Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Le Parisien
par Alain Grasset
Ce petit film en noir et blanc a valu le prix d'interprétation masculine du Festival de Cannes à son acteur principal, Bruce Dern, 77 ans, star des années 1970 qui effectue ici son grand retour.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Pierre Fornerod
Dans le noir et blanc somptueux de sa caméra aux aguets, Payne se promène nonchalamment au coeur d'une Amérique ordinaire qu'il restitue avec chaleur et ironie.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
(...) Alexander Payne aborde le poids de l'héritage familial et la difficulté de communiquer avec les êtres chers. Des thèmes universels qu'il déleste de leur pesanteur par un humour de chaque instant.
Ecran Large
par Chris Huby
Un modèle d’écriture de scénario comme toujours chez cet auteur.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Une somptueuse photographie en scope noir et blanc, une galerie de portraits qui se savoure sans modération… Jubilatoire !.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Dominique Widemann
Le séjour chez son frère et sa belle-soeur flanqués d’une paire de fils gravement crétins offrira sa part de moments comiques, ironiquement tragiques et tranquillement poignants, dont le film abonde sans pathos.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le film d'Alexander Payne donne à songer au meilleur cinéma américain des années 1970, avec ses oubliés de l'Amérique profonde, leurs rêves dérisoires et leurs vies sans bruit, les villes plantées au milieu de nulle part et où personne jamais ne s'arrête, le temps qui a passé et celui qui fout le camp, et qui vous largue à n'importe quel carrefour battu par les vents.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L'Obs
par Emmanuel Cirodde
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Payne film les personnages et les paysages du Nebraska comme personne (...), tout en les sublimant avec un noir et blanc magnifique.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Entre cruauté et cocasserie, Alexander Payne signe un road-movie drôle et émouvant, parfois un peu lent, à travers les paysages désolés d'une Amérique rurale frappée par la crise, magnifiée par une image noir et blanc toute en contrastes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Franck Nouchi
Véritable peinture -en noir et blanc- d'une Amérique très très profonde, ce film d'atmosphères aux accents mélancoliques vire parfois, le temps d'un énième incartade de Woody, à la comédie. "Nebraska" est, pour l'heure, le film le plus abouti d'Alexander Payne. Le plus personnel aussi.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Metro
par Mehdi Omaïs
Après "Sideways", Alexander Payne renoue avec le road movie humaniste et tisse un émouvant récit filial. On en ressort heureux, apaisé et guidé par l'irrépressible envie de dire : "Je t’aime papa".
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Grégory Valens
Payne dénonce l'indécence d'une société qui mesure la réussite de ses membres à la taille de leur portefeuille. Des choix esthétiques et un casting hors pair.
TF1 News
par Romain Le Vern
Pourtant, malgré cette impression de déjà-vu, Payne n'a rien perdu de son mordant ni de sa capacité à faire affleurer le rire comme l'émotion à des moments inattendus.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
TéléCinéObs
par François Forestier
Mi-comédie, mi-drame, voici un road-trip mélancolique signé Alexander Payne.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Terrence Baelen
Payne, sans prétention, réussit à dresser un drame touchant, à la fois doux, juste, et mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
On pourrait reprocher à "Nebraska" de toujours chercher à nous brosser dans le sens du poil, à la manière d'un mélo en sourdine qui utilise le pittoresque pour déminer tout ce qui devrait exploser (...). Une traversée plutôt fine et (trop ?) élégante au sein d'une Amérique qui ressemble à un hospice en open range (...).
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Une drôlerie mordante et décalée.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Express
par Sandra Benedetti
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
Alexander Payne signe un road-movie désenchanté, un brin attendu, mais où prédomine la bienveillance de son regard.
Première
par Frédéric Foubert
"Nebraska" donne envie de se ruer hors de la salle pour prendre un bon bol d'air frais. La seule façon de réellement apprécier le film? [...] Bruce Dern [...] fabuleux, incroyablement émouvant, hilarant quand il regarde son benêt de fils chercher son dentier.
Télérama
par Guillemette Odicino
"Nebraska" emprunte les routes balisées du « feel good movie », mais pour creuser un beau sillon : l'éloge de la candeur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Arnaud Schwartz
Une œuvre austère, au lent déploiement, tournée dans un noir et blanc tout de nuances grises.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Tous les bons vieux basiques du road-movie sont là, mais le cinéaste ne leur apporte strictement aucune touche personnelle, sinon en tentant un noir et blanc coquet et donc inutile. Enfin (...), on se demande vraiment ce qui a pu inciter le jury cannois à trouver que Bruce Dern méritait, pour ce rôle en tout cas, le prix d’interprétation masculine.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Bruno Icher
C’est un peu lassant, d’autant que le mélo est toujours trop sucré (la BO de Mark Orton, à hurler), le noir et blanc très arty-ficiel, la charité toujours plus forte que l’amertume et le regard sur la décrépitude toujours nappé d’une onctueuse couche d’indulgence condescendante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Filmé dans un noir et blanc sans relief, la nouvelle comédie d’Alexander Payne est pourtant une déception. Le rythme s’y écoule aussi lentement que le trajet en voiture jusqu’à Lincoln (...).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
"Nebraska" a été exposé à Cannes (en compétition officielle), promu aux Oscars (six nominations, aucune statuette) et semble avoir disparu avant même de sortir : il a pour vague intérêt d’offrir une image très soignée de ce qu’on nomme le néant.
Chronic'art.com
par Sébastien Bénédict
Le film enfile donc les clichés comme des perles, comme s’il avait peur de l’embardée, craignait de faire une image un peu différente de ce que le cinéma américain offre depuis vingt ans sous le label indépendant. Autant dire : un film morne et plat comme une route américaine.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Benoît Smith
Ce regard sur l’Amérique profonde et sur les liens familiaux ne peut se défendre d’un certain mépris hautain, celui du narrateur qui distribue les bons et les mauvais rôles en caressant les préjugés dans le sens du poil.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
Ce petit film en noir et blanc a valu le prix d'interprétation masculine du Festival de Cannes à son acteur principal, Bruce Dern, 77 ans, star des années 1970 qui effectue ici son grand retour.
Ouest France
Dans le noir et blanc somptueux de sa caméra aux aguets, Payne se promène nonchalamment au coeur d'une Amérique ordinaire qu'il restitue avec chaleur et ironie.
Télé 7 Jours
(...) Alexander Payne aborde le poids de l'héritage familial et la difficulté de communiquer avec les êtres chers. Des thèmes universels qu'il déleste de leur pesanteur par un humour de chaque instant.
Ecran Large
Un modèle d’écriture de scénario comme toujours chez cet auteur.
Franceinfo Culture
Une somptueuse photographie en scope noir et blanc, une galerie de portraits qui se savoure sans modération… Jubilatoire !.
L'Humanité
Le séjour chez son frère et sa belle-soeur flanqués d’une paire de fils gravement crétins offrira sa part de moments comiques, ironiquement tragiques et tranquillement poignants, dont le film abonde sans pathos.
L'Obs
Le film d'Alexander Payne donne à songer au meilleur cinéma américain des années 1970, avec ses oubliés de l'Amérique profonde, leurs rêves dérisoires et leurs vies sans bruit, les villes plantées au milieu de nulle part et où personne jamais ne s'arrête, le temps qui a passé et celui qui fout le camp, et qui vous largue à n'importe quel carrefour battu par les vents.
L'Obs
Voir le site de Studio Ciné Live.
Le Figaroscope
Payne film les personnages et les paysages du Nebraska comme personne (...), tout en les sublimant avec un noir et blanc magnifique.
Le Journal du Dimanche
Entre cruauté et cocasserie, Alexander Payne signe un road-movie drôle et émouvant, parfois un peu lent, à travers les paysages désolés d'une Amérique rurale frappée par la crise, magnifiée par une image noir et blanc toute en contrastes.
Le Monde
Véritable peinture -en noir et blanc- d'une Amérique très très profonde, ce film d'atmosphères aux accents mélancoliques vire parfois, le temps d'un énième incartade de Woody, à la comédie. "Nebraska" est, pour l'heure, le film le plus abouti d'Alexander Payne. Le plus personnel aussi.
Metro
Après "Sideways", Alexander Payne renoue avec le road movie humaniste et tisse un émouvant récit filial. On en ressort heureux, apaisé et guidé par l'irrépressible envie de dire : "Je t’aime papa".
Positif
Payne dénonce l'indécence d'une société qui mesure la réussite de ses membres à la taille de leur portefeuille. Des choix esthétiques et un casting hors pair.
TF1 News
Pourtant, malgré cette impression de déjà-vu, Payne n'a rien perdu de son mordant ni de sa capacité à faire affleurer le rire comme l'émotion à des moments inattendus.
TéléCinéObs
Mi-comédie, mi-drame, voici un road-trip mélancolique signé Alexander Payne.
aVoir-aLire.com
Payne, sans prétention, réussit à dresser un drame touchant, à la fois doux, juste, et mélancolique.
Charlie Hebdo
On pourrait reprocher à "Nebraska" de toujours chercher à nous brosser dans le sens du poil, à la manière d'un mélo en sourdine qui utilise le pittoresque pour déminer tout ce qui devrait exploser (...). Une traversée plutôt fine et (trop ?) élégante au sein d'une Amérique qui ressemble à un hospice en open range (...).
CinemaTeaser
Une drôlerie mordante et décalée.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Les Fiches du Cinéma
Alexander Payne signe un road-movie désenchanté, un brin attendu, mais où prédomine la bienveillance de son regard.
Première
"Nebraska" donne envie de se ruer hors de la salle pour prendre un bon bol d'air frais. La seule façon de réellement apprécier le film? [...] Bruce Dern [...] fabuleux, incroyablement émouvant, hilarant quand il regarde son benêt de fils chercher son dentier.
Télérama
"Nebraska" emprunte les routes balisées du « feel good movie », mais pour creuser un beau sillon : l'éloge de la candeur.
La Croix
Une œuvre austère, au lent déploiement, tournée dans un noir et blanc tout de nuances grises.
Les Inrockuptibles
Tous les bons vieux basiques du road-movie sont là, mais le cinéaste ne leur apporte strictement aucune touche personnelle, sinon en tentant un noir et blanc coquet et donc inutile. Enfin (...), on se demande vraiment ce qui a pu inciter le jury cannois à trouver que Bruce Dern méritait, pour ce rôle en tout cas, le prix d’interprétation masculine.
Libération
C’est un peu lassant, d’autant que le mélo est toujours trop sucré (la BO de Mark Orton, à hurler), le noir et blanc très arty-ficiel, la charité toujours plus forte que l’amertume et le regard sur la décrépitude toujours nappé d’une onctueuse couche d’indulgence condescendante.
Paris Match
Filmé dans un noir et blanc sans relief, la nouvelle comédie d’Alexander Payne est pourtant une déception. Le rythme s’y écoule aussi lentement que le trajet en voiture jusqu’à Lincoln (...).
Cahiers du Cinéma
"Nebraska" a été exposé à Cannes (en compétition officielle), promu aux Oscars (six nominations, aucune statuette) et semble avoir disparu avant même de sortir : il a pour vague intérêt d’offrir une image très soignée de ce qu’on nomme le néant.
Chronic'art.com
Le film enfile donc les clichés comme des perles, comme s’il avait peur de l’embardée, craignait de faire une image un peu différente de ce que le cinéma américain offre depuis vingt ans sous le label indépendant. Autant dire : un film morne et plat comme une route américaine.
Critikat.com
Ce regard sur l’Amérique profonde et sur les liens familiaux ne peut se défendre d’un certain mépris hautain, celui du narrateur qui distribue les bons et les mauvais rôles en caressant les préjugés dans le sens du poil.