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Les combats navals, particulièrement, sont aussi spectaculaires que soignés (...); Restent ces combats de péplum où le moindre détail est accentué avec une précision hyperréaliste (...) dont on finit par oublier l'aspect sordide pour n'en apprécier que l'époustouflant formalisme pictural. Du beau travail.
On peut certes critiquer le relatif manque d’envergure de ce cinéma populaire (...). Mais la raréfaction de ces blockbusters subversifs n’est pas imputable au seul Zack Snyder, qui reste un entertainer sans pareil.
Ponctué de scènes de pure fantasy et généreux dans le gore au point d'évoquer le bis italien, "300 : la naissance d'un empire" n'est pas seulement une "suite" réussie : c'est une réussite inattendue et un poème guerrier d'une fureur épique inouïe, où un instant suspendu au milieu du carnage devient un sublime élan de romantisme tragique et donne l'impression de voir éclore une rose au milieu d'un charnier.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Bénéficiant à nouveau d’une direction artistique soignée, toujours dopé à la testostérone et toujours aussi kitsch, "300 : la naissance d’un empire" a tout pour plaire aux fans du premier film. Si vous ne faites pas partie de ceux-là, inutile d’insister en revanche.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Les répliques qui tuent et les affrontements semblant tout droit sortis d’un roman graphique de Miller amusent, bien que l’élément de surprise du premier volet soit envolé. Ceux qui aiment les films de gladiateurs ou assimilés lèveront cependant leur glaive en signe de liesse devant cette série B assumée.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Intensément spectaculaire par endroit, franchement drôle quand il assume ses outrances, "300 : la naissance d'un empire" n'est pas un tant un bon film qu'un très beau n'importe quoi.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
(...) cette "Naissance d'un empire", que l'on aura le droit de préférer à l'original, est plus courte de quinze minutes. Mais, en l'occurrence, qui peut le moins... peut le plus.
Scénario simplissime, déluge d'hémoglobine et un héros athénien un peu fade (...). Reste la beauté des batailles navales en 3D, les tablettes de chocolat des guerriers hellènes et la troublante Eva Green (...).
Que le second volet de la franchise à succès soit encore plus bête que son prédécesseur, passe encore. Mais la médiocrité du travail sur l'image lui ôte tout intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Si le premier épisode de "300", réalisé par Zack Snyder, avait été un choc visuel, dépoussiérant les vieux péplums, ce nouveau chapitre est malheureusement raté.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
C’est un film où il y a trois fois cent gugusses (c’est le titre), trois héros (dont une héroïne méchante), trois dimensions (lunettes assorties) et trois adjectifs qualificatifs : médiocreux, médiocrissime, médiocrapoteux.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Dans ce péplum grotesque, l’inspiration n’est pas cinématographique mais de l’ordre du fantasme de "gamer". Jeu de plateforme belliqueux qui ne s’embarrasse pas de ses invraisemblances, 300 : Naissance d’un empire est une grosse série B nauséabonde qui entraîne dans sa chute Eva Green.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
C’est bien connu, "plus le méchant est réussi, plus le film l’est aussi". Cet adage d’Alfred Hitchcock s’applique à "300 : naissance d’un empire".
L'Ecran Fantastique
Les combats navals, particulièrement, sont aussi spectaculaires que soignés (...); Restent ces combats de péplum où le moindre détail est accentué avec une précision hyperréaliste (...) dont on finit par oublier l'aspect sordide pour n'en apprécier que l'époustouflant formalisme pictural. Du beau travail.
Les Inrockuptibles
On peut certes critiquer le relatif manque d’envergure de ce cinéma populaire (...). Mais la raréfaction de ces blockbusters subversifs n’est pas imputable au seul Zack Snyder, qui reste un entertainer sans pareil.
Mad Movies
Ponctué de scènes de pure fantasy et généreux dans le gore au point d'évoquer le bis italien, "300 : la naissance d'un empire" n'est pas seulement une "suite" réussie : c'est une réussite inattendue et un poème guerrier d'une fureur épique inouïe, où un instant suspendu au milieu du carnage devient un sublime élan de romantisme tragique et donne l'impression de voir éclore une rose au milieu d'un charnier.
Metro
Bénéficiant à nouveau d’une direction artistique soignée, toujours dopé à la testostérone et toujours aussi kitsch, "300 : la naissance d’un empire" a tout pour plaire aux fans du premier film. Si vous ne faites pas partie de ceux-là, inutile d’insister en revanche.
20 Minutes
Les répliques qui tuent et les affrontements semblant tout droit sortis d’un roman graphique de Miller amusent, bien que l’élément de surprise du premier volet soit envolé. Ceux qui aiment les films de gladiateurs ou assimilés lèveront cependant leur glaive en signe de liesse devant cette série B assumée.
Ecran Large
Intensément spectaculaire par endroit, franchement drôle quand il assume ses outrances, "300 : la naissance d'un empire" n'est pas un tant un bon film qu'un très beau n'importe quoi.
Première
(...) cette "Naissance d'un empire", que l'on aura le droit de préférer à l'original, est plus courte de quinze minutes. Mais, en l'occurrence, qui peut le moins... peut le plus.
Télé 7 Jours
Scénario simplissime, déluge d'hémoglobine et un héros athénien un peu fade (...). Reste la beauté des batailles navales en 3D, les tablettes de chocolat des guerriers hellènes et la troublante Eva Green (...).
Le Monde
Que le second volet de la franchise à succès soit encore plus bête que son prédécesseur, passe encore. Mais la médiocrité du travail sur l'image lui ôte tout intérêt.
Le Parisien
Si le premier épisode de "300", réalisé par Zack Snyder, avait été un choc visuel, dépoussiérant les vieux péplums, ce nouveau chapitre est malheureusement raté.
Les Fiches du Cinéma
“300” revient pour un second round pompier et épuisant. Attention, le port excessif du casque à crête peut causer d'irréversibles dommages cérébraux.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
C’est un film où il y a trois fois cent gugusses (c’est le titre), trois héros (dont une héroïne méchante), trois dimensions (lunettes assorties) et trois adjectifs qualificatifs : médiocreux, médiocrissime, médiocrapoteux.
aVoir-aLire.com
Dans ce péplum grotesque, l’inspiration n’est pas cinématographique mais de l’ordre du fantasme de "gamer". Jeu de plateforme belliqueux qui ne s’embarrasse pas de ses invraisemblances, 300 : Naissance d’un empire est une grosse série B nauséabonde qui entraîne dans sa chute Eva Green.