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    Nebraska
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    3,9
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    226 critiques spectateurs

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    Nelly M.
    Nelly M.

    82 abonnés 525 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 mai 2014
    Les réfractaires voyant débarquer ces contrées perdues sur écran large et fixe, se diront "mortel"... Et mettront en veille ce cinéaste qui s'amuse ferme derrière ses acteurs, des silhouettes étasuniennes lourdingues autour du visage Ô combien naturel du supposé millionnaire (qui plus est, récompensé par la profession) ! Par contre les adeptes d'humour pince-sans-rire seront à la fête, de plain-pied dans le vide sidéral de cet environnement-là, entre bière et ragots autour du sexe, même le plus catholique. Obésité, amabilité et coups de poignard dans le dos, silences gênés ou non dits, signes de ralliement inattendus ... A déplorer juste quelques longueurs avant le fin mot, et encore... Pour le reste, notre quotidien contemporain hors balises y défile, le plus cru, le plus immonde. Sans maquillage pour finir... Et alors ? Le miracle est qu'on en sort guillerets, imprégnés de la démarche du patriarche, d'inquiétante à hilarante pour la postérité !
    Polly6789
    Polly6789

    42 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 avril 2014
    Un vrai feel-good movie qui vaut le coup. Bien mieux que The Descendants. critique à lire en cliquant sur le lien
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 mars 2014
    Je me suis laissée emporter par ce film touchant, humain et plein d'humour. Les acteurs jouent vraiment bien. Je le conseille vivement!
    Greatoliver4
    Greatoliver4

    33 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mai 2014
    Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu un film de ce niveau, ça change des films sans aucun intérêt et aucune saveur qu'Hollywood nous propose en permanence. Scénario simple en apparence mais en réalité avec une grande profondeur. Réalisation exceptionnelle, d'une qualité remarquable, un jeu d'acteurs époustouflant. Beaucoup de choses sont à tirer de ce film qui est sans aucun doute un très grand film, il restera dans les mémoires. Réflexion sur de nombreux sujets liés, relation père fils, parents enfants, le rêve (américain), la force, la persévérance, l'entêtement, l'empathie, la vieillesse, la vulgarité, l'humanisme, la finesse, la situation économique et sociale sinistrée de cet Etat, les préjugés, la cupidité, l'égoïsme, l'individualisme, la revanche sur les autres...

    Laissez tomber les films pour idiot (300 et autre navet industrialo-industriel Hollywoodien) et allez vivre un vrai film de cinéma, incontournable !
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 187 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 avril 2014
    Mouirf… Bon, on va dire qu’en fin de compte ça reste gentil et que c’est bien là l’essentiel... OK, Bruce Dern incarne un papy grincheux fort sympathique… OK aussi, je suis sûr qu’Alexander Payne y a mis toute sa sincérité, ce qui fait qu’au final ça passe plutôt bien (parce que oui, Alexander Payne ça reste un mec qui sait mener sa barque)… Mais bon, ce film j’ai l’impression de l’avoir un peu déjà vu ailleurs. Il y a un peu (beaucoup) de « l’Histoire vraie » de Lynch ; de la même manière que j’ai cru reconnaître des personnages d’un peu partout ailleurs mais sans savoir vraiment lesquels. Au fond il n’y a rien d’original là-dedans. Même le noir et blanc semble un cache-misère tant il est injustifié et finalement assez mal foutu (peu de contrastes d’où une atténuation des lignes et de la profondeur : bref, je ne suis vraiment pas fan…) C’est la banale histoire du papa et de son fiston ; du sens de l’héritage ; du crépuscule de la vie… Alors du coup – je ne m’en cache pas – je me suis un peu langui face à ce film. Mais bon, malgré tout je lui attribue quand même la note de « 3 étoiles » parce qu’il y a toujours un petit sourire tiré ça et là ; toujours une petite dimension sympathique à cette affaire pour que je reste posé et que je me laisse prendre par cette gentille atmosphère. Rien de révolutionnaire donc, mais comme quoi, la sympathie rend tendre…
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    231 abonnés 882 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 avril 2014
    Est-ce la peur de partir un jour à la retraite ou bien un amour inconsidéré pour les personnes âgées totalement barrés qui incitent le réalisateur Alexander Payne à nous raconter ces histoires de vieillesse ? Douze ans après l'amusant Mr Schmidt avec Jack Nicholson, il revient avec son nouveau long métrage Nebraska se poser la même question : "Que faire pendant sa retraite ?

    Nebraska, c'est la région dans laquelle Woody Grant tient absolument à se rendre pour aller chercher le chèque d'un Million de Dollars qu'ils pensent avoir gagné. Malgré les explications de sa femme et de ses deux enfants sur l'arnaque dans laquelle il a plongé, le vieil homme reste persuadé qu'il a véritablement gagner. Tous les jours, il fugue de chez lui pour partir à pied faire les 1 200 kilomètres qui le sépare de son magot. Fatigué de lui courir après, son fils David accepte finalement de l'y conduire.

    Il était temps de sortir enfin en France, ce dernier favori des Oscar 2014 qui n'a malheureusement rien remporté malgré ses six nominations. D'autant plus que le nouveau film d'Alexander Payne avait tout de même séduit le jury du dernier Festival de Cannes qui avait décerné à son acteur principal Bruce Dern, le prix d'interprétation masculine.

    L'histoire de Nebraska n'est pas sans rappeler le film Une Histoire Vraie de David Lynch dans lequel un septuagénaire borné partait en tracteur retrouvé son frère à des centaines de kilomètres de chez lui. Deux Road Movie pas comme les autres qui partagent pas mal de points communs. Deux vieux bornés qui n'ont pas ou plus leur permis de conduire et une visite de l'Amérique profonde et de ses habitants.

    Filmé en couleur mais transformé après coup en noir & blanc, Nebraska a tout des meilleurs films indépendante américains. Une histoire toute simple mais pleine d'humour et d'émotion qui nous fait réfléchir sur les relations familiales. Ce long métrage donne vraiment envie de se raprocher de ses parents ou grand parents pour passer plus de temps avec eux et découvrir leur histoire dont on ne connait au final que quelques bribes.

    Bruce Dern n'a clairement pas volé son prix d’interprétation Cannois, on lui aurait aussi donné bien volontier l'Oscar du Meilleur Acteur pour ce rôle de personne âgée, ex-alcoolique qui n'a jamais vraiment décroché et qui perd peu à peu la boule. Une prestation vraiment touchante de la part de cet acteur qui de toute sa carrière n'avait jamais trouvé un aussi grand rôle. Le réalisateur Alexander Payne n'avait que lui en tête et a définitivement bien fait de batailler pour l'imposer à la Paramount.

    Beaucoup de grand talents aussi dans le reste de la distribution. Il est amusant de voir June Squibb qui joue encore le rôle de la pauvre épouse après avoir déjà été celle de Mr Schmidt. L'autre rôle principal du film est tenu par Will Forte qui n'est pas non plus bien connu par chez nous. Son plus grand rôle est la tête d'affiche de MacGruber, parodie de McGyver toujours inédite en France. L'acteur le plus connu est certainement Stacy Keach, inoubliable Mike Hammer qui joue ici le rôle d'un ancien ami roublard.

    Comédie dramatique drôle et émouvante, Nebraska est avant tout un très beau film sur les liens familiaux. Une belle réflexion sur le fait qu'on ne peut choisir sa famille, on peut au moins tenter de couper les branches foireuses et prendre soin de ceux qu'on aime. Une image soignée et des situations très amusantes nous font passer un véritable bon moment.
    alain-92
    alain-92

    308 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 avril 2014
    Alexander Payne nous offre avec Nebraska un film magnifique. Glacial, beau, terrifiant, émouvant, enivrant de la première à la dernière image.

    Du noir et blanc pour plomber une atmosphère lourde, souvent suffocante mais également avec quelques moments de répit dans lesquels il ne néglige pas la dérision. La scène entre le père et son fils au sujet de l'amour entre mari et femme catholique reste mémorable.

    Cette traversée d'un état américain à un autre, ces plaines qui se confondent avec le gris du ciel, ces routes interminables, et cette population dévastée par la crise font partie intégrante de l'histoire. Très vite on comprend le parti pris de l'image, plus grise, que noire ou blanche. Le réalisateur ne nous entraîne pas vraiment dans la grande pauvreté mais davantage dans l'évidente précarité qui a touché le plus grand nombre.

    Alexander Payne nous invite au voyage. À la découverte. Celle de deux hommes, un vieux père sénile et l'un de ses fils très interrogateur. Il y a quantité de moments forts en émotion et d'une rare intensité grâce à ce duo formé par Bruce Dern, éternel second rôle qui trouve enfin le grand rôle, et l'excellent Will Forte, que j'ai vraiment découvert dans ce Nebraska.

    Une famille quelque peu détonante à commencer par la mère campée par June Squibb. Les frères et neveux pour l'un, oncles et cousins pour l'autre sont truculents et tous parfaitement campés.

    Vieilles histoires, vérités, mensonges et revanches se mêlent dans de jubilatoires dialogues qui sonnent et frappent justes.

    L'amour de ce fils pour son père, en dépit de tout et plus fort que tout ne peut pas laisser indifférent.

    Ce n'est pas la première fois qu'Alexander Payne me convainc. Avec Nebraska il m'a séduit, m'a envoûté, je l'avoue m'a totalement bouleversé.
    btravis1
    btravis1

    100 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mai 2014
    Bon film, très beau noir & blanc, bons acteurs, bons dialogues. Personnages touchants, film à la fois drôle et triste.
    Akamaru
    Akamaru

    2 855 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2014
    Alexander Payne comprend toujours aussi bien l'Amérique profonde,la vraie finalement. Celle où les retraités ne savent que faire à part aller au bar du coin. Celle où un morceau de papier peut faire naître les rêves les plus déplacés. Celle de la solitude,où les resserrements des liens familiaux relèvent du pur instinct de survie. Et pour expliquer tout cela,Payne n'utilise aucune fioritures,aucun artifice,si ce n'est un noir et blanc extrêmement lumineux et élégant. "Nebraska" est une comédie dramatique,tout à fait dans la lignée des Sundance movie,mais qui a pourtant été présenté à Cannes,avec le prix d'interprétation pour récompense à Bruce Dern. Du haut de ses 76 ans,l'un des acteurs américains emblématique des années 70 joue un vieux grognon,alcoolique et têtu,qui va peu à peu laisser apparaître son humanité au contact d'un fils dévoué et apaisant. C'est un road-movie,et Payne respecte toutes les règles qui vont avec: rencontres cocasses,humour à froid et révélations inattendues. Le rythme est lent,les cadres sont fixes,ce qui peut déconcerter. Mais parfois,un peu de suggestion ne vaut-il pas mieux qu'un long discours?
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    234 abonnés 1 604 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 avril 2014
    Alexander Payne poursuit sa carrière dans la veine de ce qu'il sait (bien) faire. Après Sideways et Monsieur Schmidt, le road-movie est devenu l'une de ses spécialités. Celui-ci est une balade en noir et blanc, joliment graphique, donnant à voir des paysages à la Hopper, isolés voire désolés. Le scénario, que n'a pas écrit le cinéaste, pour une fois, s'ancre quand même dans sa région natale, le Nebraska, qu'il décrit avec une drôlerie douce-amère, quelques touches pathétiques, quelques piques caustiques. Alexander Payne présente une Amérique rurale touchée par la crise et le chômage, où l'on commence à picoler très jeune parce ce qu'il n'y a pas grand-chose d'autre à faire. Une Amérique profonde où la bière, le karaoké et le foot à la télé forment une sainte trinité du divertissement familial. Où le rêve US ne s'exprime plus que par un désir d'enrichissement facile (la loterie) et la gloire d'avoir une voiture puissante et rapide. Pur produit (et victime) de ce "beaufland", le personnage principal est un antihéros déplumé et peu bavard, qui poursuit son rêve comme une raison de vivre, avec une obsession tout empreinte de candeur, à la fois ridicule et touchante. C'est un grand benêt têtu et mal aimable, cachant ses bons sentiments et les blessures de son passé derrière une bougonnerie de façade. La relation qu'il entretient avec son fils velléitaire et sa femme à la langue bien pendue donne lieu à quelques scènes drôlement cash ou, inversement, pudiquement émouvantes, mais aussi à quelques moments joyeusement absurdes (le vol du compresseur). Les liens avec la famille lointaine et les anciens amis (dont la conception de la justice est pour le moins subjective et arrangeante) sont aussi développés de façon croustillante. Bref, tout cela est bien senti sur un plan intime et social, et agréable à suivre grâce à la qualité du scénario, de la réalisation et de l'interprétation (un étonnant Bruce Dern sur le retour, une impayable June Squibb, un Will Forte subtilement discret). La petite musique tendre et mélancolique ajoute au plaisir. Il manque juste à l'ensemble quelques surprises ou "accidents" pour enrayer un peu cette mécanique bien huilée et accoucher d'un grand film.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    115 abonnés 2 346 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2014
    Excellente chronique familiale à la manière d'Une histoire vraie de David Lynch.
    Caine78
    Caine78

    6 155 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 septembre 2014
    S'il n'est pas le meilleur film de son auteur, « Nebraska » apparaît néanmoins comme une jolie bouffée d'oxygène dans l'année cinématographique. D'abord parce qu'il sait trouver cet équilibre toujours délicat entre drame et comédie, si bien qu'on ne sait jamais vraiment lequel est majoritaire. Puis parce que l'histoire a beau être toute simple, les différentes rencontres faites par nos deux héros lui donne du sens et de la générosité, Bruce Dern et surtout l'excellent Will Forte sachant nous prendre dans le sens du poil. Reste ce noir et blanc que certains ont trouvé inutile, mais qui m'a paru en définitive joliment trouvé pour filmer ces paysages désertiques et exprimer la nostalgie d'une époque révolue. Cela manque simplement un peu de chair et souffre d'un rythme trop « sundancien », ce qui ne nous empêche pas de sortir de là le sourire aux lèvres : un joli film.
    tixou0
    tixou0

    647 abonnés 1 977 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 avril 2014
    Woody Grant (Bruce Dern) est un vieil homme usé par le travail, et surtout par l'alcool (son meilleur compagnon depuis l'enfance !). Un jour, il reçoit une de ces lettres que tout le monde a reçues, lui indiquant qu'il est le gagnant d'un million de dollars (en très gros caractères) - sous réserve d'un tirage au sort (en caractères minuscules). Même au fin fond de l'Amérique profonde (Billings - la ville la plus peuplée du Montana, avec un peu plus de 100.000 habitants) on devrait savoir que c'est un piège à gogos (surtout quand ils sont âgés), mais Woody s'entête et entreprend quotidiennement de partir à pied (il n'a plus le droit de conduire) pour un périple de 1.500 bornes - afin d'aller toucher son pactole. Arrêté un jour par une voiture de police, retrouvé un autre par sa femme, ou son fils cadet, David (Will Forte). Ce dernier se résout à embarquer son père pour rallier le Nebraska avec lui (le siège social de la société lui ayant garanti qu'il était millionnaire se trouvant à Lincoln, la capitale de l'état). Après avoir traversé le Dakota du Sud (l'état du Mont Rushmore), père et fils arrivent, pour étape (un w-e durant) à Hawthorne (à 300 kms encore de Lincoln). C'est la ville natale de Woody, qui y a encore famille (un frère marié, et deux neveux) et relations diverses. Kate Grant rejoint ses mari et fils en bus, puis arrive en voiture Ross, l'aîné des Grant (sans femme, ni enfants, "retenus"). La réunion de famille s'étoffe encore avec l'arrivée, en voisins, des 4 autres frères de Woody, certains avec femme et fils. La nouvelle de la bonne fortune de Woody s'est répandue dans la petite bourgade...
    Road-movie bien sûr, chronique acide (mais parfois burlesque) de la vie de province (Amérique oubliée - Nord et Midwest agricoles), étude sans pitié de la vie de famille (surtout élargie), mais d'abord un beau portrait en double, père et fils, spoiler: avec un magnifique acte de piété filiale, en point d'orgue.

    Au positif : la mise en scène sobre d'Alexander Payne. Un regret : le noir et blanc, plus surcharge qu'autre chose. Un étonnement : le Prix cannois du Meilleur acteur pour Bruce Dern - une performance honnête, sans plus, un brin monolithique (Toni Servillo était tellement ébouriffant dans "La Grande Bellezza", et méritait tellement plus d'être distingué - passons, les jurys cannois sont souvent déconcertants dans leurs emballements !). Will Forte, l'autre partie du binôme, David, est nettement plus convaincant d'ailleurs.
    jspl
    jspl

    23 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 avril 2014
    Un joli film, nostalgique. Un retour vers le passé très émouvant et que le noir et blanc sert à souhait.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 7 avril 2014
    Nebraska est un joli film, bien interprété, propre dans sa réalisation et à la musique adaptée et réussie. Mais ça ne parvient jamais à vraiment décoller, notamment parce qu’on ne voit pas bien où le réalisateur veut vraiment en venir…
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