Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Nicolas Barry [porte] un soin tout particulier à l’image et à la mise en scène pour restituer la fantaisie foutraque de l’univers de Daniel Pennac. (...) Les dialogues, empruntés aux personnages de papier, sont servis par une distribution impeccable (...)
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Positif
par Olivier De Bruyn
Le résultat (...) témoigne d'un incontestable savoir-faire et donne l'occasion aux acteurs (...) de s'amuser avec des personnages qui s'y prêtent.
Critikat.com
par Ursula Michel
Si cette adaptation ne se défait jamais d’une certaine révérence vis-à-vis de ses origines littéraires, elle ne dénature pas la prose initiale, ce qui demeure un parti pris somme toute respectable.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Ouest France
par La Rédaction
La belle mécanique des décors et des interprètes tourne à vide, sans installer rires et frissons que devrait dégager cette histoire étrange. Hésitant entre parents et enfants, on se demande à qui s'adresse le film.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Nicolas Bary (...) adapte le roman de Daniel Pennac, recrute un casting trois étoiles mais noie la fantaisie zinzin du texte sous un attendrissement confortable et des effets publicitaires clinquants.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Cécile Mury
(...) en misant tout sur "le bonheur", Nicolas Bary a juste un peu négligé les "ogres"...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Un temple érigé en l’honneur de Pennac qui connaît enfin sa consécration au cinéma avec une adaptation qui convoque toute la magie et la fantaisie de l’auteur avec les moyens d’une production française cossue (…).
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Si Bérénice Bejo et Raphaël Personnaz forment un joli couple, le charme foutraque et prometteur du début s'évapore un peu trop vite.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Si l'humour et l'énergie sont au rendez-vous, l'esthétique flashy et stylisée de Nicolas Bary laisse peu de place à des personnages bien fades.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Tout ça n’a objectivement pas beaucoup d’intérêt, à part qu’on se demande pourquoi un mec de 30 ans - le cinéaste Nicolas Bary - peut ressentir là, maintenant, tout de suite, le désir de filmer comme cela ces personnages sans relief dans toute cette bimbeloterie.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
par Uriell Ceillier
Lorgnant sur l'univers de Jeunet, il mêle les genres (comédie, romance...) dans un conte un peu trop enfantin.
Le Monde
par Noémie Luciani
Un film qui ne ressemble à rien.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Cet indigeste millefeuille visuel noie l’intrigue, la transforme en comédie foutraque, se débrouille pour ratatiner le polar en route et provoque l’ennui.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un cas de cancer filmique au stade terminal ou on ne s’y connaît pas.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
La Croix
Nicolas Barry [porte] un soin tout particulier à l’image et à la mise en scène pour restituer la fantaisie foutraque de l’univers de Daniel Pennac. (...) Les dialogues, empruntés aux personnages de papier, sont servis par une distribution impeccable (...)
Positif
Le résultat (...) témoigne d'un incontestable savoir-faire et donne l'occasion aux acteurs (...) de s'amuser avec des personnages qui s'y prêtent.
Critikat.com
Si cette adaptation ne se défait jamais d’une certaine révérence vis-à-vis de ses origines littéraires, elle ne dénature pas la prose initiale, ce qui demeure un parti pris somme toute respectable.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Ouest France
La belle mécanique des décors et des interprètes tourne à vide, sans installer rires et frissons que devrait dégager cette histoire étrange. Hésitant entre parents et enfants, on se demande à qui s'adresse le film.
TéléCinéObs
Nicolas Bary (...) adapte le roman de Daniel Pennac, recrute un casting trois étoiles mais noie la fantaisie zinzin du texte sous un attendrissement confortable et des effets publicitaires clinquants.
Télérama
(...) en misant tout sur "le bonheur", Nicolas Bary a juste un peu négligé les "ogres"...
aVoir-aLire.com
Un temple érigé en l’honneur de Pennac qui connaît enfin sa consécration au cinéma avec une adaptation qui convoque toute la magie et la fantaisie de l’auteur avec les moyens d’une production française cossue (…).
Le Journal du Dimanche
Si Bérénice Bejo et Raphaël Personnaz forment un joli couple, le charme foutraque et prometteur du début s'évapore un peu trop vite.
Les Fiches du Cinéma
Si l'humour et l'énergie sont au rendez-vous, l'esthétique flashy et stylisée de Nicolas Bary laisse peu de place à des personnages bien fades.
Libération
Tout ça n’a objectivement pas beaucoup d’intérêt, à part qu’on se demande pourquoi un mec de 30 ans - le cinéaste Nicolas Bary - peut ressentir là, maintenant, tout de suite, le désir de filmer comme cela ces personnages sans relief dans toute cette bimbeloterie.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
Lorgnant sur l'univers de Jeunet, il mêle les genres (comédie, romance...) dans un conte un peu trop enfantin.
Le Monde
Un film qui ne ressemble à rien.
Le Parisien
Cet indigeste millefeuille visuel noie l’intrigue, la transforme en comédie foutraque, se débrouille pour ratatiner le polar en route et provoque l’ennui.
Les Inrockuptibles
Un cas de cancer filmique au stade terminal ou on ne s’y connaît pas.