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Avec une invraisemblable désinvolture, Clavier confronte son traditionnel personnage d'histrion conservateur à ses plus grandes phobies (l'autre, sous toutes ses formes : l'étranger, l'homosexuel, la femme, l'enfant), enregistre l'effet comique du décalage sans jamais rendre son personnage à la raison.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
S'il s'empare a priori d'un sujet d'actualité (l'homoparentalité), ce premier film est pourtant d'une ringardise épouvantable : pas du tout écrit et mis en scène, terriblement mal joué, "On ne choisit pas sa famille" s'offre même le luxe, en 2011, d'afficher un racisme décomplexé.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Sur une situation à la mode, Clavier réalise et joue une gaudriole de base, lourde et laborieuse. Exotisme de plante en plastique et comique en conserve.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
On peut sourire à quelques gags, (...) mais l'humour gras a ses limites et les situations s'étirent entre exotisme, homoparentalité et la "beaufitude" du héros.
"On ne choisit pas sa famille" risque (...) de calmer les ardeurs des plus fidèles, jusqu'au fan club des "Visiteurs 2". (...) Tellement navrant, en fait, qu'il en serait presque réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
En matière d'humour, Clavier dégaine l'artillerie lourde, c'est le moins qu'on puisse dire, ce qui n'exclut pas — mais si!!! — une certaine finesse.
Télé 7 Jours
Sur fond d'homoparentalité, voilà un vaudeville pas toujours léger mais divertissant.
Chronic'art.com
Avec une invraisemblable désinvolture, Clavier confronte son traditionnel personnage d'histrion conservateur à ses plus grandes phobies (l'autre, sous toutes ses formes : l'étranger, l'homosexuel, la femme, l'enfant), enregistre l'effet comique du décalage sans jamais rendre son personnage à la raison.
Critikat.com
S'il s'empare a priori d'un sujet d'actualité (l'homoparentalité), ce premier film est pourtant d'une ringardise épouvantable : pas du tout écrit et mis en scène, terriblement mal joué, "On ne choisit pas sa famille" s'offre même le luxe, en 2011, d'afficher un racisme décomplexé.
Ecran Large
On ne choisit pas forcement toujours ses films... Horriblement pas drôle !
Excessif
"On ne choisit pas sa famille", ne se distingue guère dans la masse des comédies françaises produites ces dernières années.
L'Express
Voir le site lexpress.fr
Le Figaroscope
Sur une situation à la mode, Clavier réalise et joue une gaudriole de base, lourde et laborieuse. Exotisme de plante en plastique et comique en conserve.
Le Journal du Dimanche
On peut sourire à quelques gags, (...) mais l'humour gras a ses limites et les situations s'étirent entre exotisme, homoparentalité et la "beaufitude" du héros.
Ouest France
Un humour bien gras et balourd, avec des personnages grotesques et ridicules jusqu'à l'ambiguïté.
Première
"On ne choisit pas sa famille" risque (...) de calmer les ardeurs des plus fidèles, jusqu'au fan club des "Visiteurs 2". (...) Tellement navrant, en fait, qu'il en serait presque réjouissant.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
Les idées et le rire pointent aux abonnés absents !
Télérama
Les plaisanteries sur les Thaïlandais sont limites et les gags si consternants qu'ils déclenchent au mieux des rires nerveux.