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Quinze ans d'absence pour une joie à l'égal de celle qui traverse son nouveau film : il faut absolument redécouvrir le cinéaste new-yorkais Whit Stillman dont la comédie est un avion voltigeur, insaisissable qui se fait écrin au talent d'acteurs qu'il valorise avec un amour contagieux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Il est peu d'exemples de cinéma qui transportent le spectateur dans un univers où il pense dans un premier temps ne posséder aucun repère, avant que, peu à peu, le charme n'opère.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Un mot pour finir, quand le charme et l'intelligence de "Damsels in Distress" nous semblent inépuisables : c'est aux acteurs que revient pour une grande part la réussite du film. (...) La générosité communicative des acteurs et celle du film tout entier font qu'on ne saurait l'aimer que " beaucoup, vraiment ".
Whit Stillman s'est lancé un défi de taille. Et il l'a relevé avec grâce, par une subtile alchimie entre le ton, solennel et distancié, et l'incarnation, très charnelle, qui doit autant à ses actrices (...) qu'à un emploi raffiné de la lumière, des couleurs, de la musique et de la danse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Affecté, hors du temps et divinement dialogué, le cinéma de Stillman est difficile à apprivoiser. Il paraît snob, futile mais dégage un charme comme nul autre, une douce âpreté.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ce qui devrait être une comédie pleine de fantaisie tourne rapidement à l'étouffante galerie de personnages plus étrange les uns que les autres, à commencer par l'autoritaire et insupportable Violet.
Ceux qui, en subissant "Les derniers jours du disco", avaient pesté que son auteur prît le spectateur pour son élève ne goûteront guère ce nouvel opus furieusement snob et donneur de leçons.
La critique complète est disponible sur le site Positif
"Damsels in Distress" vaguement rétro, vaguement surréaliste, vaguement drôle, multipliant les "effets de culture" en guise de substance, peut légitimement exaspérer.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Critikat.com
Quinze ans d'absence pour une joie à l'égal de celle qui traverse son nouveau film : il faut absolument redécouvrir le cinéaste new-yorkais Whit Stillman dont la comédie est un avion voltigeur, insaisissable qui se fait écrin au talent d'acteurs qu'il valorise avec un amour contagieux.
L'Obs
Il est peu d'exemples de cinéma qui transportent le spectateur dans un univers où il pense dans un premier temps ne posséder aucun repère, avant que, peu à peu, le charme n'opère.
Les Inrockuptibles
(...) le maître de la comédie spirituelle revient dans une forme étincelante.
Cahiers du Cinéma
Un mot pour finir, quand le charme et l'intelligence de "Damsels in Distress" nous semblent inépuisables : c'est aux acteurs que revient pour une grande part la réussite du film. (...) La générosité communicative des acteurs et celle du film tout entier font qu'on ne saurait l'aimer que " beaucoup, vraiment ".
L'Humanité
Un film à la fois désuet et ironique du plus rohmérien des cinéastes américains.
Le Monde
Whit Stillman s'est lancé un défi de taille. Et il l'a relevé avec grâce, par une subtile alchimie entre le ton, solennel et distancié, et l'incarnation, très charnelle, qui doit autant à ses actrices (...) qu'à un emploi raffiné de la lumière, des couleurs, de la musique et de la danse.
Les Fiches du Cinéma
Inclassable, "Damsels in Distress" mêle un langage raffiné, un humour efficace, une naïveté déroutante et une sincérité rare. Une vraie surprise.
Libération
De tous ses films, c'est celui qui se présente avec le plus de détachement, le plus insituable.
Transfuge
(...) c'est un conte moral rhomérien tout à la fois mélancolique et radieux, profondément inquiet mais aussi rieur.
TéléCinéObs
Affecté, hors du temps et divinement dialogué, le cinéma de Stillman est difficile à apprivoiser. Il paraît snob, futile mais dégage un charme comme nul autre, une douce âpreté.
Ecran Large
Après 13 ans d'absence, Stillman revient en Todd Solondz romantique. Un joli come-back !
La Croix
Ce qui devrait être une comédie pleine de fantaisie tourne rapidement à l'étouffante galerie de personnages plus étrange les uns que les autres, à commencer par l'autoritaire et insupportable Violet.
Positif
Ceux qui, en subissant "Les derniers jours du disco", avaient pesté que son auteur prît le spectateur pour son élève ne goûteront guère ce nouvel opus furieusement snob et donneur de leçons.
Première
(...) ivre de son propre maniérisme, peuplé de têtes à claques (...) la "détresse" du titre risque d'être dangereusement communicative.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné live
TF1 News
"Damsels in Distress" vaguement rétro, vaguement surréaliste, vaguement drôle, multipliant les "effets de culture" en guise de substance, peut légitimement exaspérer.
Télérama
(...) tout cela n'aurait-il pas mieux marché dans une série, dont "Damsels in distress" serait le pilote, ou le best of, attachant et mal fichu ?