lui offre.
Les Fiches du Cinéma
Olivier Assayas nous transmet l'électricité d'une époque sans jamais l'idéaliser. Un film qui, avec une grande élégance, se donne mais ne s'explique pas.
Les Inrockuptibles
"Après mai" serait (...) une représentation, une recréation, une revisite distanciée et recomposée de la jeunesse du cinéaste. Et, disons-le simplement, un film superbe.
Télérama
"Après Mai" touchera tous ceux et celles qui, un jour ou l'autre, se sont interrogés sur leur engagement dans la société, sur leur vie affective et professionnelle, et leur capacité à en modifier le cours.
L'Humanité
Le film nous a paru totalement désabusé dans sa reconstitution de la perte des illusions, mais nous a semblé simultanément fascinant dans le besoin qu'a l'auteur de rouvrir la plaie des causes perdues.
L'Obs
C'est une des vertus du film d'Assayas que de rompre avec la doxa telle qu'elle s'exprimait alors.
La Croix
Le film se fait toujours plus enthousiasmant à mesure qu'il avance. (...) À la fois flottant et passionné comme peut l'être l'adolescence.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur réussit à faire place à l'intime, aux atermoiements amoureux, aux tâtonnements artistiques, aux amitiés qui se délitent (...) mention spéciale à Lola Creton, jolie brindille brune malmenée par le tourbillon contestataire. Mais qui ne plie jamais.
Le Parisien
Le point fort d'Assayas, c'est ce sens aigu du rythme, ce dynamisme au montage qui booste drôlement son récit. Du coup, le verbiage fumeux des protagonistes (...) paraît presque digeste.
Libération
Plus spleenétique et tendre qu'effréné, le film accède à son meilleur lorsqu'il se resserre sur sa pente la plus intime.
Marianne
Evitant la bimbeloterie hippie, Olivier Assayas filme avec élégance et sensibilité les bouillonnements adolescents des "seventies".
Ouest France
Le fruit de cette expérience très personnelle se ressent dans la justesse de la reconstitution et la pertinence des situations d'un récit toujours sensible et attachant.
Paris Match
Servi par de jeunes comédiens aussi inspirés qu'impliqués, mais desservi par un didactisme parfois pesant et par des scènes "militantes" qui alourdissent le rythme.
Première
Assayas capte les différentes mues à coups de panoramiques et de plans-séquences amples, très assurés, souvent majestueux.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Transfuge
Un film d'apprentissage, à l'esthétique poétique et raffinée, qui démonte les illusions de mai 68.
TéléCinéObs
Rares sont les cinéastes contemporains capables de faire preuve d'une telle virtuosité et d'un tel sens des ambiances.
Critikat.com
Dans cette quête de pérennité du mouvement (des idées, de l'enthousiasme), Assayas revient au coeur de sa propre obsession : comment saisir le mouvement sans le dissiper ?
Metro
Si la forme est soignée, Olivier Assayas aurait gagné à se lâcher, à mettre davantage ses tripes sur la table, pour que l'émotion jaillisse de ce sujet si personnel.
Cahiers du Cinéma
Cet éternel " Que reste-t-il de nos vingt ans ? " est-il la seule question à poser quand on dresse le tableau d'un tel moment historique ? Pas sûr. La vraie question que la jeunesse de 1971 est en droit de nous poser, aujourd'hui, à tous, jeunes et moins jeunes, on l'entend dans le film. Elle est chantée par Soft Machine, mais pas vraiment reprise en choeur par Assayas : Why Are We Sleeping ?
L'Express
Quelques beaux moments mais surtout, un récit sans fluidité, un discours politique en forme de vignettes, collées ici ou là,(...) "Après mai est un désir de soi (...) davantage qu'un désir de cinéma.
TF1 News
Tout ce qu' [Olivier Assayas] raconte est passionnant. Le problème vient de l'illustration.
Chronic'art.com
Il y a tout de même quelque chose d'absolument fascinant à imaginer que, penché sur son script, Assayas ne s'étouffe pas lui-même de rire en écrivant des choses comme : " J'vais partir à Londres, mon beau-père fait le late show de la tournée des Soft Machine ".