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Le choc entre traditions et modernité comme le poids de la religion sont au centre d'un conte savoureux. Le burlesque y copine avec le tragique en une forme de politesse du désespoir du meilleur aloi.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Hiner Saleem opte pour l'humour et le burlesque dans cette histoire sentimentale conçue en forme de poupée russe. Ce ton léger et loufoque confère du rythme à l'intrigue.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le film parle d'amour et de deuil, il raconte surtout la libération d'une jeune femme entourée d'hommes, et il le fait avec une drôlerie burlesque et un charme fou.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
(...) récit pittoresque et coloré, qui égratigne toutes les formes de haines et d'intolérances. Avec, aux côtés d'un Jonathan Zaccaï sincère et généreux, la sublime Golshifteh Farahani au regard lumineux et bouleversant.
Il est question d'honneur et d'amour dans ce film inclassable et revigorant, à la fois comédie et tragédie qui parle d'immigration, de tabous, de différence et de liberté gagnée de haute lutte.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ce film à la réalisation pleine de sens sans être bavarde, s'autorise des pauses, des hésitations, des pleurs, des rires. Comme ses personnages et ses spectateurs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Il y a un zeste de naïveté dans "Si tu meurs, je te tue", quelques gags convenus et des libertés avec la vraisemblance, mais surtout un ton résolument facétieux qui illustre ce qui habite le cinéaste : l'humour, le goût de la musique et de la liberté.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Par moments, le cinéaste semble lui-même surpris des surprises que son scénario lui réserve (...) . Mais, selon son habitude, il le parsème de détails tendres sur la fraternité possible entre paumés et émigrés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le cinéaste kurde (...) raconte, dans un chaos indescriptible et par à-coups, une histoire tarabiscotée pleine de fils entrecroisés (...) qui ne tissent rien, et qui se termine en eau de boudin à force de délitements narratifs.
L'Obs
(...) La comédie la plus drôle, la plus vive, la plus intelligente que l'on ait vue depuis longtemps.
Le Journal du Dimanche
Entre drame et comédie, on ne résiste pas à ce film original, parfois drôle, plein de charme, de talent et surtout de sens. Notre coup de coeur.
20 Minutes
Le choc entre traditions et modernité comme le poids de la religion sont au centre d'un conte savoureux. Le burlesque y copine avec le tragique en une forme de politesse du désespoir du meilleur aloi.
Excessif
(...) Comédie souvent pétillante de malice, qui parvient à conserver un équilibre parfait entre drôlerie et émotion.
L'Express
(...) Un joli film auquel il manque juste un grain de folie pour plaire.
Le Figaroscope
Hiner Saleem opte pour l'humour et le burlesque dans cette histoire sentimentale conçue en forme de poupée russe. Ce ton léger et loufoque confère du rythme à l'intrigue.
Le Parisien
Le film parle d'amour et de deuil, il raconte surtout la libération d'une jeune femme entourée d'hommes, et il le fait avec une drôlerie burlesque et un charme fou.
Le Point
voir la critique sur lepoint.fr
Libération
Sous la caméra de Hiner Saleem, Paris n'est ni consensuelle ni xénophobe. Mais prise dans un mouvement qui nous emporte et nous ravit.
Marianne
Il s'agit d'une tragédie optimiste, une petite merveille jonchée de catastrophes, illuminée par des bouffées d'absurde affectueux.
Ouest France
(...) récit pittoresque et coloré, qui égratigne toutes les formes de haines et d'intolérances. Avec, aux côtés d'un Jonathan Zaccaï sincère et généreux, la sublime Golshifteh Farahani au regard lumineux et bouleversant.
Positif
Salem invente des séquences d'une poésie poignante (...). Une vraie réussite.
Première
Il est question d'honneur et d'amour dans ce film inclassable et revigorant, à la fois comédie et tragédie qui parle d'immigration, de tabous, de différence et de liberté gagnée de haute lutte.
Studio Ciné Live
Voir le site StudioCinélive
TéléCinéObs
Le film, illuminé par Golshifteh Farahani, charme par sa délicatesse humaniste, sa modestie foutraque et l'ambition de ses enjeux.
La Croix
Ce film à la réalisation pleine de sens sans être bavarde, s'autorise des pauses, des hésitations, des pleurs, des rires. Comme ses personnages et ses spectateurs.
Le Monde
Il y a un zeste de naïveté dans "Si tu meurs, je te tue", quelques gags convenus et des libertés avec la vraisemblance, mais surtout un ton résolument facétieux qui illustre ce qui habite le cinéaste : l'humour, le goût de la musique et de la liberté.
Télérama
Par moments, le cinéaste semble lui-même surpris des surprises que son scénario lui réserve (...) . Mais, selon son habitude, il le parsème de détails tendres sur la fraternité possible entre paumés et émigrés.
Les Inrockuptibles
Le cinéaste kurde (...) raconte, dans un chaos indescriptible et par à-coups, une histoire tarabiscotée pleine de fils entrecroisés (...) qui ne tissent rien, et qui se termine en eau de boudin à force de délitements narratifs.