ho là que c'est nul !! dès la première scène tu te rend vite compte que quelque chose ne tourne pas rond.scène d'une vielle prison pourrie sans aucune hygiène (il y a un gros cafard dans sa nourriture) scène de sexe, les scène du type bof qui frime devant ses potes, les scènes de braquage mal faites. nul
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1,5
Publiée le 22 juillet 2020
L'Ange du mal est un film graveleux mais pas engageant. Il avait l'étoffe d'un bon drame policier de type Scarface mais a finalement été très décevant. L'histoire n'était tout simplement pas passionnante ou engageante. C'est à peu près le récit détaillé de la vie d'un seigneur du crime. Il y a peu de profondeur pour les personnages. Il y a de bonnes scènes d'action et c'est assez granuleux mais le film manque totalement de substance...
Cet ange du mal est une sorte de Mesrine transalpin qui parlera peut-être plus aux italiens qu'à nous français. On suit son parcours "professionnel". La petite délinquance, les premiers vols où on peut y voir un style se rapprochant de celui de Robin des Bois. L'appétit venant en mangeant, ce sont ensuite les banques, les règlements de compte. Avec un entourage pas toujours à la hauteur. Si Renato a une belle gueule, il va devoir se farcir ses copains moins équilibrés que lui, plus ambitieux, des rivaux. La suite ne sera qu'un long chemin de croix. Quel plaisir peut-on y trouver à alterner séjours en prison dans des quartiers de haute sécurité, cavales, sans jamais pouvoir se poser, se ranger ? C'est peut-être le roi de l'évasion mais il se fait toujours reprendre derrière. C'est un flambeur. Rien de plus. Et dire que les femmes l'admirent vu tout le courrier qu'il reçoit. Ça ne dit pas grand-chose de l'Italie des années 70 et 80 si ce n'est que leurs prisons et leurs barres d'immeubles sont dans un état aussi déprimant que les nôtres. L'Ange du mal est plus spectaculaire que politique.
Mal filmée, déjà au bout de 20 minutes on s'ennuie totalement, on se demande que veut dire l'histoire de ce genre de film, des vieilles scènes de braquage tout pourri, limite du Jack Mesrine en ridicule, déjà que les Jacques Mesrine était nul à mort de rire. En gros encore un film qui n'aurait jamais dû voir le jour. 1/5
Il ne devrait pas être possible d'assimiler si facilement la réalisation de ce film à l'idée reçue sur la mentalité italienne. Pourtant, c'est un constat qu'on est prompt à faire : très bavard (sans interruption surtout), violent comme un film d'action alors que c'est un drame historique, proche du biopic. La caméra donne le tournis et le tout est produit par les Américains de la 20th : des indices de domaines opposés qui tendent tous à indiquer que les Italiens ont choisi de faire passer la pilule de la biographie avec les moyens de nos amis d'outre-Atlantique. Raté.
Un trés bon biopic de Vallanzasca, l'équivalent italien sur bien des points de notre Mesrine. Narration parfois un peu moins claire mais le film se suis bien dans l'ensemble, l'acteur principal est excellent et joue le personnage à merveille.
Biopic intéressant mais parfois dur à suivre sur les agissements d'un gangster Italien, sorte de Mesrine des années 70/80. Le rythme soutenu ne permet pas de s'ennuyer mais gâche parfois la compréhension et la psychologie des faits et des personnages.
Bon biopic sur ce personnage que je connaissais pas. Certains disent que le film est trop court pour aborder la vie de ce gangster mais quand on ne connaît pas, je trouve que ce film donne un très bon aperçu de ce client! En tout cas, on ne s'ennuie pas une seconde, le récit va très vite sans s'attarder sur les détails. C'est peut-être justement ce qui plombe le film, ça va trop vite! Tous les évenements ne sont que survolés et aucun n'est approfondi, d'où un sentiment d'inachevé, de film brouillon, où Placido a cherché à y entasser le maximum d'événements en un film de moins de 2heures pour ne pas décourager certains spectateurs par sa longueur s'il avait plus développé.... dommage, avec un peu plus de temps on aurait là un chef d'oeuvre!
Un très bon biopic qui a le mérite de faire découvrir au grand public français le Mesrine italien , Renato Vallanzasca , célèbre gangster qui en son temps enchaînait braquages , kidnapping , évasions et unes des journaux et ce avec un très grand charisme en ayant fait une sorte de star . C'est tout cela que ce film tente de retranscrire , de son enfance à la fin des années 1950 jusqu'à sa dernière évasion à la fin des années 1980 et c'est le principal reproche que l'on peut faire à ce film , avoir voulu condenser en moins de 2 heures une vie aussi dense que celle de Renato Vallanzasca ce qui conduit à une présentation assez sommaire de chaque événements et il est parfois un peu difficile de s'y retrouver pour celui qui ne connaît pas du tout le personnage . Du fait de cette longueur , les personnages secondaires sont aussi pour la plupart très survolés au profit de Kim Rossi Stuart vraiment bon dans ce rôle aux multiples facettes . Pour le reste , c'est vraiment un très bon film de gangster qui n'occulte aucun aspect que ce soit les braquages flamboyants , l'ivresse du luxe et de la célébrité ou que ce soit les fusillades tragiques et l'enfer de la prison , le tout dans une tension et une froideur permanente , une vraie réussite .
Que l'histoire soit vrai ou pas véridique , pas grave , reste que ça reste un bon film de gangster , l'histoire est assez violente , on passe un bon moment à regarder ce film
pas très bon ce biopique sur la vie de ce malfrat italien des années 70/80, à mi-chemin entre mesrine et le taulard anglais qui se faisait appelé bronson, le film de placido n'est pas très claire, les actions vont très vite, trop vite on passe d'une situaton à une autre sans laisser de répit au spéctateur qui finit par se lasser au bout du compte
Un biopic qui laisse circonspect, l'histoire d'un des plus célèbres gangster italiens raconté avec beaucoup de linéarité mais une mégalomanie amusante. Biopic d'un John Dillinger italien, le scénario narre la vie criminel de Renato Vallenzasca, braqueur qui tombe dans une spirale infernale qui enchaine braquages, emprisonnement et évasion, une intrigue qui se répète souvent et qui semble tourner en rond, une suite qu'on comprend prévisible mais qui arrive a avoir un certain humour, un drame avec une légère pointe de second degré. Méconnu du public international, Kim Rossi Stuart n'aura pas le rôle de sa carrière avec ce film-la puisque son interprétation, certes correcte, tombe souvent dans le surjeu excessif, une mégalomanie qui influe sur l'acteur, et sur son style. Cinéaste du crime italien, Michele Placido arrive a offrir des scènes épiques et sensé, autant que sa mise en scène part souvent dans un chaos confus et des fusillades peu maitrisé... Un biopic criminel avec certaines qualités, mais qui n'atteint pas le niveau des grands biopics.
L'ange du mal a de quoi faire passer un bon moment car le tous est assez correct : les acteurs sont a font dans leur rôles et les scènes d'action sont plutôt bien foutu. Mais s'est bourré de cliché, le réalisateur a prit le meilleur des film Mesrine, Un prophète et de Public enemies et sa ne passe pas inaperçue. Mais sa reste tous de même un bon thriller.
Michele Placido retrace le parcours d'un véritable voyou Italien mais de manière peu inspirée, L'Ange du mal semble ressortir tous les poncifs du genre (on a même droit à la scène du bal ou le mâle conquis la femme inaccessible) sans véritable ingéniosité car ce polar ne fonctionne jamais. Même si ce type de personnage ne me fascine pas Kim Rossi Stuart incarne un bandit qui il faut l'avouer est un personnage tout de même intéressant pour faire un bon polar. L'Ange du mal ne trouve jamais son rythme, n'a pas de véritable intrigue et ne se rattrape pas dans ses scènes d'action filmées au ralenti avec une musique de fond inappropriée.