Note moyenne
3,1
10 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
L'Humanité
Fin réjouissante de vacances avec le nouveau film de Pascal Thomas, à déguster en salle comme on lit un roman sur le sable de la plage.
Le Journal du Dimanche
Le duo de détectives, inventé par Agatha Christie, est devenu [celui de Pascal Thomas], pour notre bonheur avec Catherine Frot et André Dussollier impeccablement complémentaires.
Le Parisien
On aime ces situations improbables, ces mimiques à la Hercule Poirot et, en dépit d'une ou deux petites séquences qui ralentissent la mécanique, cet humour casse-cou mâtiné d'inventions guillerettes.
Positif
Même si le film accuse de sévères baisses de rythme et surprend moins que les titres antérieurs, son humour et son refus revendiqué de l'esprit de sérieux assurent sa singularité et son charme.
Le Monde
Il s'en faut de beaucoup que ce programme, qui risque la désuétude en courant après la jeunesse d'esprit, soit vraiment rempli.
Les Fiches du Cinéma
Intrigue prétexte, énergie du couple Frot / Dussollier et mise en scène nonchalante : "Associés contre le crime..." reste un divertissement léger et érudit mais peine à se renouveler.
TéléCinéObs
[Pascal Thomas] met ici sa malice (...), l'art de prendre les choses au pied de la lettre (...), son mauvais esprit (...) au service d'une comédie qui prône les vertus de la gaieté et de la fessée, et assume à fond ses ambitions foutraques.
Télérama
Curieusement, plus Pascal Thomas adapte Agatha Christie, plus il se désintéresse du polar (...) Agatha est loin, mais ce n'est pas grave.
Critikat.com
Restent Frot et Dussolier, toujours impeccables. Cela suffit-il à acheter l'indulgence pour un film qui termine sur une note ridicule une trilogie de série noire érudite pourtant prometteuse ? Certes pas.
La Croix
Ce nouvel opus s'avère si insipide et peu enthousiasmant que seule l'extravagance des décors et des accoutrements préserve le spectateur de l'ennui le plus parfait.