Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Libération
par Didier Péron
Les moyens mobilisés par le film produisent, à l'instar de la complexité de la narration, un effet d'hypnose au ralenti qui vient de l'expressionnisme de Fritz Lang, [...] du meilleur Roman Polanski.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Elle
par Françoise Delbecq
Ce thriller a tout pour séduire. (...) Vincent Cassel excelle dans la retenue et l'austérité.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par Pascal Mérigeau
"Le Moine" se signale à l'attention par sa singularité et son sombre éclat, qui s'inscrivent dans la meilleure tradition du cinéma fantastique d'inspiration littéraire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Pierre Murat
Dominik Moll a évacué les outrances blasphématoires du roman au profit d'un conte au classicisme rigoureux, qu'il parsème d'inventions visuelles. (...) Interprété par un Vincent Cassel intensément sobre - si l'on ose dire -, le héros n'est plus un fantoche lubrique, mais une victime dont le sort semble joué d'avance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Ecran Fantastique
par Nathalie Dassa
Avec un Vincent Cassel convaincant et toujours au sommet de son jeu, "Le Moine" reste avant tout une oeuvre d'atmosphère et Moll maîtrise son art de filmer le glauque, le malsain et le malaise en se réappropriant les codes inhérents au genre, ce qu'il avait brillamment mis en oeuvre dans "Harry, un ami qui vous veut du bien".
La critique complète est disponible sur le site L'Ecran Fantastique
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On aime le scénario fidèle à la perversion du récit d'origine, les dialogues ciselés, l'ambiance envoûtante due à la photographie qui joue sur les contrastes (paysages solaires de l'Espagne, vie nocturne dans le monastère) et la suggestion du surnaturel.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
De cette fièvre gothique, Dominik Moll s'empare avec les honneurs, faisant entrer dans la palette de son film tout le nuancier esthético-historique qui lui est attaché. Certains souvenirs cinématographiques, [dont] le baroque flamboyant des "Diables" de l'Anglais Ken Russell, remettent toutefois cette prolifique imagerie à une place plus modeste. "Le Moine" apparaît alors comme une synthèse qui, faute de transcender le genre et de prouver sa nécessité contemporaine, tient un peu de l'exercice de style.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
voir lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ouest France
par La rédaction
Dominik Moll reste à la surface de son propos, sans en exploiter les troubles ambiguïtés.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Pierre Eisenreich
Bien que le matériau dramatique soit extrêmement riche, relatant une crise de la foi du moine Ambrosio confronté à la puissance de l'érotisme et à l'érotisme et à l'imaginaire surnaturel, la mise en scène peine à trouver une forme qui incarne les forces invisibles.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Stéphanie Lamone
Dommage que cette fièvre et cette audace du décorum et du casting ne contaminent pas suffisamment le coeur du film, trop sage pour incarner ce "poème du Mal" tant chéri par les surréalistes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir le site de Studio CinéLive.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
Vincent Cassel étonne avec son jeu intériorisé et minimaliste. Dommage que le scénario soit édulcoré.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
20 Minutes
par Caroline Vié
Vincent Cassel en fait des chapelets.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Excessif
par Romain Le Vern
Moll ne semble pas réellement à l'aise avec cet exercice mystico-fantastique qui nécessitait une démesure. (...) On attendait tellement mieux de ce pacte avec le diable aux enjeux Faustiens. Même problème pour Vincent Cassel : l'acteur, ici en contre-emploi feint la solennité mais ne parvient jamais à se départir d'une image sexuée et bestiale. A l'arrivée, c'est du pur miscasting.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Eric Libiot
Dominik Moll et sa scénariste, Anne-Louise Trividic, vident systématiquement leur intrigue du suc des péripéties qui s'annoncent. Le récit cahote, les enjeux dramatiques fondent sous le soleil ibère, les destins des personnages se croisent maladroitement. Surtout, Dominik Moll s'empêche visiblement de jouer la carte du fantastique et du baroque.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Dominik Moll, lui, opte pour une ambiance thriller, en appuyant les effets sonores et visuels. Pourtant, quelque chose ne fonctionne pas dans le projet, qui reste soit trop désincarné, soit trop théorique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par Marie Sauvion
Si le film séduit par son esthétique et instaure un climat fantastique d'abord captivant, il désamorce froidement chacune de ses péripéties feuilletonnesques et donne, au final, l'impression de reculer devant l'outrance de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Cédric Delelée
Les aspects les plus déviants du récit sont [...] prestement évacués et le film fait preuve d'une austérité et d'une retenue plus adaptée à la télévision publique qu'au grand écran.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Télérama
par Cécile Mury
Le cinéaste consacre son film à cette histoire de perdition sexuelle. Pour les distraits et les mal-comprenants, il multiplie même les plans de gargouilles ostensiblement phalliques, dressées sur les murs d'églises comme d'impudents défis à Dieu. La fable qui en découle est lourde, solennelle, empesée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Isabelle Zribi
Dominik Moll passe à côté de ce qui faisait l'intérêt du roman de Lewis.
Critikat.com
par Julien Marsa
"Le Moine" ressemble fortement à un "Nom de la rose" du pauvre : mise en scène plan-plan, interprétation balourde, effets spéciaux kitschs et ringards, intrigue grotesque et cousue de fil blanc.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
D'un côté, Vincent Cassel, en saint puceau tenté puis dévoyé par le diable, est à peu près aussi convaincant dans le rôle d'un moine que le serait Scarlett Johansson dans le rôle de Mère Teresa. De l'autre, Sergi López, dont on devine immédiatement, à son regard tordu, qu'il est Satan. Tout cela est trop sage, trop scolaire, trop référentiel (à Hitchcock, au cinéma bis italo-hispanique, on imagine), jamais habité, hanté. Quel gâchis.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TéléCinéObs
par Bernard Achour
[...] une grandiloquence de série Z dopée aux trucages numériques. [...] Cassel constitue en outre une erreur de casting fatale.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Libération
Les moyens mobilisés par le film produisent, à l'instar de la complexité de la narration, un effet d'hypnose au ralenti qui vient de l'expressionnisme de Fritz Lang, [...] du meilleur Roman Polanski.
Elle
Ce thriller a tout pour séduire. (...) Vincent Cassel excelle dans la retenue et l'austérité.
L'Obs
"Le Moine" se signale à l'attention par sa singularité et son sombre éclat, qui s'inscrivent dans la meilleure tradition du cinéma fantastique d'inspiration littéraire.
Télérama
Dominik Moll a évacué les outrances blasphématoires du roman au profit d'un conte au classicisme rigoureux, qu'il parsème d'inventions visuelles. (...) Interprété par un Vincent Cassel intensément sobre - si l'on ose dire -, le héros n'est plus un fantoche lubrique, mais une victime dont le sort semble joué d'avance.
L'Ecran Fantastique
Avec un Vincent Cassel convaincant et toujours au sommet de son jeu, "Le Moine" reste avant tout une oeuvre d'atmosphère et Moll maîtrise son art de filmer le glauque, le malsain et le malaise en se réappropriant les codes inhérents au genre, ce qu'il avait brillamment mis en oeuvre dans "Harry, un ami qui vous veut du bien".
Le Journal du Dimanche
On aime le scénario fidèle à la perversion du récit d'origine, les dialogues ciselés, l'ambiance envoûtante due à la photographie qui joue sur les contrastes (paysages solaires de l'Espagne, vie nocturne dans le monastère) et la suggestion du surnaturel.
Le Monde
De cette fièvre gothique, Dominik Moll s'empare avec les honneurs, faisant entrer dans la palette de son film tout le nuancier esthético-historique qui lui est attaché. Certains souvenirs cinématographiques, [dont] le baroque flamboyant des "Diables" de l'Anglais Ken Russell, remettent toutefois cette prolifique imagerie à une place plus modeste. "Le Moine" apparaît alors comme une synthèse qui, faute de transcender le genre et de prouver sa nécessité contemporaine, tient un peu de l'exercice de style.
Le Point
voir lepoint.fr
Ouest France
Dominik Moll reste à la surface de son propos, sans en exploiter les troubles ambiguïtés.
Positif
Bien que le matériau dramatique soit extrêmement riche, relatant une crise de la foi du moine Ambrosio confronté à la puissance de l'érotisme et à l'érotisme et à l'imaginaire surnaturel, la mise en scène peine à trouver une forme qui incarne les forces invisibles.
Première
Dommage que cette fièvre et cette audace du décorum et du casting ne contaminent pas suffisamment le coeur du film, trop sage pour incarner ce "poème du Mal" tant chéri par les surréalistes.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio CinéLive.
Télé 7 Jours
Vincent Cassel étonne avec son jeu intériorisé et minimaliste. Dommage que le scénario soit édulcoré.
20 Minutes
Vincent Cassel en fait des chapelets.
Excessif
Moll ne semble pas réellement à l'aise avec cet exercice mystico-fantastique qui nécessitait une démesure. (...) On attendait tellement mieux de ce pacte avec le diable aux enjeux Faustiens. Même problème pour Vincent Cassel : l'acteur, ici en contre-emploi feint la solennité mais ne parvient jamais à se départir d'une image sexuée et bestiale. A l'arrivée, c'est du pur miscasting.
L'Express
Dominik Moll et sa scénariste, Anne-Louise Trividic, vident systématiquement leur intrigue du suc des péripéties qui s'annoncent. Le récit cahote, les enjeux dramatiques fondent sous le soleil ibère, les destins des personnages se croisent maladroitement. Surtout, Dominik Moll s'empêche visiblement de jouer la carte du fantastique et du baroque.
L'Humanité
Dominik Moll, lui, opte pour une ambiance thriller, en appuyant les effets sonores et visuels. Pourtant, quelque chose ne fonctionne pas dans le projet, qui reste soit trop désincarné, soit trop théorique.
Le Parisien
Si le film séduit par son esthétique et instaure un climat fantastique d'abord captivant, il désamorce froidement chacune de ses péripéties feuilletonnesques et donne, au final, l'impression de reculer devant l'outrance de son sujet.
Mad Movies
Les aspects les plus déviants du récit sont [...] prestement évacués et le film fait preuve d'une austérité et d'une retenue plus adaptée à la télévision publique qu'au grand écran.
Télérama
Le cinéaste consacre son film à cette histoire de perdition sexuelle. Pour les distraits et les mal-comprenants, il multiplie même les plans de gargouilles ostensiblement phalliques, dressées sur les murs d'églises comme d'impudents défis à Dieu. La fable qui en découle est lourde, solennelle, empesée.
Cahiers du Cinéma
Dominik Moll passe à côté de ce qui faisait l'intérêt du roman de Lewis.
Critikat.com
"Le Moine" ressemble fortement à un "Nom de la rose" du pauvre : mise en scène plan-plan, interprétation balourde, effets spéciaux kitschs et ringards, intrigue grotesque et cousue de fil blanc.
Les Inrockuptibles
D'un côté, Vincent Cassel, en saint puceau tenté puis dévoyé par le diable, est à peu près aussi convaincant dans le rôle d'un moine que le serait Scarlett Johansson dans le rôle de Mère Teresa. De l'autre, Sergi López, dont on devine immédiatement, à son regard tordu, qu'il est Satan. Tout cela est trop sage, trop scolaire, trop référentiel (à Hitchcock, au cinéma bis italo-hispanique, on imagine), jamais habité, hanté. Quel gâchis.
TéléCinéObs
[...] une grandiloquence de série Z dopée aux trucages numériques. [...] Cassel constitue en outre une erreur de casting fatale.