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Alex560
1 abonné
9 critiques
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4,0
Publiée le 1 novembre 2024
C'est une suite captivante et visuellement époustouflante qui m'a plongé dans l’univers de Tolkien avec encore plus de profondeur et de tension. Ce deuxième volet de la trilogie prend un tournant plus sombre et plus rythmé que le premier, tout en nous offrant des scènes d’action incroyablement bien chorégraphiées, notamment la mémorable course en tonneaux qui mêle suspense et humour. Peter Jackson réussit ici à donner plus de caractère aux personnages et à rendre le périple de Bilbon et des nains de plus en plus périlleux.
La vraie star de ce film reste évidemment Smaug, le dragon, dont l’apparition est saisissante. Les effets spéciaux utilisés pour le créer sont impeccables, et sa voix imposante ajoute une dimension terrifiante au personnage. Les décors et les paysages, eux, sont toujours aussi sublimes, offrant des scènes d’une grande beauté visuelle, entre sombres forêts et cités majestueuses.
Cependant, même si le film est impressionnant, il souffre parfois d’un certain étirement narratif qui ralentit un peu le rythme. Certaines sous-intrigues semblent ajoutées pour allonger le film et peuvent paraître superflues, notamment la romance naissante entre Tauriel et Kili, qui semble déconnectée du cœur de l’histoire.
La Désolation de Smaug est un film spectaculaire et divertissant, porté par des scènes d’action maîtrisées et des effets visuels impressionnants, malgré quelques longueurs. Il ravie les fans de la Terre du Milieu tout en promettant un final épique pour le troisième volet.
Parfait juste parfait sa c’est la saga que j’aime, c’est ce j’ai envie de voir quand je regarde le seigneur des anneaux. Des décors magnifiques , un bon scénario de la cohérence , des belles batailles et pas de WOKISME!
Ce deuxième volet de la trilogie du Hobbit a le bénéfice d'une entrée déjà faite qui permet de plonger tout de suite dans l'action. Les scènes sont d'ailleurs plus réussies et prenantes avec celle du dragon bien sur mais aussi spoiler: celle où les nains/elfes/hobbit s echappent des orques dans la rivière (la scene est particulièrement reussie et orginale, l'une des meilleures de la saga Hobbit selon moi). Les différents environnements traversés s'enchaînent en étant aussi plus marquants ([spoiler]la ville lacustre, la foret noire, la cité sous la montagne...). La petite amourette rajoutée par P.Jackson a un certain intérêt également. Certains passages sont encore inutilement étiré et surtout le film se termine brutalement, sans que le problème principal soit résolu. Je comprend l'intérêt économique mais pour le scénario cela fait vraiment tâche.
Volet le plus sombre de la trilogie qui nous amène la où ne devons aller…dans la montagne où dort paisiblement notre bon Smaug… On en apprendra plus sur les nains et les querelles… Le film manque de rythme par moment malgré l’intérêt que nous portons a cet univers,…
Alors qu'on retrouvait le même enchantement dans le premier opus que dans l'iconique Seigneur des anneaux, la magie s'essouffle un peu dans ce second volet, surtout en deuxième partie de film.
Il y a du positif : le personnage de Beorn, puissant et mystérieux ; on retrouve avec plaisir Orlando Bloom sous les traits de notre archer elfique préféré, qui nous montre ses prouesses martiales impeccables ; spoiler: et cette confrontation entre Gandalf et Sauron, mon Dieu...
Et du moins positif : le personnage de Bard, bien qu'important dans l'histoire spoiler: (puisque c'est lui qui tue le dragon) , fait une apparition brève dans le roman. Alors qu'il est beaucoup plus mit en avant ici, avec les humains de Lacville, réticents à ce que les nains de Thorin investissent Erebor. Il y a aussi le personnage de Toriel (Evangeline Lily), pure invention de Peter Jackson spoiler: (afin d'introduire une romance avec le nain Kili) . Ces ajouts, ayant pour de donner du Lore j'imagine, nous donne surtout l'impression de remplissage afin de tenir une trilogie aussi longue que celle des années 2000, mais avec pourtant beaucoup moins de matière.
Le film vaut quand même la peine d'être vu, surtout si vous êtes fan de Tolkien et du Seigneur des Anneaux, cependant, contrairement au Voyage inattendu, la version longue est dispensable.
Pourquoi Legolas apparaît il dans ce volet des plus affligent ? Le but était sûrement d’attirer les fans, malheureusement cela porte plus préjudice qu’autre chose.
Une suite toute aussi exceptionnelle… On ne reste pas sur notre fin avec Le Hobbit, bien au contraire, chaque film est un trésor. Un trésor bien plus grand que celui des Nains !
J'ai l'impression que le réalisateur a succombé au syndrome de l'écrivaillon. Quel est l'ayant droit qui l'a autorisé à réécrire le livre ? Il suffisait de raconter le livre. Je n'ai pas apprécié les rajouts inutiles dans l'histoire pour rendre le film plus long. Un navet pour moi.
"Le Hobbit : La Désolation de Smaug", deuxième volet de la trilogie adaptée de l'œuvre de J.R.R. Tolkien par Peter Jackson, est une expérience cinématographique qui mélange brillamment des éléments visuels époustouflants et des séquences d'action captivantes. Toutefois, ce film se heurte à une série de problèmes qui empêchent de le considérer comme un chef-d'œuvre de la fantasy.
Visuellement Époustouflant La force de ce film réside sans aucun doute dans ses effets visuels. La représentation de Smaug, magnifiquement incarné par la performance capture de Benedict Cumberbatch, est impressionnante. Les scènes dans Erebor regorgent de détails minutieux, et le dragon lui-même est une merveille de CGI. La photographie de Andrew Lesnie sublime les paysages néo-zélandais, transformant la Terre du Milieu en un lieu à la fois mythique et tangible.
Une Fidélité à Tolkien en Demi-Teinte Cependant, la fidélité à l'œuvre originale de Tolkien est souvent mise de côté pour des ajouts scénaristiques douteux. Le personnage de Tauriel, inventé de toutes pièces pour le film, et le triangle amoureux entre elle, Legolas et Kili, semblent superflus et dénaturent l'essence du récit initial. Ces éléments créés pour attirer un public plus large et diversifié alourdissent l'intrigue et détournent de la quête principale.
Un Rythme Inégal Le rythme du film souffre de longueurs et de séquences parfois inutiles. Les scènes d’action sont nombreuses et bien chorégraphiées, mais leur multiplication peut rendre l’ensemble répétitif et fatigant. Le passage à travers la Forêt Noire, par exemple, bien que crucial, traîne en longueur et perd de son impact dramatique.
Performances Contrastées Martin Freeman dans le rôle de Bilbon est une bouffée d’air frais. Son interprétation est nuancée, apportant humour et humanité au personnage. Ian McKellen, fidèle à lui-même, incarne Gandalf avec la sagesse et la gravité nécessaires. Cependant, certains personnages, notamment les nains, manquent de développement et semblent être réduits à des stéréotypes. Richard Armitage en Thorin est convaincant, mais son obsession pour l'Arkenstone devient parfois caricaturale.
Une Musique Envoutante La bande originale de Howard Shore continue d’être un point fort, apportant une dimension épique et émotionnelle aux scènes clés. La chanson "I See Fire" d’Ed Sheeran, jouée pendant les crédits de fin, est un ajout mémorable qui résonne avec les thèmes du film.
Conclusion "Le Hobbit : La Désolation de Smaug" est une aventure divertissante avec des moments de grande intensité et de beauté visuelle. Toutefois, ses faiblesses en termes de scénario et de rythme, ainsi que certaines libertés prises avec l'œuvre de Tolkien, ternissent le tableau. Pour les fans inconditionnels de la Terre du Milieu, ce film est une étape nécessaire dans la trilogie, mais il laisse une impression mitigée, oscillant entre émerveillement et déception.
un film qui n'en finit pas de finir, avec des situations invraisemblables au regard de l'oeuvre de Tolkien. vouloir faire du politiquement correct, c'est peut être bien, mais cela aboutit à du grand n'importe quoi même dans ce monde si parfait de fantasy
Ce second volet du Hobbit reste au niveau. Il souffre parfois de quelques longueurs mais reste très agréable à regarder. Les effets spéciaux restent au niveau même en 2024. Pour ma part, un bon film.
Peter Jackson est un réalisateur aussi exceptionnel que talentueux ....Il a réussi à nous offrir une très bonne seconde suite au premier volet de la saga hobbit
Un excellent deuxième volet du Hobbit réalisé par Peter Jackson avec Martin Freeman et Benedict Cumberbatch pour la voix du dragon Smaug en motion capture et la viox du Nécromancien. Ian McKellen incarne avec brio le personnage du magicien Gandalf.