Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Critikat.com
par Arnaud Hée
Le cinéma américain dans ce qu'il a de meilleur, c'est-à-dire parcouru par une énergie vitale et un élan électrisant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Un film électrochoc emporté par un Matthew McConaughey brillant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
L'incertitude morale est inscrite dans le code génétique du cinéma de Friedkin (...). Ses films, "Killer joe" en offre un exemple éclatant, constituent toujours des expériences limites, pour les personnages mais aussi pour le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Chronic'art.com
par Yal Sadat
L'air de rien, au crépuscule de son oeuvre, Friedkin complexifie encore un peu plus son rapport au mal, sondant toujours plus profondément l'océan du relativisme.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un jeu de massacre dirigé de main de maître.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Simon Riaux
Quand un ange exterminateur vient secouer la banlieue White trash de Dallas, William Friedkin est aux commandes du missile, et il ne loupe pas sa cible.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
"Killer Joe", c'est "Cendrillon" revisité par un affreux jojo qui transforme le conte de fées en cauchemar. (...) Matthew McConaughey est ici terrifiant à souhait, charmeur comme un serpent venimeux.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
(...) un thriller crépusculaire, (...) une pépite.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Aureliano Tonet
Matthew McConaughey trouve ici le rôle de sa vie. (...) Un plaisir mêlé d'effroi, qui tire sa légitimité d'un pari aussi problématique qu'admirable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Friedkin signe un film noir bien carré, tout en vitriolant joyeusement le cliché de la famille américaine. À la fois détraqué et cool, à l'image de son héros, "Killer Joe" a toutes les qualités d'une série B.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Bruno Icher
L'exercice ne serait que platement caricatural si William Friedkin n'avait pas poussé son film au paroxysme d'une férocité qui rappelle, par moments, le lyrisme nihiliste et sauvage d'un Harry Crews. Assumant le risque de théâtraliser parfois à outrance les scènes les plus crues, Friedkin n'épargne rien, ne se refuse rien.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par La rédaction
Totalement barré, malsain jusqu'à la moelle, le dernier né du vétéran Friedkin (77 ans) est franchement jubilatoire. Matthew McConaughey, assassin pervers et violent, casse définitivement son image fadasse d'aimant à minettes.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La rédaction
Voici revenu le Friedkin que l'on aime. (...) Matthew McConaughey y débarque pour trouver son plus beau rôle.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Ariane Allard
Cette série B déjantée frôle les sommets! [...] Le jeu de massacre oscille entre le délire des frères Coen et le regard plus clinique de Haneke.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
On entend déjà les moralistes de tout poil crier au scandale devant ce film outrancier (...) la dernière séquence, déchaînement de violence inouïe est sans doute ce qu'on a vu de plus impressionnant et de plus dérangeant depuis un bon bout de temps.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Friedkin réussit à renouveler le thème de l'ambiguïté morale (...) en lui donnant une complexité inédite. La prise de risque de Matthew McConaughey en tueur démoniaque est payante : c'est probablement le rôle de sa carrière. (...) "Killer Joe" appartient à ces films sans happy-end que l'on regarde suspendu dans le vide, les yeux en spirale, entre rire et effroi.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Pierre Murat
Chez Friedkin, un simple petit bruit, répété à satiété, fait naître la tension. Ce curieux suspense tragi-comique. Et puis, brutalement, il lâche les chiens.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
L'exercice de "Killer Joe", qui peut être vu comme une tentative d'intégrer la force organique du cinéma de Friedkin dans un théâtre de poche (ce à quoi parvenaient "L'Exorciste" ou "Bug"), finit par virer trop ouvertement à la farce.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Elle
par Emilie Rivenq
Imaginez une délicate poupée de porcelaine. C'est la sensation que l'on a en découvrant le visage angélique de Juno Temple dans ce sanguinolent guignol signé Friedkin.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Figaroscope
par Emmanuelle Frois
Un thriller en forme de comédie, très noire et cynique, avec des personnages plus sordides les uns que les autres. Du William Friedkin pur jus ! À 77 ans, le réalisateur de "French Connection" et de "L'Exorciste" est toujours aussi efficace quand il s'agit de montrer les vices et la noirceur humaine. Avec lui, la famille américaine en prend pour son grade. Dommage que le film se termine en grosse farce macabre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
On est, certes, très loin des meilleurs joyaux du virtuose le plus teigneux du nouvel Hollywood (vraiment bancal, le film se vautre une fois sur deux dans la facilité), mais quelques éclairs d'horreur dont seul le cinéaste a le secret permet au film de retomber in extremis sur ses pieds.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Comme "Bug", "Killer Joe" est adapté d'une pièce de Tracy Letts, mais avec une réussite moindre. Dès le pitch, on sent une tragédie white trash tellement outrée qu'elle frise la farce.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Humanité
par Vincent Ostria
On ne sait pas ce qui l'emporte, entre le mépris du cinéaste pour ses personnages et la lourdeur des situations (la scène du pilon de poulet : au secours !). Faulkner revu par Groland.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
Franchement, on ne voit pas l'intérêt.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Critikat.com
Le cinéma américain dans ce qu'il a de meilleur, c'est-à-dire parcouru par une énergie vitale et un élan électrisant.
20 Minutes
Un film électrochoc emporté par un Matthew McConaughey brillant.
Charlie Hebdo
L'incertitude morale est inscrite dans le code génétique du cinéma de Friedkin (...). Ses films, "Killer joe" en offre un exemple éclatant, constituent toujours des expériences limites, pour les personnages mais aussi pour le spectateur.
Chronic'art.com
L'air de rien, au crépuscule de son oeuvre, Friedkin complexifie encore un peu plus son rapport au mal, sondant toujours plus profondément l'océan du relativisme.
CinemaTeaser
Un jeu de massacre dirigé de main de maître.
Ecran Large
Quand un ange exterminateur vient secouer la banlieue White trash de Dallas, William Friedkin est aux commandes du missile, et il ne loupe pas sa cible.
L'Express
"Killer Joe", c'est "Cendrillon" revisité par un affreux jojo qui transforme le conte de fées en cauchemar. (...) Matthew McConaughey est ici terrifiant à souhait, charmeur comme un serpent venimeux.
Le Journal du Dimanche
(...) un thriller crépusculaire, (...) une pépite.
Le Monde
Matthew McConaughey trouve ici le rôle de sa vie. (...) Un plaisir mêlé d'effroi, qui tire sa légitimité d'un pari aussi problématique qu'admirable.
Les Fiches du Cinéma
Friedkin signe un film noir bien carré, tout en vitriolant joyeusement le cliché de la famille américaine. À la fois détraqué et cool, à l'image de son héros, "Killer Joe" a toutes les qualités d'une série B.
Libération
L'exercice ne serait que platement caricatural si William Friedkin n'avait pas poussé son film au paroxysme d'une férocité qui rappelle, par moments, le lyrisme nihiliste et sauvage d'un Harry Crews. Assumant le risque de théâtraliser parfois à outrance les scènes les plus crues, Friedkin n'épargne rien, ne se refuse rien.
Metro
Totalement barré, malsain jusqu'à la moelle, le dernier né du vétéran Friedkin (77 ans) est franchement jubilatoire. Matthew McConaughey, assassin pervers et violent, casse définitivement son image fadasse d'aimant à minettes.
Ouest France
Voici revenu le Friedkin que l'on aime. (...) Matthew McConaughey y débarque pour trouver son plus beau rôle.
Positif
Cette série B déjantée frôle les sommets! [...] Le jeu de massacre oscille entre le délire des frères Coen et le regard plus clinique de Haneke.
Première
On entend déjà les moralistes de tout poil crier au scandale devant ce film outrancier (...) la dernière séquence, déchaînement de violence inouïe est sans doute ce qu'on a vu de plus impressionnant et de plus dérangeant depuis un bon bout de temps.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TF1 News
Friedkin réussit à renouveler le thème de l'ambiguïté morale (...) en lui donnant une complexité inédite. La prise de risque de Matthew McConaughey en tueur démoniaque est payante : c'est probablement le rôle de sa carrière. (...) "Killer Joe" appartient à ces films sans happy-end que l'on regarde suspendu dans le vide, les yeux en spirale, entre rire et effroi.
Télérama
Chez Friedkin, un simple petit bruit, répété à satiété, fait naître la tension. Ce curieux suspense tragi-comique. Et puis, brutalement, il lâche les chiens.
Cahiers du Cinéma
L'exercice de "Killer Joe", qui peut être vu comme une tentative d'intégrer la force organique du cinéma de Friedkin dans un théâtre de poche (ce à quoi parvenaient "L'Exorciste" ou "Bug"), finit par virer trop ouvertement à la farce.
Elle
Imaginez une délicate poupée de porcelaine. C'est la sensation que l'on a en découvrant le visage angélique de Juno Temple dans ce sanguinolent guignol signé Friedkin.
Le Figaroscope
Un thriller en forme de comédie, très noire et cynique, avec des personnages plus sordides les uns que les autres. Du William Friedkin pur jus ! À 77 ans, le réalisateur de "French Connection" et de "L'Exorciste" est toujours aussi efficace quand il s'agit de montrer les vices et la noirceur humaine. Avec lui, la famille américaine en prend pour son grade. Dommage que le film se termine en grosse farce macabre.
TéléCinéObs
On est, certes, très loin des meilleurs joyaux du virtuose le plus teigneux du nouvel Hollywood (vraiment bancal, le film se vautre une fois sur deux dans la facilité), mais quelques éclairs d'horreur dont seul le cinéaste a le secret permet au film de retomber in extremis sur ses pieds.
Les Inrockuptibles
Comme "Bug", "Killer Joe" est adapté d'une pièce de Tracy Letts, mais avec une réussite moindre. Dès le pitch, on sent une tragédie white trash tellement outrée qu'elle frise la farce.
L'Humanité
On ne sait pas ce qui l'emporte, entre le mépris du cinéaste pour ses personnages et la lourdeur des situations (la scène du pilon de poulet : au secours !). Faulkner revu par Groland.
La Croix
Franchement, on ne voit pas l'intérêt.