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6 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
un tableau au vitriol de l'Angleterre thatchérienne, où le marasme social et politique atteignait son paroxysme. (...) La beauté de The Red Ridind réside dans ces innombrables détails vernaculaires grâce auxquels le cinéma de genre s'élargit au portait de toute une société.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Dvdrama
par David A.
Film qui vient conclure The red riding trilogy, les questions y trouvent leurs réponses dans un maëlström de la violence humaine. Viol, torture, meurtre, pédophilie, les aspects les plus sombres de la nature humaine nous sont jetés à la figure. Perturbant.
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
L'Express
par La rédac
www.lexpress.fr
Chronic'art.com
par yann François
Le foisonnement romanesque et la soudure de miettes narratives donnent un ciment à cette fragile embarcation morcelée.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par thomas Sotinel
L'épilogue de 1983 retombe dans les errements du premier film, aggravés par l'invraisemblance croissante du scénario.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par La rédaction
(...) trois affaires rondement menées, mais sans génie et plutôt en deçà des atmosphères oppressantes des livres.
La critique complète est disponible sur le site Libération
AlloCiné
Les Inrockuptibles
un tableau au vitriol de l'Angleterre thatchérienne, où le marasme social et politique atteignait son paroxysme. (...) La beauté de The Red Ridind réside dans ces innombrables détails vernaculaires grâce auxquels le cinéma de genre s'élargit au portait de toute une société.
Dvdrama
Film qui vient conclure The red riding trilogy, les questions y trouvent leurs réponses dans un maëlström de la violence humaine. Viol, torture, meurtre, pédophilie, les aspects les plus sombres de la nature humaine nous sont jetés à la figure. Perturbant.
L'Express
www.lexpress.fr
Chronic'art.com
Le foisonnement romanesque et la soudure de miettes narratives donnent un ciment à cette fragile embarcation morcelée.
Le Monde
L'épilogue de 1983 retombe dans les errements du premier film, aggravés par l'invraisemblance croissante du scénario.
Libération
(...) trois affaires rondement menées, mais sans génie et plutôt en deçà des atmosphères oppressantes des livres.