Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Excessif
par Romain Le Vern
Par pudeur et par instinct, Audiard exprime l'essentiel entre les lignes et entre les images. Avec une évidence que l'on rencontre rarement, il capte des morceaux de vie dans un hasard organisé (...). A bien des égards, Audiard envisage le cinéma comme une réinterprétation du monde. Son inspiration est sombre, son art lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Express
par Eric Libiot
Après "Les Adieux à la reine", de Benoît Jacquot, "De rouille et d'os", de Jacques Audiard, devient le second meilleur film français de l'année. (...) Marion Cotillard est magnifique, Matthias Schoenaerts intense, l'intrigue charrie un romanesque à la fois doux et rugueux (...). Du mélo revisité, assumé, sublimé.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Dominique Widemann
Les dons d'invention des acteurs sont mis à rude épreuve par un réalisateur qui hisse ses personnages à la tragédie, panse de sensualité des corps en lambeaux, offre à l'exultation des ralentis d'opéra.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Sensations, impressions, émotions, "De rouille et d'os" est un film bourré jusqu'à la gueule, si maîtrisé, si tenu qu'il déborde de partout.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
"De rouille et d'os" est traversé de puissantes émotions, d'éclats de rire, de larmes. Tout y est poignant, étonnant, et laisse des traces dans nos mémoires bien après l'avoir vu.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Une fois encore avec "De rouille et d'os", servi par une éblouissante maîtrise de récit et de rythme, [Audiard] dit comment des héros très discrets mais seuls, amputés du bonheur, vont réagir et se réparer. (...) De battre, devant ce film âpre et sensuel, nos coeurs ne sont pas près de s'arrêter.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
"De rouille et d'os" est un film impressionnant de maîtrise, d'intensité et, finalement, de simplicité. (...) chaque plan est impeccablement composé, éclairé, découpé tout en restant au service du récit et des personnages. Car la plus large part de réussite du film tient dans les personnages, donc les acteurs : leurs corps, leurs phrasés, leurs interactions, leurs regards, leur palette de sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Danièle Heymann
(...) film puissant, charnel, bouleversant. Un film qui va, jusqu'au plus indicible, au moins montrable, parler du corps.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Frédéric Foubert
L'un des coups de génie du cinéaste consiste à plonger cet argument romantique dans un récit gigogne et dynamique, insaisissable, qui change de braquet en permanence (...). Cette matière narrative monstre, (...) Audiard la malaxe avec un art qui n'appartient qu'à lui.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Voir sur le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
par Uriell Ceillier
Émaillé de scènes violentes et de purs moments de grâce, [le] film bouscule autant qu'il chavire et laisse comme un goût amer. On en sort la boule au ventre, mais que ce mélodrame (...) est lumineux !
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Sublimé par deux splendides comédiens, "De rouille et d'os" impose un lyrisme, celui de la musique, celui d'une image étrange, extravagante, expressionniste (...), qui prend le pouvoir sur un réel tragique, jusqu'à l'ennoblir.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Elle
par Anne Diatkine
Un hymne à la vulnérabilité traverse le cinéma d'Audiard et trouve son apogée dans "De rouille et d'os".
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Croix
par Arnaud Schwartz
On pourra légitimement regretter quelques effets de scénario peu probants, un dialogue peu naturel entre différentes composantes du film, mais "De rouille et d'os" frappe d'abord par la force de son interprétation.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Aux larmes, à l'émotion Audiard préfère du brillant, de la stylisation, mais aussi du brutal, comme aurait dit son père, Michel, de deux personnages bigger than life qui "enchantent le réel".
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Jacques Audiard, maîtrisant de nouveau un béhaviorisme cru et sans pitié, montre l'humanité qui se cache derrière les carapaces que la brutalité génère chez les plus humbles...
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Olivier Séguret
Tout est bien dans "De rouille et d'os", sauf cette petite faute de goût qui ternit tout : c'est un chef-d'oeuvre. C'est du moins dans cet esprit qu'il a été conçu et c'est naturellement cet esprit qui l'empêche de l'être.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
Une ombre de "Strada", un reflet de "Fight Club", une pincée de frères Dardenne, le tout shaké par l'énergie cinématographique d'Audiard, et vous aurez une petite idée de ce cocktail de "rouille et d'os", et de talents.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Concentré sur ses personnages qu'il filme de très près, le cinéaste ne s'attarde pas sur des paysages, mais sculpte d'abord les corps et des blocs de couleur (...) Esthétiquement, le film fait penser au fauvisme et assume ainsi son caractère de mélodrame flamboyant.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Pierre Murat
Tout cela est délicat, complexe, intense. Mais un peu froid, aussi, par moments, comme si le réalisateur tenait à maintenir entre ses personnages et lui, entre lui et nous, une distance. Une protection contre l'émotion facile.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Fabien Reyre
La roublardise et le maniérisme du réalisateur ne se sont pas miraculeusement évaporés, son goût pour les effets un peu chic et mode non plus. Tout au plus trouve-t-on dans "De rouille et d'os" une forme d'optimisme salvateur qui viendrait faire la nique aux improbables coups du sort qui s'acharnent sur les héros de ce drame souvent trop démonstratif.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Sandy Gillet
On retient son souffle à l'image de nos deux acteurs qui fluidifient un scénario un peu mécanique. On apprécie la mise en scène magistrale qui finit de convaincre sans pour autant enthousiasmer.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
La manipulation est totale, et sous la joliesse des détails de mise en scène, ne recule devant aucune contradiction : finalement aussi inconsistant que son personnage, ce film-là est "opé".
Excessif
Par pudeur et par instinct, Audiard exprime l'essentiel entre les lignes et entre les images. Avec une évidence que l'on rencontre rarement, il capte des morceaux de vie dans un hasard organisé (...). A bien des égards, Audiard envisage le cinéma comme une réinterprétation du monde. Son inspiration est sombre, son art lumineux.
L'Express
Après "Les Adieux à la reine", de Benoît Jacquot, "De rouille et d'os", de Jacques Audiard, devient le second meilleur film français de l'année. (...) Marion Cotillard est magnifique, Matthias Schoenaerts intense, l'intrigue charrie un romanesque à la fois doux et rugueux (...). Du mélo revisité, assumé, sublimé.
L'Humanité
Les dons d'invention des acteurs sont mis à rude épreuve par un réalisateur qui hisse ses personnages à la tragédie, panse de sensualité des corps en lambeaux, offre à l'exultation des ralentis d'opéra.
L'Obs
Sensations, impressions, émotions, "De rouille et d'os" est un film bourré jusqu'à la gueule, si maîtrisé, si tenu qu'il déborde de partout.
Le Journal du Dimanche
"De rouille et d'os" est traversé de puissantes émotions, d'éclats de rire, de larmes. Tout y est poignant, étonnant, et laisse des traces dans nos mémoires bien après l'avoir vu.
Le Parisien
Une fois encore avec "De rouille et d'os", servi par une éblouissante maîtrise de récit et de rythme, [Audiard] dit comment des héros très discrets mais seuls, amputés du bonheur, vont réagir et se réparer. (...) De battre, devant ce film âpre et sensuel, nos coeurs ne sont pas près de s'arrêter.
Les Inrockuptibles
"De rouille et d'os" est un film impressionnant de maîtrise, d'intensité et, finalement, de simplicité. (...) chaque plan est impeccablement composé, éclairé, découpé tout en restant au service du récit et des personnages. Car la plus large part de réussite du film tient dans les personnages, donc les acteurs : leurs corps, leurs phrasés, leurs interactions, leurs regards, leur palette de sentiments.
Marianne
(...) film puissant, charnel, bouleversant. Un film qui va, jusqu'au plus indicible, au moins montrable, parler du corps.
Première
L'un des coups de génie du cinéaste consiste à plonger cet argument romantique dans un récit gigogne et dynamique, insaisissable, qui change de braquet en permanence (...). Cette matière narrative monstre, (...) Audiard la malaxe avec un art qui n'appartient qu'à lui.
Studio Ciné Live
Voir sur le site Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
Émaillé de scènes violentes et de purs moments de grâce, [le] film bouscule autant qu'il chavire et laisse comme un goût amer. On en sort la boule au ventre, mais que ce mélodrame (...) est lumineux !
TéléCinéObs
Sublimé par deux splendides comédiens, "De rouille et d'os" impose un lyrisme, celui de la musique, celui d'une image étrange, extravagante, expressionniste (...), qui prend le pouvoir sur un réel tragique, jusqu'à l'ennoblir.
Elle
Un hymne à la vulnérabilité traverse le cinéma d'Audiard et trouve son apogée dans "De rouille et d'os".
La Croix
On pourra légitimement regretter quelques effets de scénario peu probants, un dialogue peu naturel entre différentes composantes du film, mais "De rouille et d'os" frappe d'abord par la force de son interprétation.
Le Point
Aux larmes, à l'émotion Audiard préfère du brillant, de la stylisation, mais aussi du brutal, comme aurait dit son père, Michel, de deux personnages bigger than life qui "enchantent le réel".
Les Fiches du Cinéma
Jacques Audiard, maîtrisant de nouveau un béhaviorisme cru et sans pitié, montre l'humanité qui se cache derrière les carapaces que la brutalité génère chez les plus humbles...
Libération
Tout est bien dans "De rouille et d'os", sauf cette petite faute de goût qui ternit tout : c'est un chef-d'oeuvre. C'est du moins dans cet esprit qu'il a été conçu et c'est naturellement cet esprit qui l'empêche de l'être.
Paris Match
Une ombre de "Strada", un reflet de "Fight Club", une pincée de frères Dardenne, le tout shaké par l'énergie cinématographique d'Audiard, et vous aurez une petite idée de ce cocktail de "rouille et d'os", et de talents.
Positif
Concentré sur ses personnages qu'il filme de très près, le cinéaste ne s'attarde pas sur des paysages, mais sculpte d'abord les corps et des blocs de couleur (...) Esthétiquement, le film fait penser au fauvisme et assume ainsi son caractère de mélodrame flamboyant.
Télérama
Tout cela est délicat, complexe, intense. Mais un peu froid, aussi, par moments, comme si le réalisateur tenait à maintenir entre ses personnages et lui, entre lui et nous, une distance. Une protection contre l'émotion facile.
Critikat.com
La roublardise et le maniérisme du réalisateur ne se sont pas miraculeusement évaporés, son goût pour les effets un peu chic et mode non plus. Tout au plus trouve-t-on dans "De rouille et d'os" une forme d'optimisme salvateur qui viendrait faire la nique aux improbables coups du sort qui s'acharnent sur les héros de ce drame souvent trop démonstratif.
Ecran Large
On retient son souffle à l'image de nos deux acteurs qui fluidifient un scénario un peu mécanique. On apprécie la mise en scène magistrale qui finit de convaincre sans pour autant enthousiasmer.
Cahiers du Cinéma
La manipulation est totale, et sous la joliesse des détails de mise en scène, ne recule devant aucune contradiction : finalement aussi inconsistant que son personnage, ce film-là est "opé".