Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
La part de romantisme que chaque personnage porte en lui (...) se trouve considérée sans contaminer jamais le regard porté sur eux, sur leur histoire, sur cette forme même de naïveté. C'est une des raisons qui font que le film touche autant, et si durablement.
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Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Walter Salles réussit à donner toute sa modernité à l'oeuvre de Kerouac à travers un road-movie toujours sur les chapeaux de roues. Électrisant.
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Paris Match
par Christine Haas
Bien sûr il y a des longueurs, car les voyages sont parcourus et reparcourus sans autre but que l'amitié, la conduite et la fête. Mais Walter Salles transmet comme personne cette fureur de vivre.
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Positif
par Hubert Niogret
Un découpage très libre, une caméra proche des personnages, sans cesse aux aguets des émotions affleurant sur les visages, une lumière souvent naturelle (parfois un peu sauvage) contribue à la construction d'un voyage dans toutes ses directions physiques et mentales.
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Première
par Gérard Delorme
Le cinéaste brésilien s'en tire plutôt bien, imposant à son film le même rythme jazz que celui qui avait accompagné et inspiré le jeune écrivain. (...) Le voyage de ces pionniers peut paraître limité (...) mais il a le mérite d'être le premier du genre, et ses interprètes réussissent à nous faire partager l'excitation de la découverte.
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TéléCinéObs
par Didier Jacob
Mais l'acteur principal, c'est encore la route, soit l'infini paysage américain qu'arpente sans relâche la caméra de Salles (magnifique image du chef opérateur français Eric Gautier), qui a fait le juste choix de la liberté endiablée sur celui de l'adaptation littérale.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
20 Minutes
par Caroline Vié
[La] relecture [de Walter Salles] du roman d'une sincérité évidente fait pardonner les baisses de rythme en cours de route.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Antoine Oury
A force d'un surplus de respect, Walter Salles ne s'approprie jamais vraiment l'oeuvre de Kerouac. La linéarité de l'adaptation, engoncée entre la première et la dernière phrase du roman, ne surprend que trop rarement le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Françoise Delbecq
Drogue, alcool et free-jazz se succèdent à un rythme effréné, hommage s'il en est à la prose spontanée de la fin des années 50. Walter Salles a aussi un grand talent de directeur d'acteurs et nous révèle un Garrett Hedlund, néo-James Dean mâtiné de Marlon Brando et vibrant talent.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Excessif
par Nicolas Gilli
"Sur la route" tient sur quelques points, de ses comédiens globalement très bons à sa belle musique transpirant le jazz, en passant par une photographie sublime (...). [Mais] rien ne transpire de "Sur la route", ni la passion ni la liberté, et rarement un film avec autant de mouvement à l'écran aura paru aussi immobile.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Eric Libiot
Sur le papier, ça craint. Sur l'écran, la surprise est plutôt bonne. (...) L'adaptation a beau être à mille lieues du livre, le résultat séduit parce que les partis pris de lisibilité sont assumés (...).
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L'Humanité
par Dominique Widemann
La répétition des scènes de défonce et de sexe ne suffit pas à pallier cette absence de contexte, ne serait-ce que par le truchement de ce que les personnages en éprouvent. (...) Ainsi, malgré les talents réunis, l'émotion s'ébrèche sur l'anecdote.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Fidèle à l'esprit du roman de Jack Kerouac, Walter Salles calque ce road-movie sur le rythme d'un jazz endiablé. Un film prévisible mais carré, nerveux et servi par des acteurs talentueux.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Ce n'est pas chez Salles qu'on trouvera de l'inventivité formelle ou de la singularité stylistique. (...) Cet académisme de bonne qualité mais ronronnant est heureusement habité par les relations entre les protagonistes. (...) un produit correct mais formaté qui ne parvient pas à traduire à l'écran la fièvre de l'écriture de Kerouac.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Hubert Prolongeau
Même si Salles, intelligemment, filme plus les corps que les paysages, même s'il réussit à faire de la voiture de ses héros une sorte de lieu clos en mouvement, même si ses acteurs sont souvent magnifiques, ce film qui illustre plus qu'il ne recrée a avant tout le mérite, par sa simple existence, de redonner vie à la génération qu'il dépeint.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Metro
par Jennifer Lesieur
"Sur la route" emporte sans griser ; à force de construire un bel objet cinématographique, il sacrifie l'urgence du départ à la fièvre de l'instant, la réflexion sur l'Amérique des fifties au sourire canaille de ses personnages. Ce qui n'est déjà pas si mal.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Télérama
par Jacques Morice
Les inconditionnels du manifeste (enfin adapté !) de la Beat generation risquent fort d'être déçus. Où est passé ce fameux style " be-bop " de Kerouac, ce chant exalté et syncopé ? Walter Salles (...) a choisi une autre option, plus facile d'accès. Son film n'est pas une trahison, plutôt une version light, avec de très bonnes surprises.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Stéphane Argentin
"On the road", grisé par la vitesse comme s'il était à la recherche du temps perdu, ne nous laisse le temps de nous attacher à rien.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Walter Salles a été victime de lui-même. En voulant demeurer fidèle au texte, il en a édulcoré l'esprit, livrant un film trop propre, trop bien léché où l'on ne sent jamais la sueur, l'odeur de macadam, d'huile, d'essence et de poussière, la déglingue, l'atmosphère de vertige et de folie mâtinée de contemplation, le désespoir sans retour.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Walter Salles oublie de mettre un tigre dans le moteur de ce road-movie fondamentalement exalté et sexuellement sauvage. Et quand le récit appuie sur le champignon, le réalisateur ne passe jamais la vitesse supérieure. Ce n'est plus de la pudibonderie, c'est du frein à main.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Le cinéaste brésilien a donc filmé un mythe au lieu d'adapter un livre, et nous vend une publicité au lieu de nous transmettre une expérience. (...) Salles ne donne à voir que l'encanaillement, très bourgeois dans son fantasme actuel, de jeunes freluquets.
Libération
par Bruno Icher
Le film manifeste si peu d'ambition que l'on ne peut même pas blâmer le pauvre Walter Salles dont les précédentes productions sont à des kilomètres de ce naufrage absolu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
La part de romantisme que chaque personnage porte en lui (...) se trouve considérée sans contaminer jamais le regard porté sur eux, sur leur histoire, sur cette forme même de naïveté. C'est une des raisons qui font que le film touche autant, et si durablement.
Le Journal du Dimanche
Walter Salles réussit à donner toute sa modernité à l'oeuvre de Kerouac à travers un road-movie toujours sur les chapeaux de roues. Électrisant.
Paris Match
Bien sûr il y a des longueurs, car les voyages sont parcourus et reparcourus sans autre but que l'amitié, la conduite et la fête. Mais Walter Salles transmet comme personne cette fureur de vivre.
Positif
Un découpage très libre, une caméra proche des personnages, sans cesse aux aguets des émotions affleurant sur les visages, une lumière souvent naturelle (parfois un peu sauvage) contribue à la construction d'un voyage dans toutes ses directions physiques et mentales.
Première
Le cinéaste brésilien s'en tire plutôt bien, imposant à son film le même rythme jazz que celui qui avait accompagné et inspiré le jeune écrivain. (...) Le voyage de ces pionniers peut paraître limité (...) mais il a le mérite d'être le premier du genre, et ses interprètes réussissent à nous faire partager l'excitation de la découverte.
TéléCinéObs
Mais l'acteur principal, c'est encore la route, soit l'infini paysage américain qu'arpente sans relâche la caméra de Salles (magnifique image du chef opérateur français Eric Gautier), qui a fait le juste choix de la liberté endiablée sur celui de l'adaptation littérale.
20 Minutes
[La] relecture [de Walter Salles] du roman d'une sincérité évidente fait pardonner les baisses de rythme en cours de route.
Critikat.com
A force d'un surplus de respect, Walter Salles ne s'approprie jamais vraiment l'oeuvre de Kerouac. La linéarité de l'adaptation, engoncée entre la première et la dernière phrase du roman, ne surprend que trop rarement le spectateur.
Elle
Drogue, alcool et free-jazz se succèdent à un rythme effréné, hommage s'il en est à la prose spontanée de la fin des années 50. Walter Salles a aussi un grand talent de directeur d'acteurs et nous révèle un Garrett Hedlund, néo-James Dean mâtiné de Marlon Brando et vibrant talent.
Excessif
"Sur la route" tient sur quelques points, de ses comédiens globalement très bons à sa belle musique transpirant le jazz, en passant par une photographie sublime (...). [Mais] rien ne transpire de "Sur la route", ni la passion ni la liberté, et rarement un film avec autant de mouvement à l'écran aura paru aussi immobile.
L'Express
Sur le papier, ça craint. Sur l'écran, la surprise est plutôt bonne. (...) L'adaptation a beau être à mille lieues du livre, le résultat séduit parce que les partis pris de lisibilité sont assumés (...).
L'Humanité
La répétition des scènes de défonce et de sexe ne suffit pas à pallier cette absence de contexte, ne serait-ce que par le truchement de ce que les personnages en éprouvent. (...) Ainsi, malgré les talents réunis, l'émotion s'ébrèche sur l'anecdote.
Les Fiches du Cinéma
Fidèle à l'esprit du roman de Jack Kerouac, Walter Salles calque ce road-movie sur le rythme d'un jazz endiablé. Un film prévisible mais carré, nerveux et servi par des acteurs talentueux.
Les Inrockuptibles
Ce n'est pas chez Salles qu'on trouvera de l'inventivité formelle ou de la singularité stylistique. (...) Cet académisme de bonne qualité mais ronronnant est heureusement habité par les relations entre les protagonistes. (...) un produit correct mais formaté qui ne parvient pas à traduire à l'écran la fièvre de l'écriture de Kerouac.
Marianne
Même si Salles, intelligemment, filme plus les corps que les paysages, même s'il réussit à faire de la voiture de ses héros une sorte de lieu clos en mouvement, même si ses acteurs sont souvent magnifiques, ce film qui illustre plus qu'il ne recrée a avant tout le mérite, par sa simple existence, de redonner vie à la génération qu'il dépeint.
Metro
"Sur la route" emporte sans griser ; à force de construire un bel objet cinématographique, il sacrifie l'urgence du départ à la fièvre de l'instant, la réflexion sur l'Amérique des fifties au sourire canaille de ses personnages. Ce qui n'est déjà pas si mal.
Télérama
Les inconditionnels du manifeste (enfin adapté !) de la Beat generation risquent fort d'être déçus. Où est passé ce fameux style " be-bop " de Kerouac, ce chant exalté et syncopé ? Walter Salles (...) a choisi une autre option, plus facile d'accès. Son film n'est pas une trahison, plutôt une version light, avec de très bonnes surprises.
Ecran Large
"On the road", grisé par la vitesse comme s'il était à la recherche du temps perdu, ne nous laisse le temps de nous attacher à rien.
La Croix
Walter Salles a été victime de lui-même. En voulant demeurer fidèle au texte, il en a édulcoré l'esprit, livrant un film trop propre, trop bien léché où l'on ne sent jamais la sueur, l'odeur de macadam, d'huile, d'essence et de poussière, la déglingue, l'atmosphère de vertige et de folie mâtinée de contemplation, le désespoir sans retour.
Le Parisien
Walter Salles oublie de mettre un tigre dans le moteur de ce road-movie fondamentalement exalté et sexuellement sauvage. Et quand le récit appuie sur le champignon, le réalisateur ne passe jamais la vitesse supérieure. Ce n'est plus de la pudibonderie, c'est du frein à main.
Cahiers du Cinéma
Le cinéaste brésilien a donc filmé un mythe au lieu d'adapter un livre, et nous vend une publicité au lieu de nous transmettre une expérience. (...) Salles ne donne à voir que l'encanaillement, très bourgeois dans son fantasme actuel, de jeunes freluquets.
Libération
Le film manifeste si peu d'ambition que l'on ne peut même pas blâmer le pauvre Walter Salles dont les précédentes productions sont à des kilomètres de ce naufrage absolu.